Archives du 28 août 2019

Transition écologique : l’ADEME dévoile son rapport d’activité 2018 @ademe

Source : ADEME

L’ADEME, Agence de l’environnement et de la maîtrise de l’énergie, a publié son rapport d’activité 2018 ! Entre économie circulaire, déchets, énergies renouvelables, efficacité énergétique, finance climat, transition numérique, alimentation durable, consommation responsable, adaptation au changement climatique… Découvrez tous les faits marquants et les grandes actions de l’année !

Ademe

Quelques faits marquants
Un protocole d’alliance a été signé avec Régions de France pour accélérer la mise en œuvre sur les territoires des stratégies d’économie circulaire, de la rénovation énergétique des bâtiments et préparer l’avenir par des exercices de prospective énergétique. Il s’inscrit dans le renforcement des partenariats de l’Agence avec les territoires, maillon essentiel de la transition écologique.

Qualité de l’air et mobilité confirment être une préoccupation majeure des Français. En appui du projet de loi d’orientation des mobilités, l’Agence a mis en place un Fonds dédié pour soutenir des projets favorisant les nouvelles mobilités : plan Vélo, station GNV, plan Hydrogène…

Mieux informer et accompagner les citoyens dans cette transition écologique est aussi une priorité pour l’ADEME : sur la rénovation énergétique des logements avec la campagne FAIRE (Faciliter Accompagner Informer pour la Rénovation Energétique) ou encore sur les 100 meilleurs labels environnementaux avec la création d’un outil en ligne.

En complément de son rôle d’opérateur du Programme d’investissements d’avenir, l’Agence s’est dotée d’un fonds d’investissement qui permettra de prendre part au capital d’entreprises qui développent des technologies pionnières et de faciliter ainsi l’accès au marché de ces innovations.

>>> Consulter le rapport d’activité 2018

Lire aussi :

Mobilité et transports : la mobilité silver @SilverEco_Fr #santé

Source : silvereco

  Rester mobile et autonome participe au bien-vieillir. Cependant, les plus âgés doivent souvent renoncer à la mobilité, ou se faire assister. Ainsi, la quasi-totalité des aidants (93 %) doit assurer une aide à la mobilité. En cause : l’inadaptation de certains transports, la crainte de se blesser ou de blesser autrui… Avec pour résultat un isolement progressif de la société. Pourtant, des solutions existent.

Le maintien de l’autonomie et des liens sociaux ne peut se concevoir sans mobilité. Or, avec l’avancée en âge, les seniors connaissent des difficultés à se déplacer et sont sujets à un risque d’isolement réel, d’ailleurs, le « rayon de vie » diminue fortement après 75 ans.

L’étude « La mobilité des seniors en France » menée par Auxilia – Laboratoire de la Mobilité inclusive – révèle que près d’un senior sur trois ne sort pas de chez lui tous les jours et que 44 % des 75 ans et plus déclarent être gênés pour se déplacer. Plus préoccupant encore, 25 % des 75 ans et plus, vivant hors périmètre des transports, n’effectuent aucun déplacement de toute la semaine.

…lire la suite…

Intelligence Artificielle dans l’immobilier – Journée d’échanges Association Apogée @actionlogement

    Source : Association Apogée

L’Association APOGÉE organise, en partenariat avec Action Logement, la Fédération Française du Bâtiment et SBA–Smart Building Alliance for Smart Cities, le mercredi 11 septembre 2019, une journée d’échange sur le thème :

« Intelligence Artificielle dans l’immobilier  Présentation des meilleures initiatives 2019 »

Cette journée s’adresse, tout particulièrement, aux maîtres d’ouvrage publics et privés, logement et tertiaire, aux gestionnaires / property managers, aux directions commerciales, aux directions techniques, aux entreprises du bâtiment, aux mainteneurs et FMeurs, aux prestataires de services, aux start-up, etc.

Avec une dimension volontairement opérationnelle, elle vous permettra de prendre connaissance de cas concrets de mise en œuvre de l’Intelligence Artificielle dans l’immobilier. Ces applications ont été retenues par APOGÉE après un appel à manifestation d’intérêt (AMI).

Ces présentations constitueront autant d’occasions d’évoquer les conditions de réussite, les problématiques de mise en œuvre, les partenariats à nouer entre acteurs et montreront les résultats tangibles qu’il est possible d’obtenir en termes de performance et de création de valeur.

Ces interventions seront complétées par des présentations de démarches d’acteurs majeurs : Action Logement, laFédération Française du BâtimentNexity et SBA.

> Programme

Inscription obligatoire avant le 4 septembre, auprès de Véronique FRICOU, APOGÉE, en nous renvoyant le bulletin d’inscription, accompagné de votre règlement (à l’ordre d’APOGÉE),
à ASSOCIATION APOGÉE – 11, boulevard Brune – 75682 PARIS Cedex 14.

Renseignements complémentaires : tél. : 01 40 44 90 64, courriel : contact1@association-apogee.fr

Villes étudiantes : quelles sont les plus chères de France ? @UNEF

Source : UNEF

Découvrez le classement 2019 des villes les plus chères de France selon le coût de la vie étudiante. Entre le logement et le transport, de nombreuses inégalités et différences persistent chaque année… Quelles sont les 10 villes les plus chères ? Quelles sont les 10 villes les moins chères ? 

Retour Accueil

L’accès au logement : première source d’inégalités territoriale 
Les disparités dans l’accès au logement pour les étudiant·e·s sont très importantes l’écart du loyer mensuel moyen entre la ville universitaire la plus chère (Paris avec 873 euros) et la ville la moins chère (Le Mans avec 340 euros) est donc de 533 euros par mois. Avec 3,86% d’augmentation des loyers au niveau national, la rentrée 2019 est celle de l’explosion des coûts des logements tandis que les aides au logements (APL) sont quant à elle gelée. Les dépenses en logement des étudiant·e·s deviennent donc de plus en plus importante, il est donc urgent de généraliser l’encadrement des loyers à toutes les villes universitaires afin de protéger l’accès des étudiant·e·s à des logements abordables et décents sur leur lieu d’étude.

L’accès aux transports : des évolutions disparates des tarifs et des inégalités territoriales importantes : 
L’évolution des tarifs étudiants dans les transports en commun est très disparates en fonction des politiques locales mises en œuvre par les collectivités territoriales. En effet de nombreuses villes ont fait le choix de diminuer leurs tarifs cette année ou encore de créer des tarifs spécifiques pour les boursier(e)s alors que dans le même temps d’autres villes continuent d’augmenter chaque année les tarifs, précarisant de plus en plus les étudiant(e)s.

Classement des villes étudiantes les plus chères de France :
1. Paris : 1288,83 €
2. Nanterre : 1140,65 €
3. Créteil : 1084,65 €
4. Guyancourt : 1066,65 €
5. Champs sur marne : 1049,65 €
6. Saint Denis : 1041,65 €
7. Cergy : 1020,65 €
8. Orsay : 1018,65 €
9. Evry : 1017,65 €
10. Nice : 1002,83 €
11. Bordeaux : 962,45 €
12. Lyon : 962,41 €
13. Aix en Provence : 946,08 €
14. Marseille : 914,08 €
15. Lille : 912,95 €

Cliquez ici pour voir le classement des 40 villes

Lire aussi :

Lutte contre la désertification médicale : le Département de l’Aisne lance un plan santé #Aisne

Source : Département de l’Aisne

Afin de favoriser l’accès aux soins et lutter contre la désertification médicale, le Département de l’Aisne a adopté son plan Santé. Élaboré en partenariat avec l’Agence Régionale de Santé, l’Ordre des médecins, les collectivités locales et l’État, il vise à activer tous les partenariats pour renforcer l’offre de soins dans l’Aisne.

Avec 91,6 médecins pour 100 000 habitants notre département affiche la 5e plus faible densité en France métropolitaine. L’accès aux soins se révèle particulièrement difficile dans les secteurs ruraux et les franges périurbaines de l’Aisne.

Aux côtés des territoires
En 2016, le Département s’engageait aux côtés des territoires avec son dispositif Aisne Partenariat Investissement, qui a permis de cofinancer de nombreuses Maisons de Santé Pluridisciplinaires. L’Aisne a le meilleur réseau de MSP des Hauts-de-France. Afin de renforcer cet engagement, le taux de financement sera revu à la hausse de 50 à 80 %.

En 2019, une convention a été signée avec l’Agence Régionale de Santé Grand-est pour autoriser les étudiants en médecine de la Faculté de Reims à effectuer leurs stages dans l’Aisne. Objectif : faire venir des jeunes stagiaires pour leur donner envie de s’y installer.

Un plan d’action concret
Des partenariats seront déployés pour inciter des médecins à s’installer dans le département. Afin d’accroître le nombre de stagiaires de 3e cycle dans l’Aisne, des moyens seront déployés : participation aux frais d’hébergement et de déplacement, promotion des offres de stages, accroissement du nombre de maîtres de stage, etc.
Le dispositif des « médecins adjoints » va être activé afin d’accroître le nombre de praticiens dans l’Aisne. Ces médecins non thésés pourront travailler 3 ans maximum sous couvert d’un médecin de rattachement.

Le Département va également répondre à l’appel à candidature du Ministère de la Santé qui va recruter 400 médecins salariés pour les territoires prioritaires. Ce dispositif sera complété par le recrutement de médecins « salariés »financés par le Département et les collectivités locales et mis à disposition des territoires pour 3 années maximum.

Plus d’informations…

Lire également :

Concevoir un site comme celui-ci avec WordPress.com
Commencer