Archives du 4 Mai 2018
Tout savoir sur la Taxe des logements vacants @SeLoger
Source : Se loger
Il existe de plus en plus de logements inoccupés dans les grandes villes bien que la demande en logements soit très importante. C’est pour cette raison que La TLV, taxe sur les logements vacants, existe. Mais alors, qu’est-ce que la taxe TLV ? Comment en être exonérer ?
Qu’est-ce que la taxe sur les logements vacants ?
La TLV (Taxe sur les logements vacants) est une mesure incitant les propriétaires et usufruitiers à mettre en location un logement vide. Elle ne concerne que les biens situés en zones tendues, soit dans les villes de plus de 50 000 habitants ou présentant un fort déséquilibre entre l’offre et la demande. Les habitations sont dites vacantes lorsqu’elles sont non meublées et laissées inoccupées depuis au moins 1 an au 1er janvier de l’année d’imposition. La taxe est alors calculée à partir de la valeur locative :
– 12,5 % la 1ère année où le logement est imposable.
– 25 % à partir de la 2e.
Pour s’exonérer, il faut passer 90 jours/an dans son logement
Il ne suffit pas de faire un peu de décoration, payer l’eau et l’électricité pour s’affranchir d’une dette auprès des services fiscaux. Le bien meublé est alors considéré comme résidence secondaire et le propriétaire sera redevable de la taxe d’habitation, majorée qui plus est, car il ne s’agit pas d’une résidence principale. Sa disparition à l’horizon 2020 ne change rien, car la « surtaxe » adossée aux résidences secondaires sera a priori maintenue, voire plus coercitive.
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LLC et Associés au service des projets d’aménagement – Regard de Jérôme Lefort @llcavocats @cmarkea
À l’occasion de la prochaine édition du Speed Dating du Logement et de l’Immobilier à Paris le mardi 5 juin 2018, Arkéa Banque Entreprises et Institutionnels dévoile son nouveau livre blanc. Cet ouvrage collectif recueille une vingtaine de témoignages d’acteurs du terrain (experts de l’immobilier, élus locaux…) portant sur le thème du nouvel ouvrage : les nouvelles tendances de l’aménagement urbain
Découvrez en avant première un extrait du témoignage de Jérôme Lefort, Président du Groupe – Avocat Associé, LLC et Associés
LLC et Associés est un groupe pluridisciplinaire d’avocats qui couvre l’ensemble des problématiques du droit (droit des affaires, droit public, droit l’immobilier, droit de l’environnement et de l’énergie) et qui accompagne notamment les opérations d’aménagement.
« Il y a quelques années, nous étions dans ce domaine avant toute chose au service d’un client. Désormais, nous sommes aussi au service de projets où la finalité est devenue la satisfaction de l’usager. La transversalité est au cœur de nos interventions, qui mobilisent des professionnels du droit des nouvelles technologies, des transports, de l‘environnement et de l’énergie. Nous nous attachons à appréhender tous ces métiers et ces enjeux techniques, et à rechercher les usages pour mieux y répondre. Cette démarche partagée est devenue notre ADN. »
DES USAGERS MAINTENANT AU CENTRE DE TOUS LES DISPOSITIFS
Déjà + de 600 millions d’€ investis dans les commerces en France cette année @knightfrank
Source : Knight Frank
Knight Frank a réalisé le bilan du marché de l’immobilier de commerce au 1er trimestre 2018. Nous comptons plus de 600 millions d’Euros investis dans les commerces en France, et se retrouve à la 1ère place « La Madeleine » sur le marché parisien.
Marché locatif : des performances contrastées
Les emplacements les plus qualitatifs des meilleures artères restent la cible prioritaire des grandes enseignes. Celles-ci cherchent à conjuguer flux, visibilité et rentabilité, ce dont attestent de nombreux projets de flagships dans la capitale comme au cœur des principales métropoles régionales. Les centres commerciaux régionaux les plus fréquentés et les retail parks de nouvelle génération tirent également leur épingle du jeu, ces derniers bénéficiant d’une demande plus variée des enseignes et de l’essor de nouveaux concepts, dans le domaine des loisirs notamment.
L’évolution de la demande des enseignes révèle toutefois de grandes disparités selon les secteurs d’activité. « Restauration et alimentation, fitness et articles de sport, produits de soin, etc. : les concepts ayant trait au « bien-être » dans son acception la plus large continuent de se multiplier, en pied d’immeubles comme au sein de grands ensembles commerciaux. D’autres secteurs offrent un tableau plus contrasté, tel celui de la mode, impacté par une généralisation des opérations de rationalisation, quels que soient le niveau de gamme ou la renommée des enseignes » explique Antoine Salmon, Directeur Retail Locatif chez Knight Frank.
Focus sur le marché parisien : La Madeleine en vedette