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A découvrir : le rapport d’activité 2018 de PariSeine est disponible !@SemPariSeine @jacquesbaudrier @ArianeBouleau
Source : SemPariSeine
EDITO – JACQUES BAUDRIER, PRÉSIDENT DU CONSEIL D’ADMINISTRATION
2018 aura marqué un tournant pour PariSeine . La création au mois de février de la SPL, suivie à l’été de celle du GIE PariSeine nous ont permis de poser les bases solides d’un nouvel acteur majeur de l’immobilier parisien. Ainsi structurés, nous sommes désormais en mesure d’apporter toute notre expertise et tous nos savoir-faire à travers une offre élargie, reposant sur deux entités distinctes mais complémentaires, la SEM Pariseine et la SPL PariSeine .
Cette articulation fait de PariSeine un acteur engagé aux côtés de la ville de Paris pour faire émerger des projets innovants, durables, créateurs de lien social. Qu’il s’agisse d’accompagner les services de la ville ou de travailler main dans la main avec des promoteurs privés, nous déclinons un même engagement dans la transition écologique, avec l’intérêt général en ADN. C’est là toute la force de PariSeine : savoir évoluer et grandir tout en restant fidèle à ses valeurs. Les succès remportés en 2018 à la fois par la SEM et la SPL, et l’organisation efficiente mise en place au sein du GIE pour soutenir les deux structures, sont autant d’atouts pour apporter plus d’agilité et de créativité à PariSeine. En cette époque de profonde mutation des dynamiques territoriales, et alors que la ville de Paris est résolument engagée dans la lutte contre le réchauffement climatique avec la volonté d’imaginer d’autres manières de construire, de gérer et de vivre la ville, PariSeine apparaît plus que jamais comme un acteur incontournable. Un opérateur urbain durable au service de la ville de demain.
TRANSFORMATION – ARIANE BOULEAU-SAIDE, DIRECTRICE GÉNÉRALE
« C’est en février 2018, avec la création de la SPL PariSeine, que la mue de PariSeine a commencé à se concrétiser. Mais ce n’est qu’en septembre 2018, avec la création du GIE, que toutes les pièces du puzzle se sont mises en place. L’organisation juridique nous a demandé un certain temps, mais c’est avant tout sur l’organisation interne que nous nous sommes concentrés. Comment organiser les directions opérationnelles et les directions supports ? Comment s’assurer de la bonne fluidité
entre les différentes structures ? Cela s’est traduit par la création d’une Direction des Opérations qui travaille à la fois pour la SPL et la SEM : c’est elle qui porte la créativité et l’engagement écologique que nous insufflons dans les réponses aux concours et qui réalise avec rigueur les projets qui nous sont confiés ».
L’ADEME lance 3 appels à projets pour soutenir la transition écologique et énergétique @ademe
Source : ADEME
L’ADEME, Agence de l’environnement et de la Maîtrise de l’Energie, lance 3 appels à projets sur la bioéconomie et la protection de l’environnement, l’économie circulaire et les systèmes énergétiques. Plus d’infos ci-dessous…
L’appel à projets « Systèmes énergétiques – Villes et Territoires durables »
La neutralité carbone implique de décarboner l’intégralité des systèmes énergétiques de la production aux usages. Les projets attendus doivent prioritairement concerner : les systèmes énergétiques optimisés, la production/fourniture d’énergies renouvelables et vecteurs énergétiques renouvelables et l’optimisation environnementale à l’échelle d’un bâtiment / d’un ilot (en construction ou en rénovation) ou d’un territoire.
L’appel à projets « Bioéconomie et protection de l’environnement »
Les projets attendus concerneront les technologies, procédés et services concourant à la protection de l’environnement, à la restauration des écosystèmes et aux nouveaux modes de production, valorisation et consommation des ressources, dont la biomasse. La bioéconomie englobe l’ensemble des activités liées aux systèmes de production, à la mobilisation et à la transformation durables de la biomasse, qu’elle soit forestière, agricole, aquacole, agroalimentaire ou halieutique pour des valorisations dans les filières alimentaires, les produits biosourcés et l’énergie.
L’appel à projets « Economie Circulaire – Ecoefficience dans l’Industrie, l’Agriculture et l’Eau ».
Les projets attendus devront contribuer à l’évolution vers l’économie circulaire et selon 4 axes : l’écoconception des produits et des services ; la production plus efficiente en ressources matières et en énergie ; la prévention de la production de déchets, l’optimisation de leur collecte et la production de ressources matières ou énergétiques secondaires, le traitement des déchets ultimes ; la collecte, le traitement et la distribution de l’eau, les solutions d’économie et de gestion de la ressource, les modèles d’affaires et de gestion innovants dans le domaine de l’eau.
Plus d’infos sur les 3 appels à projets…
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Développement durable : Saint-Etienne Métropole lance la solarisation de son patrimoine immobilier @SteMetropole
Source : Saint-Etienne Métropole
La Métropole de Saint-Etienne lance la solarisation de son patrimoine immobilier. En effet, depuis 2014, Saint-Étienne Métropole est engagée dans une démarche de territoire à énergie positive qui vise, d’ici 2050, à multiplier par 6 les productions d’énergie renouvelable. La solarisation du patrimoine en est une première traduction.
Un premier panneau photovoltaïque installé sur le toit du dépôt de la Stas : la pose est symbolique mais elle marque, ce vendredi 5 juillet 2019, le démarrage d’une opération d’envergure, la solarisation du patrimoine immobilier de Saint-Étienne Métropole.
Dès cet été, près de 5 000 modules seront déployés et couvriront les 8 000 m² de toiture de ce bâtiment dont Saint-Étienne Métropole est propriétaire. Celui-ci deviendra un site à énergie positive d’un point de vue électrique, une partie de l’énergie produite étant même injectée dans le réseau de tramway. Ce sont ainsi 25 % des passagers de l’ensemble du réseau qui seront transportés grâce à l’énergie solaire !
PLUS DE 150 BÂTIMENTS PUBLICS CONCERNÉS
– Mais la Métropole ne compte pas s’arrêter là ! Au total, plus de 150 bâtiments publics devraient accueillir à terme des panneaux photovoltaïques sur leur toiture, ce qui représente un potentiel de 150 000 à 200 000 m² de surface à couvrir et permettra d’éviter le rejet de 15 000 tonnes de C0² chaque année.
– Parmi eux, figurent des sites emblématiques de la Métropole, comme le Musée d’art moderne, l’Opéra, Novaciéries, le stade Geoffroy-Guichard, dont une partie du parking sera solarisé, mais aussi une trentaine de bâtiments scolaires (écoles, collèges, lycées) et près d’une dizaine d’équipements sportifs.
– Très ambitieux, ce projet de solarisation porté par la Métropole et ses partenaires, GreenYellow et le groupement Énergie Partagée, est d’une ampleur inédite en France. Au total, la solarisation de l’ensemble des bâtiments concernés permettra de produire 30 000 mégawattheures, soit la consommation électrique, hors chauffage, de 12 000 logements.
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Projet d’aménagement : comment obtenir le label EcoQuartier ? @Min_Territoires
Source : Ministère de la cohésion des territoires
La démarche de labellisation « EcoQuartier » comporte 4 étapes, correspondant aux différents stades du projet : l’idée, et la conception, la mise en chantier, la vie de quartier, et son amélioration continue avec et pour ses usagers. Voici la démarche à suivre pour obtenir la labellisation :
Un ÉcoQuartier est un projet d’aménagement urbain qui respecte les principes du développement durable tout en s’adaptant aux caractéristiques de son territoire. Le ministère s’est doté d’un référentiel en matière d’aménagement durable
Etape 1 : L’ÉcoQuartier en projet
Le label ÉcoQuartier – étape 1 est obtenu par la signature de la charte ÉcoQuartier par les élus et leurs partenaires pour le projet concerné. L’enregistrement du projet sera fait sur une plateforme très simple et rapide. Cette étape correspond au démarrage de la phase d’étude du projet par la collectivité locale.
Dès cette étape, le projet est répertorié comme « labellisé étape 1 » dans la communication nationale.
Etape 2 : L’ÉcoQuartier en chantier
Une fois les études achevées et le chantier engagé, une expertise du projet est réalisée pour vérifier la conformité du projet à la charte ÉcoQuartier. Les conclusions de cette expertise sont débattues avec la collectivité et ses partenaires, afin d’ajuster si nécessaire les suites du projet.
Le label ÉcoQuartier – étape 2 est délivré par la commission nationale ÉcoQuartier sur proposition de la commission régionale, après présentation des conclusions des experts.
Etape 3 : L’ÉcoQuartier livré
Dans les mêmes conditions que l’étape deux, lorsque l’ÉcoQuartier est livré (ou quasi livré), une expertise est réalisée pour l’obtention du label ÉcoQuartier – étape 3. Le label ÉcoQuartier – étape 3 est délivré par la commission nationale ÉcoQuartier sur proposition de la commission régionale, après présentation des conclusions des experts.
Etape 4 : L’ÉcoQuartier confirmé
Trois ans après l’obtention du label – étape 3, la collectivité mesure la tenue de ses engagements dans le temps, la façon dont les usages projetés sont appropriés par les usagers du quartier. Par ailleurs, elle présente également la façon dont les pratiques d’aménagement ont évolué au sein de la collectivité, au-delà du périmètre opérationnel du quartier.
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