Archives du 16 juillet 2019

Stéphane Pardoux, futur Directeur Général Adjoint de Gustave Roussy @HOSPIMEDIA @GustaveRoussy @pardouxstephane

Source : Hospimedia

Stéphane Pardoux s’apprête à quitter le Centre Hospitalier Intercommunal (CHI) de Créteil, pour devenir le futur Directeur Général Adjoint de Gustave Roussy, 1er centre de lutte contre le cancer en Europe.

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À la tête depuis la mi-2014 du CH intercommunal (CHI) de Créteil, auquel est venu officiellement se greffer début janvier par direction commune le CHI de Villeneuve-Saint-Georges, Stéphane Pardoux s’apprête à devenir le nouveau directeur général adjoint (DGA) de Gustave-Roussy à Villejuif. S’il reste donc dans le Val-de-Marne, il quitte en revanche l’hôpital public pour le secteur privé non lucratif. Sa prise de fonctions au sein du centre de lutte contre le cancer (CLCC) sud-francilien est envisagée courant septembre, a-t-il indiqué à Hospimedia. À Créteil et Villeneuve-Saint-Georges, deux établissements qui forment à eux deux le groupement hospitalier de territoire (GHT) nouvellement dénommé « Hôpitaux confluence Val-de-Marne Essonne », c’est son adjoint, Jean-Bernard Castet, qui va conduire l’intérim. La vacance du poste doit être publiée d’ici août au Journal officiel. Et s’agissant de Gustave-Roussy, le nouveau DGA prendra formellement la suite de Frédéric Varnier, devenu mi-mai directeur général du CHU de Caen (Calvados).

Âgé de 47 ans, Stéphane Pardoux est diplômé de la 35e promotion (1996) de l’École nationale de santé publique (ENSP, désormais École des hautes études en santé publique, EHESP). Par le passé, il a longtemps œuvré à l’Assistance publique-hôpitaux de Paris (AP-HP), y enchaînant notamment les fonctions de directeur des finances et du système d’information à l’hôpital Avicenne à Bobigny, des services logistiques et de l’hôtellerie au sein de l’hôpital Bichat-Claude Bernard à Paris, ou encore des investissements pour l’hôpital parisien de la Pitié-Salpêtrière.

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Comment la transition énergétique vient-elle booster l’emploi ? @ademe

Source : Ademe

Le 9 juillet dernier, l’ADEME a publié un état des lieux des marchés et des emplois qui participent à la transition énergétique et écologique (transports, bâtiment résidentiel et énergies renouvelables). Les marchés associés à ces filières ont plus que doublé et le nombre d’emplois directs a augmenté de 75% entre 2006 et 2017, avec plus de 370 000 personnes employées dans ces secteurs. 

3 marchés dynamiques qui favorisent la création d’emplois
– Le chiffre d’affaires des marchés liés aux modes de transport concourants à la transition écologique a été presque multiplié par quatre en 11 ans. Il atteint 33,5 Md€ en 2017 et la filière emploie plus de 94 000 ETP. Cette évolution résulte de l’augmentation de la part des véhicules moins émetteurs de COdans le parc automobile ainsi que du développement des modes alternatifs au transport routier individuel.
– Les marchés de la rénovation énergétique des bâtiments ont augmenté de 79% entre 2006 et 2017, représentant désormais un chiffre d’affaires d’environ 31 Md€. Dans cette même période, le volume d’emplois s’accroît d’environ 59%, s’établissant à plus de 218 000 ETP.
– Enfin, l’ADEME a constaté que le marché des énergies renouvelables et de récupération a plus que doublé entre 2006 et 2017, avec une augmentation de 39% des emplois. Le chiffre d’affaires représente ainsi 26 Md€ en 2017. Ce secteur emploie désormais plus de 86 000 ETP.

Des évolutions contrastées
Portés par les politiques volontaristes de l’État sur l’économie verte, ces marchés sont en nette progression depuis une dizaine d’année.
Les investissements dans la fabrication et l’installation des équipements et infrastructures représentent une part importante de ces marchés : 72% pour le secteur des transports et 90% pour celui du bâtiment résidentiel. Pour le secteur des énergies renouvelables, si les investissements dans la fabrication, la construction, l’installation et la vente des équipements représentent 30% du marché, ce sont les ventes d’énergie et la maintenance qui représentent la plus grande part du chiffre d’affaires (63%).

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EPF Île-de-France publie son rapport d’activité 2018 @EPF_IDF

Source : EPF Ile-de-France

L’EPF Île-de-France, l’Etablissement public foncier d’Île-de-France, est l’opérateur public foncier des collectivités franciliennes. Il contribue au développement de l’offre de logements et au soutien du développement économique, par la production de foncier constructible. Découvrez son rapport d’activité 2018 !

EPF ÃŽle-de-France (EPFIF)

Choc d’offres foncières sur le marché du logement francilien
Créé à la fin de l’année 2006, l’Établissement Public Foncier d’Ile-de-France est devenu en une décennie un acteur majeur des territoires en raison de la puissance de son intervention, du portefeuille foncier qu’il a constitué et du réseau partenarial unique de collectivités franciliennes qu’il a noué au fil des années. Son expertise des prix du marché, de la négociation avec les propriétaires et de la transformation foncière lui permet d’acquérir des terrains dans les périmètres définis avec les collectivités locales. Tout au long de la durée de portage, la collectivité dispose du temps nécessaire pour définir, en lien avec les opérateurs, le nouveau projet immobilier. La vente des terrains s’effectue au prix de revient sans percevoir ni bénéfice, ni rémunération de sorte de ne pas contribuer à l’inflation du prix de vente des logements mais au contraire afin de créer de nouvelles références de prix plus basses. Les opérateurs immobiliers privés, les bailleurs sociaux et aménageurs sont systématiquement désignés par la collectivité.

Aujourd’hui, l’EPF Ile-de-France couvre tous les départements franciliens, Ses interventions concernent principalement les tissus urbains constitués, en raison de la nature même de sa mission, et s’étendent sur l’ensemble du territoire régional. En 2018, le niveau de ses cessions a atteint un pic historique en dépassant le seuil des 7000 logements générés.

>>>> Consulter le rapport annuel 2018

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Cohésion sociale : AG2R La Mondiale et La Ciotat signent 4 conventions de partenariat @AG2RLAMONDIALE

Source : AG2R La Mondiale

AG2R La Mondiale et La ville de La Ciotat ont signé 4 conventions de partenariat en faveur de la cohésion sociale et urbaine, à destination des publics fragiles. 

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Dans le cadre du contrat de ville métropolitain, la Ville de La Ciotat poursuit sa démarche de cohésion sociale et urbaine visant à inclure chaque citoyen dans le projet de territoire. S’inscrivant ainsi dans une démarche de coopération territoriale pérenne, AG2R LA MONDIALE soutient depuis 2018 la programmation du contrat Ville de La Ciotat en participant financièrement au développement local d’actions solidaires et de proximité (initiatives pour promouvoir le bien-être et la sécurité des seniors, insertion professionnelle et intergénérationnelle pour les publics précaires…).

Descriptif des projets soutenus :
Centre communal d’action sociale (CCAS) de La Ciotat :
Montant : 50 000 €
Projet : action globale de lutte contre l’isolement des personnes âgées visant à prévenir ou atténuer le sentiment de solitude.

Station Lumière (Centre d’accueil pour sans-abris à La Ciotat) :
Montant : 30 000 €
Projet : expérimentation à pérenniser reposant sur le savoir-faire, le savoir-être et l’acquisition de compétences nouvelles par le biais d’un atelier de customisation d’objets et de petit mobilier…

Association départementale pour l’emploi intermédiaire (Adpei) :
Montant : 20 000 €
Projet : revalorisation des espaces publics via l’organisation de micro-chantiers d’insertion intergénérationnels.
Objectifs : contribuer à une gestion urbaine de proximité et favoriser l’insertion socioprofessionnelle des personnes originaires de ces quartiers, via une activité salariée et un accompagnement dédié.

Association Les jardins de l’espérance : 
Montant : 18 000 €
Projet : création et animation de « Jardins partagés » en pied d’immeubles. Animations d’hortithérapie organisées dans des instituts spécialisés et dans les Jardins de l’Espérance. Animations et formations spécifiques destinées aux salariés en insertion. Développement d’activités adaptées aux plus de 45 ans

Plus de précisions sur les conventions ici…

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Coworking : un phénomène qui poursuit sa percée @KnightFrankFr

Source : Knight Frank

Knight Frank a dressé le bilan au 1er semestre 2019 des espaces de coworking au niveau de la région Île-de-France

Knight-Frank-Logo

Un résultat légèrement supérieur à la moyenne
593 000 m² de bureaux ont été placés en Île-de-France au 2e trimestre 2019. Légèrement plus élevé qu’au 1er trimestre, ce volume porte à 1,13 million les mètres carrés de bureaux commercialisés sur l’ensemble du 1er semestre, soit une baisse de 15 % sur un an mais une progression de 6 % par rapport à la moyenne décennale. « Plutôt que le ralentissement de l’activité économique, c’est l’absence de très grandes transactions qui est la cause principale du recul de la demande placée depuis le début de 2019. La rareté de l’offre disponible et la hausse des valeurs locatives ont également limité le nombre de nouvelles transactions, en ralentissant les prises de décision et en incitant les utilisateurs à renégocier leur bail plutôt qu’à déménager » explique Philippe Perello, Associé gérant de Knight Frank France.

Socle de l’activité locative, le segment des petites et moyennes surfaces (˂ 5 000 m²) n’affiche qu’une baisse de 3 % sur un an, malgré la forte pénurie de l’offre dans Paris et alors que continuent de s’y multiplier les espaces de coworking. Cette solidité tranche avec le recul important des transactions supérieures à 5 000 m². Au nombre de 34 au 1er semestre 2019, celles-ci totalisent près de 360 000 m² soit une baisse de 34 % sur un an.

Coworking : 62 % du marché parisien
Les acteurs du coworking ont déjà absorbé 119 000 m² de bureaux au cours du seul 1er semestre 2019, contre 130 000 m² sur l’ensemble de 2018. Plusieurs transactions de petites et moyennes surfaces ont été recensées. C’est sur ce créneau de marché que s’est distingué DESKEO. Récemment acheté par l’Américain KNOTEL, celui-ci a loué plus de 15 000 m² en une dizaine de mouvements à Paris et Boulogne. Toutefois, « la progression fulgurante du coworking tient avant tout à la multiplication des prises à bail de grandes surfaces. Depuis janvier, le coworking est ainsi à l’origine de huit opérations de plus de 5 000 m² en Île-de-France, ce qui en fait le secteur le plus dynamique du semestre devant les services et les nouvelles technologies » indique Philippe Perello.
Si quelques mouvements ont été recensés en 1ère et 2e couronnes, le coworking reste un phénomène très parisien. C’est dans la capitale qu’ont en effet été signées toutes les grandes transactions du coworking depuis janvier.

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