Archives du 14 Mai 2019

Nantes vs Rennes : dans quelle ville investir ? @SeLoger #immobilier

Source : Se Loger

En termes d’immobilier, qui l’emporte entre Rennes ou Nantes ? Découvrez l’étude comparative réalisée par Se Loger afin de savoir dans quelle ville les prix immobiliers sont les plus attractifs. Focus sur les prix, les délais de vente, la rentabilité locative de chacune de villes… 

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Prix immobilier : à Rennes, le m² coûte un peu plus cher qu’à Nantes
Comme en attestent les données récoltées par le baromètre LPI-SeLoger, le prix au m² à Rennesatteint les 3 491 €. « Dans l’hyper-centre, on peut même dépasser les 4 000 € » précise Bénédicte Hecker, Directrice de PG&A Immobilier et sur les douze derniers mois, le prix de l’immobilier y progresse de 11,3 %. Devenir propriétaire coûte donc plus cher à Rennes que dans la Capitale des Ducs de Bretagne car dans l’ancien, le prix immobilier à Nantes se limite à 3 427 € du m² pour une hausse annuelle qui se cantonne à 4 %.

Les appartements sont plus fortement négociés à Rennes : 6 %
Entre le prix de vente qu’un propriétaire demande pour son bien et le prix de d’achat final, l’écart est plus important à Rennes qu’à Nantes. En effet, le baromètre LPI-SeLoger nous apprend que c’est dans la capitale bretonne que la marge de négociation est la plus élevée

C’est à Nantes que le prix moyen d’un bien est le plus élevé : 404 000 €
Selon les informations de SeLoger, à Rennes, dans l’ancien, un bien coûte, en moyenne, 337 000 €. « Mais une maison classique de trois ou quatre chambres ne partira pas à moins de 550 000 € » fait remarquer Bénédicte Hecker. En terre nantaise, par contre, le prix moyen d’un logement avoisine les 404 000 €.

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Logement social : que prévoit le Plan logement 2 de la Banque des Territoires ? @BanqueDesTerr

Source : Banque des Territoires

La Banque des Territoires a dévoilé, le 25 avril, son Plan Logement 2.  Il a pour but d’accompagner le logement social jusqu’en 2023, avec un renforcement des quasi fonds propres des bailleurs sociaux et un fort soutien à l’investissement des organismes HLM. Mais alors, que prévoit ce Plan Logement 2 ? Quel bilan pouvons-nous tirer du Plan logement 1 ? 

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Plan logement 1 : « le succès important d’une offre massive »
La Banque des Territoires a tout d’abord dressé un bilan d’étape de son Plan logement 1 (bilan déjà esquissé le 11 avril lors de la présentation des résultats 2018 de la Caisse des Dépôts – voir ci-dessous notre article du même jour), qui comportait plusieurs composantes. La principale consistait en un allongement de la maturité de la dette des bailleurs sociaux. Lors de l’appel à manifestation d’intérêt, pas moins de 370 bailleurs se sont manifestés, pour un total d’encours de 16,2 milliards d’euros. Après examen, 14,7 milliards d’euros d’offres d’allongement ont été acceptées (6.150 avenants pour 24.700 lignes de prêts), soit 91% de la demande. Cet allongement représente une économie d’annuités de l’ordre de 350 millions d’euros pour le secteur du logement social. La Banque des Territoires voit dans ces chiffres le « succès important d’une offre massive, déployée en seulement trois mois et plébiscitée par deux bailleurs sur trois ».

Plan logement 2 : renforcer les quasi fonds propres des bailleurs sociaux…
Pour sa part, le Plan logement 2 répond à quatre objectifs majeurs : apporter au secteur du logement social de la visibilité à moyen terme (sur quatre à cinq ans), soutenir l’investissement, répondre – grâce à une palette d’outils concertés -, aux disparités de situations au sein du secteur, quel que soit le statut juridique ou le territoire d’action du bailleur et, enfin, garantir la solvabilité du secteur dans le cadre du rôle systémique de la Caisse des Dépôts. Fort de ces objectifs, le Plan logement 2 comprend deux grands volets : le renforcement des quasi fonds propres des bailleurs sociaux et le soutien à l’investissement des organismes HLM.

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Nexity : Série de nominations à la plateforme de services immobiliers @Nexity

   Source : Nexity

En cohérence avec la mise en œuvre de la plateforme de services immobiliers, ces nominations viennent renforcer l’efficacité de l’organisation stratégique par client – Particulier, Entreprise et Collectivité, Interne – et consolider les performances d’une gestion opérationnelle au plus près du terrain.

En effet, la force de Nexity repose sur son capital humain de plus de 10.000 collaborateurs et appelle une organisation des directions transverses, notamment celles au service du « client Interne », les managers et collaborateurs.

Concrètement, les mouvements et nominations sont les suivants :

  • Fabrice Aubert qui a aidé à lancer la politique d’innovation de Nexity entre janvier 2016 et mai 2017, avant de rejoindre le secrétariat général de la Présidence de la République, revient chez Nexity en tant que Secrétaire général du Groupe. Il sera chargé à la fois d’enjeux d’organisation (et sera nommé à ce titre secrétaire du conseil d’administration et du comité exécutif de Nexity) et d’une mission de développement du groupe.
  • Stéphanie Le Coq de Kerland, jusqu’alors Directrice juridique des services immobiliers de Nexity, est nommée Directrice juridique opérationnelle de Nexity.
  • Blandine Castarède prend en charge une Direction de la communication globale pour le Groupe regroupant la Direction de la communication et de la marque – qu’elle dirigeait déjà depuis 2011 – et la Direction de la communication interne, désormais fusionnées.
  • Alexandra Lenormand, Directrice de l’Immobilier et des Achats depuis 2018, prend en complément la Direction de la gestion et du contrôle des risques de Nexity.
  • Nicolas Drouvillé, chez Nexity depuis 2013 en tant que Responsable du Contrôle interne puis Directeur adjoint Audit interne, est promu Directeur de l’audit interne.
  • Enfin, le rôle de déontologue du Groupe est confié à François Bonnet, ancien dirigeant de Nexity Immobilier résidentiel. En rattachement direct à la présidence de Nexity, il aura à traiter les alertes portant sur des questions d’éthique, et à traiter et suivre les situations pouvant constituer des conflits d’intérêt et les situations à risque.

Grand Paris Express : le 1er projet de transformation approuvé ! @GdParisExpress

Source : Société du Grand Paris

Le projet de transformation de la Courneuve Six-Routes, situé en Seine-Saint-Denis, a été approuvé le 9 mai. Il s’agit du 1er projet de pôle du Grand Paris Express à aboutir. Au total, 68 nouveaux pôles de mobilité verront le jour. 

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Le Comité de pôle de La Courneuve, présidé par Stéphane Troussel, président du Conseil départemental de la Seine-Saint-Denis et Gilles Poux, maire de La Courneuve et composé du Conseil départemental de la Seine-Saint-Denis, de Plaine Commune, d’Île-de-France Mobilités et de la Société du Grand Paris, a approuvé le projet de transformation du carrefour des Six-Routes de La Courneuve. Il s’agit du premier projet de pôle du Grand Paris Express à aboutir.

Cette étape est la première concrétisation de la démarche menée par Ile-de-France Mobilités et la Société du Grand Paris avec les territoires autour des places du Grand Paris, qui permettra d’améliorer les espaces publics autour des futures gares.
C’est également la concrétisation d’une ambition portée de longue date par le Conseil départemental de la Seine-Saint-Denis et Plaine Commune sur la requalification de la place de l’Armistice, plus connu sous le nom de carrefour des Six-Routes, au cœur de la Cité des 4000.

Consulter la suite du communiqué de presse

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Europe, élections et logement social @_GEFILS

Pour en savoir plus sur GEFILS et/ou vous abonner à l’EHebdo, rendez-vous sur www.gefils.fr, ou contactez alexandre.schoepfer@orfeor.com

Tout le monde est d’accord là-dessus et le quatrième rapport publié par la fondation Abbé Pierre et le FEANTSA début avril dernier l’avait longuement illustré, le «mal logement » est un cancer qui ronge la plupart des pays européens.

Trente-quatre millions de ménages sont en situation de surpeuplement dans leur logement, vingt-trois millions dépensent plus de 40% de leurs revenus pour se loger, dix-sept millions ne peuvent pas se chauffer correctement et surtout, sept cent mille personnes sont à la rue et sans-abri. Le plus inquiétant dans cette crise du «mal logement» est qu’elle s’accroît au lieu de se résorber et qu’elle s’accroit année après année, notamment dans les pays les plus développés, au rang desquels on compte l’Allemagne, la Grande-Bretagne et, dans une moindre mesure peut-être, la France. La Finlande est la seule à faire figure de bon élève.

Il est vrai que la comparaison de la situation du logement et spécialement du logement social, dans les différents pays composant l’Europe des Vingt Huit est très difficile à faire.
Chacun y va de son modèle, de sa politique ou de son système, héritage des coutumes, des organisations économiques et sociales, de la stratification des différentes époques de chaque histoire politique nationale.

Face à ce puzzle et dès son origine, à une époque où l’on parlait encore de l’Europe des six, il n’était dans l’esprit de personne de vouloir mettre en place une politique commune du logement. A fortiori, lorsque l’auberge espagnole compta vingt membres et que les règles de la libre concurrence et de la libre circulation dominaient le chantier de la construction européenne, on relégua la question du logement en prenant soin d’en réserver la compétence exclusive aux états membres. Ainsi l’Europe n’a pas la compétence logement et ce n’est qu’accessoirement que ses politiques communes ou les instruments de ces politiques ont concerné le logement social ou privé.

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