Archives du 16 juillet 2019

Comment développer l’habitat intergénérationnel ? Découvrez le guide de CDC Habitat @CDC_Habitat

Source : CDC Habitat

Qu’est-ce qu’une résidence intergénérationnelle ? Comment contribuer au développement de ces nouveaux modes d’habitat ? Comment monter le projet immobilier ? Comment réussir la commercialisation ?
Découvrez le nouveau guide pratique de CDC Habitat qui permet de définir les conditions de réussite d’un projet de résidence intergénérationnelle.

CDC Habitat

Montage financier, conception du projet, commercialisation, services associés… Un projet de résidence intergénérationnelle présente de nombreuses spécificités, qui peuvent rapidement s’apparenter à des difficultés.

L’intergénérationnel pour CDC Habitat : un concept novateur
Ni médicalisées, ni réservées aux seniors, les résidences intergénérationnelles conçues par CDC Habitat, notamment en Île-de-France, tirent leur originalité de leur conception et du projet social qui les accompagnent. Les logements adaptés en fonction de l’âge et de
ses spécificités sont attribués à parts égales entre des familles, des jeunes et des seniors. L’ensemble des réservataires est impliqué en amont, afin d’attribuer les logements aux types de ménages pressentis, et tout au long de la vie de la résidence pour maintenir l’équilibre.

L’habitat intergénérationnel : une réponse nouvelle aux enjeux démographiques
L’habitat intergénérationnel permet d’apporter une réponse nouvelle aux enjeux démographiques et sociétaux :
– réponse au vieillissement et prévention de la dépendance en offrant un habitat adapté et les conditions de développement d’une vie sociale au sein de la résidence, conditions nécessaires à la prévention contre l’isolement des personnes âgées, qui accélère l’apparition de la dépendance ;
– réponse aux besoins de logement des jeunes ;
– réponse au développement du lien social, condition indispensable à l’amélioration de la qualité de vie des résidents.

L’habitat intergénérationnel constitue un cadre de réponse pertinent car il favorise l’exercice d’une vie sociale de grande proximité, pouvant ainsi perdurer malgré les difficultés à se déplacer s’amplifiant avec l’âge. La solidarité entre voisins constitue une ressource et elle est sécurisante, tant pour la personne elle-même que pour sa famille.

Consultez le guide pratique de CDC Habitat

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MGEN : Roland Berthilier réélu Président du groupe @MGENetvous

Source : MGEN

Suite aux Assemblées générales des 9 et 10 juillet 2019 à Rennes, le conseil d’administration a réélu Roland Berthilier à la présidence du groupe MGEN. Un tiers des sièges du Conseil d’Administration (MGEN Union) a également été renouvelé par les délégués lors de ces Assemblées.

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Roland Berthilier a été réélu à la présidence du groupe MGEN pour un second mandat. Les délégués ont élu les membres du Conseil d’Administration MGEN Union (MGEN, MGEN Vie, MGEN Filia, MGEN ASS, MGEN CS, MGEN Partenaires), renouvelé par tiers cette année, portant le nombre d’administrateurs à 54 représentant 23 femmes et 31 hommes, soit 42,59 % de femmes. Isabelle Hébert a par ailleurs été confirmée par les Conseils d’Administration dans son rôle de dirigeante opérationnelle du Groupe MGEN.

Biographie de Roland Berthilier
Roland Berthilier devient instituteur en 1976. Après quelques années en collège et lycée comme professeur de mathématiques dont six années dans un établissement spécialisé pour déficients visuels, il est ensuite principal adjoint, puis proviseur. Dès 1983, Roland Berthilier intègre le comité de section MGEN du Rhône, et en devient le président sept ans plus tard. En 1995, il est élu administrateur national. Il rejoint en 1999 le bureau national et occupe le poste de secrétaire général de 2005 à 2013, puis de vice-président de 2013 à 2017. Il est vice-président de la FNMF, après avoir été le secrétaire général de 2013 à 2016.

En savoir plus sur Roland Berthilier et le nouveau conseil d’administration…

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L’intervention des organismes Hlm en centre ancien @_GEFILS @J_Denormandie ‏

Pour en savoir plus sur GEFILS et/ou vous abonner à l’EHebdo, rendez-vous sur www.gefils.fr, ou contactez alexandre.schoepfer@orfeor.com

Action cœur de ville, dispositif Denormandie, plan « initiative copropriété » de l’ANAH, dispositifs OFS et BRS, etc. les programmes d’incitation à la réhabilitation des centres-villes anciens constituent aujourd’hui l’une des pistes prioritaires du Gouvernement pour contribuer à rattraper le temps perdu et compenser le manque actuel de construction de logement.

Mais la mise en place de ces programmes ne pourra se faire sans l’apport d’opérateurs capables d’agir à différentes étapes et dans les différentes dimensions des projets de requalification des quartiers anciens, et de maîtriser à la fois les enjeux techniques, financiers mais également humains et locaux pour y contribuer de manière efficace et pérenne.

Parallèlement à cela, la réforme de la politique du logement conduit les bailleurs à repenser leur métier et leur stratégie, et à explorer de nouveaux champs d’intervention. L’intervention de ces organismes en centre ancien pourrait et devrait constituer l’une de ces pistes.

Pour faire le point sur les enjeux, leviers et perspectives de cette dynamique, le Réseau des acteurs de l’habitat organisait fin juin une web conférence sur ce sujet en présence de Valérie Mancret Taylor (ANAH), de Marie Laure Vuittenez (Métropole Habitat Saint Etienne/AURA HLM) et de Claire Delpech (ADCF) pour rappeler à la fois les apports du secteur et les motifs de son engagement, mais également mettre en évidence les conditions de cette mobilisation afin d’optimiser leur effet de levier dans ces projets.

Si les Organismes de logement social (OLS) s’imposent comme des acteurs incontournables de ces programmes, c’est tout d’abord car ils ont de tout temps été aux côtés des collectivités pour réhabiliter des quartiers en perte de vitesse. Ils ont donc, notamment par ce biais, acquis une compétence globale (financière, organisationnel tel que le relogement de population), une force de frappe et une légitimité opérationnelle et locale indispensable à la réalisation de ce type de programme. Par ailleurs, au delà de leur ancrage local historique qui leur octroie confiance des collectivités, connaissance des enjeux, etc. les bailleurs ont l’avantage de ne pas être trop préoccupé par la rentabilité à court terme de leur programme, contrairement aux promoteurs privés, ce qui leur permet d’être plus facilement présents sur des « petites » opérations ou en zone détendue… Enfin, leur rôle social et leur faculté à créer ou recréer du lien social, à intégrer les habitants et contribuer au retour d’un service public dans la ville est très attendue et appréciée des collectivités dans la mesure où quand un bailleur (ou tout acteur public finalement) s’implante dans un quartier, l’effet de levier et d’entrainement est alors très fort pour les autres acteurs.

Ainsi, comme le rappelle Mme Mancret Taylor (ANAH), les bailleurs sont donc bienvenus et attendus dans le cadre de ces réhabilitations.

Néanmoins, comme le rappelle Mme Vuittenez, dont le mouvement HLM AURA apparait comme pionnier en la matière avec des OLS, organisés en inter-bailleurs, qui ont depuis longtemps voulu s’inscrire dans cette démarche et qui font aujourd’hui des offres de services aux collectivités dans ce sens, il faut que les bailleurs aient la volonté de le faire ! Sur ce point, la restructuration en cours chez les bailleurs qui va faire émerger des besoins et des champs nouveaux, les conduire à d’autres types d’intervention, de nouvelles collaborations avec les collectivités, les privés, laisse penser que ces derniers vont s’y intéresser de près.
D’un autre côté, il faut aussi, en plus de leur volonté, qu’ils disposent d’une taille et des compétences suffisantes pour susciter l’intérêt et la confiance des collectivités, voire des financeurs.

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Action Logement : appel à manifestation d’intérêt pour la production d’un habitat + attractif @ActionLogement

Source : Action Logement

Action Logement lance un appel à manifestation d’intérêt (AMI) dans le cadre de son Plan d’Investissement Volontaire pour la démolition de logements sociaux en zone détendue et pour la production d’un habitat plus attractif.

Le Plan d’Investissement Volontaire consacrera 250 M€ de subventions à la démolition des logements sociaux (zones B2 et C et villes labellisées par l’Etat Action Cœur de Ville) et 250 M€ de prêts à la production d’une offre nouvelle plus attractive.
Au total, le programme vise la démolition de 30 000 logements et la production d’une offre nouvelle à hauteur de 10 000 logements.

Les réponses à l’AMI sont attendues au plus tard avant le 30 septembre 2019.

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EuroRennes, le projet qui vient transformer le cœur de la métropole @Demain_la_Ville

Source : Demain la ville

Depuis 2010, la création de la ZAC EuroRennes vient peu à peu transformer le quartier de gare et devient peu à peu un véritable symbole d’attractivité. Comment le projet EuroRennes transforme t’il l’histoire de la ville ? La nouvelle gare est-elle le point de départ d’un renouveau de la Métropole  ? 

En vert, le futur ensemble architectural comprenant le siège social de SAMSIC

Eurorennes, quand un quartier de gare se redessine
C’est lors de la construction de la ligne ferroviaire Paris Montparnasse – Brest, que la ville de Rennes se dote la première fois d’une gare en 1854. L’implantation de celle-ci bouleverse déjà à l’époque la ville. Autour des ateliers de la gare s’installent les cheminots et leurs familles, construisant eux-mêmes leurs habitations et provoquant une urbanisation lente et peu contrôlée de ses environs. Ce quartier populaire reste pendant très longtemps, coupé du reste de la ville malgré sa proximité avec le centre urbain. Les grandes infrastructures ferroviaires sont en effet des barrières qui empêchent la communication des espaces urbains autour de la gare avec le reste de la ville, même si certaines percées et aménagements ont été mises en place.

Et depuis 2010, c’est l’entièreté de ce quartier de gare qui subit une grande transformation. Avec comme slogan : “EuroRennes, Porte d’entrée de la Bretagne cœur de Métropole”, l’ambition portée par la ZAC est clairement affichée. Au centre du projet, la reconfiguration du pôle ferroviaire apparaît comme la clé de voûte d’un projet d’envergure métropolitaine. Porté par Rennes Métropole et Territoires Publics, ce vaste projet de 58 hectares participe pleinement au renouveau urbain de la ville. Mais alors derrière cette reconfiguration, quelles sont les attentes des différentes parties prenantes du projet ? Comment la ZAC EuroRennes vient transformer, non seulement la ville, mais aussi son image ? Et plus généralement, qu’est-ce que les grands projets urbains racontent de l’évolution des métropoles ?

Reconnecter le quartier de gare avec le reste de la métropole rennaise
La transformation du quartier de gare permet dans un premier temps son ouverture sur le reste de la ville, mais aussi de gommer la fracture physique et psychologique propre à ce quartier. Prenant place de chaque côté de la voie ferrée, le projet cherche avant tout à recréer des liens physiques entre le Sud et le Nord de Rennes. La restructuration de la gare permet donc d’assurer cette continuité entre ces deux espaces : une nouvelle liaison piétonne est dessinée pour relier les deux parvis de la gare, et pour traverser les voies ferrées. Cet ensemble paysager se veut également être le pivot de ces deux parties de la ville, améliorant de fait les flux piétons et les mobilités douces.

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