Archives Mensuelles: juin 2019

Logement : création d’un Organisme de Foncier Solidaire en Loire-Atlantique @Habitat_44 @NantesMetropole

Source : Habitat 44

Le Département de Loire-Atlantique, Nantes Métropole, la Carène et 14 opérateurs sociaux se sont associés pour créer un OFS, Organisme de Foncier Solidaire, afin de permettre aux ménages modestes d’acheter un logement en Loire-Atlantique.

Habitat44

Ce nouvel outil va favoriser le développement d’opérations d’accession à la propriété pour les ménages à revenus modestes. L’un des objectifs est de permettre à ces ménages d’acheter leur logement dans des secteurs qui leur sont actuellement inaccessibles face à l’augmentation des prix du foncier.
Pour y parvenir, le principe s’appuie sur un double mécanisme :
– Réduire le prix d’achat en dissociant la propriété du foncier et celle du bâti.
– Encadrer les prix de vente et de revente des logements sur le très long terme.

Un outil innovant pour pérenniser une offre d’accession abordable
Tous les habitants ne sont pas égaux face au marché de l’immobilier. Faute de revenus suffisants, certains d’entre eux ne peuvent pas se loger dans certains quartiers où le prix du foncier explose. En Loire-Atlantique, ce dernier a augmenté de 45% en 10 ans pour atteindre, par exemple, 400 €/m² à Nantes (source : Chambre des notaires). Le prix du logement neuf s’élève aujourd’hui, en moyenne, à 3 850 €/m² (+25% en 10 ans). Il dépasse même 4 000 €/m² à Nantes et 4 500 € sur le littoral nord. Le profil des acheteurs est donc restreint : cadres supérieurs, certains retraités, cadres moyens.

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Les fondations à l’Université : quelle dynamique et quels projets en 2019 ? @CPUniversite

Source : Conférence des présidents d’université

Une chercheuse de l’Université Paris-Est Marne-la-Vallée a mené une enquête sur la fondation à l’université, avec le soutien de la Conférence des présidents d’université et du réseau des fondations. Comment fonctionnent les fondations ? Quels sont les montants collectés ? Quels sont les projets auxquels sont affectés les dons ?  Découvrez les résultats de l’étude…

Depuis 10 ans, plus de 231 millions d’euros ont été collectés grâce à la mobilisation sur le terrain des équipes qui ont su fortement se professionnaliser et partager leurs bonnes pratiques. Ces fonds ont été affectés au financement de projets concrets : des chaires, des projets de recherche, des formations universitaires innovantes, des bourses « égalité des chances » et au mérite, des projets immobiliers et environnementaux, des équipements favorisant l’intégration des personnes en situation de handicap, des projets étudiants comme des créations d’entreprises, des mobilités internationales entrantes et sortantes pour les chercheurs et les étudiants…

Si la collecte de fonds semble parfois la partie la plus visible de leur activité, celle-ci n’est que l’outil au service des projets et les fondations ont permis aux universités de renforcer les relations et partenariats avec les entreprises, d’amplifier leurs activités de recherche et de formation, de soutenir les étudiants, de développer leurs réseaux notamment d’anciens étudiants, et ainsi de venir en soutien de la stratégie de l’établissement.

Comme le souligne Dominique Lefebvre, Président de la Communauté d’agglomération de Cergy-Pontoise : « La communauté d’agglomération de Cergy Pontoise (CACP) était déjà à l’origine de la création de l’université de Cergy-Pontoise. Depuis, elle l’a toujours soutenue dans ses projets de développement. Il était logique que la CACP soit ambassadeur des projets auprès des entreprises et devienne membre-fondateur de sa fondation partenariale. »

Sans surprise, 87% des dons proviennent du mécénat des entreprises suivi par celui des collectivités et des particuliers : anciens étudiants, parents, personnels de l’université.
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Santé : le CHU de Nantes se dote d’un entrepôt de données @RESEAUCHU @CHUnantes

Source : Réseau CHU

A Nantes, le CHU s’est récemment doté d’un entrepôt de données de santé pour gérer 2,3 millions de dossiers patients, 16 millions de documents et plus de 50 millions de données. 

logo-reseauchu

Un entrepôt de données de santé: qu’est-ce que c’est ?
Un entrepôt de données de santé est un outil permettant de rassembler dans une seule  grande base, les données administratives, sociales et médicales des dossiers informatisés de patients pris en charge au CHU.
Il s’agit donc de données produites et collectées à l’occasion des soins et réutilisées à des fins de recherche. Les recherches réalisées utilisent a posteriori ces données recueillies et ne nécessitent donc aucune participation active du patient.

Un entrepôt de données de santé : à quoi ça sert ? 
Constituer un entrepôt de données de santé a pour objectif de faire progresser la médecine actuelle, pour l’amener vers une  médecine du futur qui, le cas échéant pourra s’appuyer sur des technologies innovantes d’intelligence artificielle :
– Médecine prédictive et préventive, puisque les données vont permettre de mieux identifier les populations à risque pour cibler le déploiement des programmes de prévention.
– Médecine personnalisée : L’entrepôt permet de mutualiser l’ensemble des données disponibles, pour évaluer chaque cas précis et prendre des décisions appropriées au patient.
– Médecine participative : Certaines données de santé sont générées par les patients eux-mêmes, via des outils en ligne ou des objets connectés. L’implication des patients dans le suivi du traitement de leur pathologie est primordiale.

Quelle transparence envers les patients, pour la ré-utilisation de leurs données ? 
Depuis avril 2018, chaque patient, lors de son admission au CHU de Nantes, est informé par la remise d’un document de la possibilité d’utilisation de ses données à des fins de recherche; un contact lui permet d’exercer ses droits, notamment d’opposition.

Plus d’informations…

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Création d’un fonds d’investissement immobilier dédié aux tiers-lieux et espaces de coworking @AnruOfficiel

Source : ANRU

Le 17 juin dernier, le fonds de co-investissement de l’ANRU et Amundi ont crée un fonds d’investissement dédié aux tiers-lieux et aux espaces de coworking, dans les quartiers prioritaires de la politique de la ville.

Anru

Le fonds de co-investissement de l’ANRU utilise le levier de l’investissement immobilier pour contribuer à la mixité fonctionnelle des quartiers concernés par la politique de la Ville. Il participe ainsi à améliorer leur image, renforcer leur attractivité, favoriser le développement économique et l’emploi et améliorer la qualité de vie des habitants. Il a rapidement identifié l’investissement dans les tiers-lieux et centres de coworking comme un outil lui permettant d’atteindre ses objectifs.

Les tiers-lieux et le coworking, en tant qu’instrument du développement économique, mode d’hébergement des entreprises, d’appartenance à une communauté et de capacité d’accompagnement des entrepreneurs, n’ont plus à démontrer leurs vertus. Pour proposer des formules attractives en termes de prix, être accessibles au plus grand nombre et offrir des services de qualité, les exploitants ont pour enjeu prioritaire de bénéficier d’un immobilier à des prix adaptés.
Amundi, acteur pionnier de l’investissement socialement responsable (ISR) et le Fonds de co-investissement de l’ANRU, ont donc signé aujourd’hui une déclaration d’engagement pour la création avant fin 2019 de ce fonds doté de 50 millions d’euros dédié à l’émergence de tiers-lieux et d’espaces de coworking dans les territoires. Ce fonds aura pour vocation de porter les murs de plusieurs dizaines de tiers-lieux et d’espaces de coworking en QPV. Ces acquisitions devraient intervenir dès le deuxième semestre 2019 et être réalisées dans un délai de 2 ans. Une vingtaine de projets répondant aux critères du fonds coworking ont d’ores et déjà été identifiés dans toute la France et certains sont actuellement en cours d’analyse.

Consulter et télécharger le communiqué de presse

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Clermont-Ferrand : inauguration d’un des plus grands espaces de coworking d’Europe @QUARTUS @ClermontFd @Turing_22

Source : Quartus

Quartus, 1er ensemblier urbain indépendant français tourné vers les nouveaux usages, a inauguré l’un des plus grands espaces de Coworking d’Europe à Clermont Ferrand, « Turing 22 ».

quartus-logo

Le chantier, mené par QUARTUS Ingénierie et le cabinet d’architecte BOA, a impliqué la création de 2 500 m2 de bureaux, venant compléter 2 200 m2 de bureaux existants. La surface créée s’inscrit dans la continuité des espaces communs de convivialités qui séparent le nouveau et l’ancien. L’ensemble propose désormais plus de 80 bureaux privés de 1 à 20 places ou en places de coworking nomade, 600 postes de travail, 3 grands espaces lounge, un auditorium, 11 salles de réunion ou encore une salle de sport.

Turing 22 : une offre inédite à Clermont-Ferrand
Le nouvel espace de travail Turing 22 a ouvert ses portes en février dernier au 22 allée Alan Turing, dans le parc technologique de La Pardieu. Avec ses 4.700 mètres carrés, c’est le plus grand espace de coworking de la région Auvergne-Rhône-Alpes.
Turing 22 a été imaginé avec l’idée que le lieu de travail peut être aussi confortable que la maison et aussi stimulant qu’un verre entre amis. Grâce à des aménagements ouverts, lumineux et propices à la discussion, le partage est favorisé. C’est aussi des RDVs et un planning d’événements pour favoriser les rencontres entrepreneuriales.

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