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Perl, acteur incontournable du logement abordable du Grand Paris @PERL_Immo

Source : Perl

Perl est devenu l’acteur du logement abordable de la métropole du Grand Paris en contribuant à loger 2 250 ménages en Usufruit Locatif Social (ULS) depuis 18 ans.

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Répondre aux objectifs de production de logements du Grand Paris
La loi relative au Grand Paris votée en 2010, a établi des objectifs ambitieux en matière de logement : produire 70.000 logements par an pendant 25 ans, dont 17 500 logements sociaux, au plus près des gares et des lieux de travail. Grâce à l’usufruit locatif social (ULS), un modèle immobilier permettant de cofinancer la production de logements abordables en mobilisant une épargne privée, Perl contribue à répondre à cet objectif. Depuis 2013, année du vote à l’Assemblée de la création du Grand Paris, Perl a connu un important développement de son activité avec 1 136 réservations dans la métropole, dont 71% de logements neufs et 29% de logements existants.

Développer et diversifier l’offre de logements à proximité des transports et des lieux de travail
Dans l’existant, Perl intervient sur la transformation d’espaces déjà urbanisés, en particulier autour des lieux stratégiques et structurants que sont les gares. C’est le cas d’Espace Garibaldi au Vésinet (78). Cet emblématique projet de transformation de bureaux en logements est le résultat d’un partenariat actif entre la commune, le bailleur Efidis (CDC Habitat) et Perl, maître d’ouvrage de l’opération. Produire ces logements en usufruit locatif social (ULS) a permis la mise en oeuvre rapide du projet, grâce à une concertation avec la ville et les riverains. Située à moins de cinq minutes à pied de la gare du Vésinet (RER A) et bénéficiant d’un accès direct et rapide à Paris et au quartier d’affaires de La Défense, Espace Garibaldi propose 28 nouveaux logements à loyers abordables.

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La vente de logements sociaux, un outil clé pour la mixité sociale ? @PlurialNovilia @ActionLogement

Source : Plurial Novilia

La vente de logements HLM devient aujourd’hui indispensable afin de développer le parc et favoriser la mixité sociale. 

Une activité amenée à prendre de l’ampleur

L’adoption de l’article 52 de loi de finances et le projet de loi Evolution du Logement et Aménagement Numérique (Elan) annoncé par le Gouvernement incitent à une refondation du monde HLM. Dans ce contexte, les bailleurs sociaux sont plus que jamais invités à céder des logements. Action Logement a d’ailleurs fixé son objectif de vente à 1% du parc pour 2019. Pour Plurial Novilia, la feuille de route indique un objectif de 205 logements en 2018, faisant donc de la vente HLM un axe de son plan d’actions d’autant plus fort et d’autant plus stratégique.

Dynamiser les parcours résidentiels

Pour faciliter l’accession à la propriété de ses locataires, Plurial Novilia leur propose des conditions préférentielles : aide au montage de leur dossier et plan de financement, accompagnement d’Action Logement pour les salariés des entreprises cotisantes, décote de 10% par rapport au prix du marché pour les locataires occupants et frais de notaire offerts.

Par ailleurs, les logements mis en vente font, le cas échéant, l’objet d’un travail de remise en état et de modernisation par Plurial Novilia pour que ce premier achat se déroule dans les meilleures conditions. Les locataires en place ont priorité pour acheter – il n’y a aucune obligation d’achat – mais ne devra en aucun cas le quitter s’il ne souhaite pas se positionner.

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REGARDS SUR LA MIXITÉ SOCIALE Comment les villes construisent le vivre-ensemble ? @HabitatetHumani

   Source : habitat-humanisme.org

SORTIE DU PREMIER RAPPORT DE L’OBSERVATOIRE DE LA MIXITÉ SOCIALE (OMIS)

Réforme du monde HLM, loi Elan, le logement est plus que jamais au cœur de l’actualité. A quelques jours de l’annonce du plan Borloo pour une mobilisation nationale en faveur des quartiers en difficulté, l’Observatoire de la mixité sociale (OMIS), créé par Habitat et Humanisme, publie son premier rapport. Il analyse l’impact des politiques de l’habitat sur la mixité sociale depuis 30 ans. En donnant la parole à de nombreux experts, il détaille la façon dont les villes appliquent ces lois en Ile-de-France. Éclairages et enquêtes au cœur de ces territoires, 200 pages pour comprendre et s’interroger

FAUTE DE THERMOMÈTRE, DES RÉFORMES À L’EFFICACITÉ INCERTAINE

Comme les textes sur le logement qui l’ont précédé depuis 30 ans, la loi Elan (Évolution du logement, de l’aménagement et du numérique) entend favoriser la mixité sociale, notamment en fluidifiant l’occupation du parc social. Mais les chercheurs, malgré de nombreuses tentatives, ne parviennent pas à construire des indicateurs fiables et pertinents. D’où la difficulté de mesurer l’efficacité des politiques publiques.

LE BILAN EN DEMI-TEINTE DE LA RÉNOVATION URBAINE

Le bilan des chantiers de rénovation urbaine est décevant. Malgré l’importance des moyens consentis, leur impact sur la sociologie des quartiers dits « en difficulté » est faible. Les objectifs de mixité sociale se heurtent au fait que les logements accessibles aux familles à faibles ressources sont concentrés dans les grands ensembles des banlieues et dans les logements dégradés des centres-villes.

LE MONDE HLM, 18 ANS APRÈS LA LOI SRU

L’impact de la loi sur le parc social est limité, mais elle a sensibilisé les Français à la question de la mixité sociale. Très contestée à l’origine, elle fait désormais partie du paysage. Son grand mérite est d’avoir déplacé la problématique des quartiers pauvres vers les villes riches. Si certains experts estiment que l’esprit de la loi a été dévoyé, il ne faut pas attendre des politiques du logement qu’elles résolvent à elles seules des problèmes qui relèvent de la cohésion sociale.

COMMENT LES MAIRES APPLIQUENT LES POLITIQUES DE L’HABITAT EN ILE-DE-FRANCE

Les lois n’ont pas la même signification dans une ville riche ou pauvre. Nos enquêtes à travers l’Ile-de-France montrent la diversité des problématiques : Nanterre attire les cadres de La Défense tout en essayant de protéger les habitants de ses cités / Versailles, la ville riche qui veut construire des HLM / A Houdan, le péri urbain n’est pas synonyme de relégation / Dans le 17ème arrondissement de Paris, promoteurs et bailleurs sociaux apprennent à travailler ensemble. Partout, le même constat : « la mixité sociale ne se décrète pas ».

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Favoriser la mixité sociale dans les quartiers prioritaires : objectif du Mouvement HLM @UnionHlm

Source : Union Sociale pour l’habitat

Parmi les 85 propositions qui figurent dans le livre Blanc, le Mouvement HLM souhaite prôner et favoriser la mixité sociale dans les QPV (quartiers prioritaires de la ville).

L'union sociale pour l'habitat

Les lois ALUR, Égalité Citoyenneté et Ville ont prévu la prise en compte de la question de la mixité dans les quartiers : en fixant un plafond à l’accueil des ménages les plus modestes (1er quartile) ; en donnant la possibilité au préfet de définir des périmètres prenant en compte les QPV qui doivent faire l’objet d’une vigilance pour l’accueil des ménages déclarés prioritaires au titre du DALO ; en prévoyant que les conférences intercommunales du logement fixent des objectifs de mixité sociale et d’équilibre territorial à l’échelle intercommunale et des objectifs de mixité sociale en QPV et hors QPV.

L’impact réel de ces mesures doit être évalué. Il est nécessaire de rappeler que la mixité dans les QPV ne peut être rétablie par le seul levier des attributions de logements sociaux. Les questions d’attractivité, de qualité de vie, de désenclavement, de réussite scolaire, d’accès aux services publics sont déterminantes.

Donner la possibilité aux EPCI de fixer des plafonds de ressources dérogatoires

Il pourrait être donné la possibilité aux EPCI, dans le cadre de la conférence intercommunale du logement et de la convention intercommunale d’attribution, de fixer des plafonds de ressources dérogatoires à ceux prévus à l’article L.441-1 du CCH en accompagnement des politiques de requalification et de renouvellement de l’offre Hlm existante dans les quartiers.
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Logement social : 1ère étape du parcours résidentiel pour les jeunes @polylogis @LogirepOfficiel

Source : Polylogis

Groupe_Polylogis

Pour les jeunes, l’accès au logement fait partie intégrante de leur parcours d’autonomisation. Enjeu de société, loger les jeunes est aussi une des missions sociales des organismes Hlm, et contribue à la mixité sociale et intergénérationnelle dans les  villes.

18-25 ans, période charnière dans le parcours résidentiel Souvent marquée par la fin des études et le début de la vie active, la période entre 18 et 25 ans est un âge charnière dans le parcours d’autonomisation d’un jeune. Elle l’est aussi dans le parcours résidentiel.

Entre vie au domicile parental, logement financé par les parents, ce sont finalement seulement 17 % des moins de 24 ans qui disposent de leur propre logement où ils vivent exclusivement et qu’ils financent par eux-mêmes1.
« L’accès à un logement autonome pour un jeune se fait en général en plusieurs étapes intermédiaires, qui évoluent selon le statut – étudiant, en recherche d’emploi, actif, … une seule « constante » dans ce parcours, cette population de jeunes est la première exposée aux tensions et exigences du marché du logement : offre vs. demande, prix élevé des loyers notamment pour les petites surfaces, nécessité de garanties financières importantes, … », commente Christian Giuganti, Directeur général délégué au Groupe Polylogis, Directeur général de LogiStart.

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