Archives du 19 septembre 2018

Vision de Stéphane Keïta, PDG de la Scet, sur le défi climatique @SCET_Groupe @CadreVille

Source : SCET Groupe

Stéphane Keïta, Président – Directeur Général de SCET Groupe, a été interviewé par Cadre de ville à propos de la ville de demain et du défi climatique. Voici ci-dessous un extrait de l’interview :

scet cdc

Cadre de Ville – La SCET est l’un des piliers de la Banque des Territoires, déployée par la Caisse des Dépôts. Quelle vision y portez-vous de la ville de demain ? Et notamment la place qu’y occupe le défi climatique ?

Stéphane KeïtaPrendre la mesure de la transition écologique est un impératif pour la ville et les sociétés de demain. Lorsqu’on construit des solutions opérationnelles de requalification ou de revitalisation, dans les métropoles, les villes moyennes ou centres-bourgs, il est indispensable d’aborder la question de l’adaptation au changement climatique : nouvelles mobilités, sobriété foncière, rénovation énergétique, économie circulaire, développement des énergies renouvelables […]

CdV – Pour vous, quels sont, en conséquence, les enjeux pour les opérateurs urbains français – dont fait partie la Scet ?

S. K.Il me semble que l’enjeu principal aujourd’hui, c’est d’aider à construire le futur des villes et des territoires sous un angle nouveau et écologique, en tirant parti de la révolution numérique, qui met à notre disposition des millions de données […]

Voir l’interview intégrale de Stéphane Keïta

Lire aussi :

Epareca et la Semaest renouvellent leur partenariat @Epareca @Semaest

Source : Epareca

Epareca et la Semaest ont renouvelé, le 4 septembre dernier, leur partenariat en faveur du commerce et de l’artisanat.

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Dès 2014, ils avaient convenu de l’intérêt d’un rapprochement, dans le cadre d’une convention d’échanges d’expériences et de connaissances respectives des problématiques de commerce et d’artisanat dans les quartiers franciliens. Cette convention avait alors permis des échanges réguliers sur les saisines et sollicitations des collectivités ainsi qu’un apport d’expertise sur des démarches prospectives communes (en matière d’observation des territoires les plus fragiles ou de réponses
immobilières innovantes).

Forts de ces premiers travaux et compte tenu de l’importance des enjeux à prendre en compte dans le cadre des projets portés par les collectivités au titre du nouveau programme de renouvellement urbain et du Plan Action coeur de ville, EPARECA et la SEMAEST ont décidé de renouveler leur partenariat, en l’étendant à ces nouvelles problématiques.

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Aménagement : outils et financement s’adaptent à la nouvelle donne @JournalGdParis @EiffageConstruc @cmarkea

  Source : Journal du Grand Paris

 

Semop, SPLA, SPLA-IN, PUP, AMI… le jargon de l’aménagement n’en finit pas de s’étoffer au gré de la création de nouveaux outils juridiques permettant de s’adapter au cas par cas aux opérations. Pour se familiariser avec ces dispositifs et décrypter leur fonctionnement, le Journal du Grand Paris proposait le 12 septembre 2018 une matinée de formation animée par des professionnels et des experts publics et privés.

« Le monde de l’aménagement et de ses acteurs évolue », a confirmé Nicolas Gravit, lors de la formation sur les nouveaux outils de l’aménagement urbain organisée par le Journal du Grand Paris Formation le 12 septembre. Le directeur général d’Eiffage aménagement constate même « un mélange des fonctions avec des aménageurs qui font de la promotion et des promoteurs qui font de l’aménagement ».

Alors que la concession d’aménagement qui s’opère souvent sous forme de ZAC est remise en cause du fait de sa lourdeur et sa longueur, « beaucoup d’acteurs réfléchissent à une façon de faire autrement et d’assurer une meilleure collaboration public/privé », a ajouté Nicolas Gravit

La copromotion monte en puissance

Ainsi, les nouveaux modes de faire la ville s’enrichissent et commencent à entrer dans « une phase de consolidation ». Si la concession d’aménagement continuera bien de fonctionner, elle coexistera à côté d’une palette d’outils dont l’avantage est de pouvoir adapter le dispositif au cas par cas en fonction des attentes de la collectivité. L’engouement pour les appels à manifestation d’intérêt (AMI) initiés par Paris (Réinventer Paris, Inventons la métropole du Grand Paris) illustre ce besoin d’innover et de trouver des alternatives à la raréfaction des finances publiques. « Faire appel à l’imagination et l’expertise des professionnels, et à leur faculté de fédérer des partenaires autour d’un projet est une bonne idée, reste à savoir comment tout cela se concrétisera dans le temps », observe Nicolas Gravit.

Autre tendance, les opérations réalisées en coaménagement entre une SEM et un aménageur privé. Cela permet aux collectivités locales de trouver des partenaires privés qui apportent leurs compétences et des garanties financières, et aux opérateurs publics de se former à la copromotion. « La copromotion par exemple entre une SEM d’aménagement (la SPL ne peut pas faire de copromotion) et un promoteur privé ou un bailleur social se développe car les SEM doivent trouver des leviers complémentaires pour générer du chiffre d’affaires », a complété Aurélien Deleu, directeur du marché du logement et de l’aménagement chez Crédit mutuel Arkéa. « Depuis deux ans, nous finançons de plus en plus d’opérations de ce type ». Un modèle plutôt gagnant/gagnant en permettant à la SEM de bénéficier d’une part de la marge de sortie et au promoteur d’avoir des relations plus simples avec les collectivités locales.

L’Ile-de-France teste les 1res Semop et SPLA-IN

La première Semop d’aménagement a été créée en 2017 à Châtenay-Malabry (Hauts-de-Seine). Si pour aménager le site de l’ancienne école Centrale de Châtenay-Malabry, la ville a opté pour une Semop, c’est non seulement pour bénéficier des capacités de financement d’un opérateur privé, mais aussi « être partie prenante au quotidien » dans le déroulement de cette vaste opération. Sur 20 ha, sera implanté un nouveau quartier mixte comprenant 2 200 logements dont 16 % de sociaux, 40 000 m2 de bureaux, 15 000 m2 de commerces, 19 000 m2 d’équipements publics… La particularité du dispositif ne tient pas à son montage qui est une concession d’aménagement classique, mais à son mode de gouvernance avec un conseil de surveillance et un directoire

La ville : autorité concédante et actionnaire

Tout l’intérêt pour la collectivité est de conserver ainsi une minorité de blocage dans la prise de décision. « Bien que sa participation au capital soit réduite, elle préside la Semop, ce qui lui permet de contrôler l’opération tout en minimisant le risque encouru », a souligné de son côté Julien Perrault, responsable de clientèle promotion immobilière d’Arkea banque. « La ville opère un contrôle en tant qu’autorité concédante mais aussi en tant qu’actionnaire de la Semop », argue Aurélie Trehout-Decossin. Ce qui présente aussi un double intérêt économique pour la ville.

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Le modèle mutualiste est en pleine évolution – Regards de plusieurs dirigeants @mutualite_fr

Source : Mutualité Française

Dans un livre intitulé « Dessine-moi une mutuelle », 20 président(e)s ou directeur(rice)s général(e)s de mutuelles témoignent des défis auxquels sont confrontés ces organismes de l’économie sociale et solidaire, mais aussi de leurs atouts à un moment où les évolutions sociétales renforcent la modernité du modèle mutualiste.

A l’heure de la disruption, de la concentration du marché et des nouvelles exigences des assurés, comment les mutuelles, qu’elles soient santé ou d’assurance, imaginent-elles leur futur ? Quelles sont les modalités pour concilier utilité sociale et performance économique ? Comment adapter la gouvernance aux nouvelles formes de militantisme ?

Pour le président de la Mutualité Française, Thierry Beaudet, il faut donner « davantage de visibilité et de lisibilité » au projet mutualiste, en raison de sa résonance avec l’époque puisqu’il vise à contribuer « au tissage social » et favorise « les échanges et les pratiques solidaires, l’amélioration des conditions de vie, l’engagement« .

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« Toits d’abord » : la Fondation Abbé Pierre et EDF renouvellent leur partenariat @Abbe_Pierre @EDFofficiel

Source : Fondation Abbé Pierre

La Fondation Abbé Pierre renouvelle son partenariat avec EDF afin de lutter contre la précarité énergétique. 

                fondation abbé pierrelogo               EDF

La Fondation Abbé Pierre est engagée dans la lutte contre le mal-logement et, depuis 2005, s’emploie à développer la production de logements abordables et économes en énergie sur l’ensemble du territoire. Depuis 2008, le Groupe EDF s’est associé à cette initiative par un soutien financier au programme « 2000 Toits pour 2000 Familles » puis, en 2012, au programme « Toits d’Abord ».

EDF et la Fondation Abbé Pierre renouvellent cette année leur partenariat jusqu’en 2020 pour donner de nouveaux moyens d’agir au programme « Toits d’Abord ». Soutenu par les pouvoirs publics, ce programme vise à rénover de nouveaux logements destinés aux ménages les plus modestes, avec le concours des associations et des bailleurs sociaux

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