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Un lien entre l’accession à la propriété et le chômage ? @InseeFr

Source : Insee

Depuis déjà 50 ans, le nombre de propriétaires est en grande hausse. Mais alors, cette accession à la propriété aurait-elle des effets défavorables et négatifs sur l’emploi ?

Insee

Si le statut de propriétaire est généralement associé à une meilleure situation sur le marché du travail, une augmentation de la densité de propriétaires au niveau local va pourtant de pair avec une hausse du taux de chômage. Ce paradoxe, mis en évidence dans de nombreux travaux, est examiné ici pour la France, où la propriété s’est considérablement développée depuis cinquante ans. Il peut se comprendre comme la résultante de deux effets.

D’une part, les propriétaires sont effectivement moins souvent au chômage que les locataires : une plus forte densité de propriétaires joue dès lors mécaniquement à la baisse sur le taux de chômage. D’autre part, une forte densité de propriétaires peut engendrer des tensions sur le marché du logement : ces tensions sont susceptibles de compliquer la recherche d’emploi des chômeurs, par exemple en limitant leurs opportunités de trouver un logement à proximité des offres d’emploi. Les données des recensements successifs de la population entre 1968 et 2011 permettent d’estimer l’ampleur de ces effets pour la France. Il en ressort que le second effet l’emporte sur le premier : en particulier, une hausse de 10 points de la densité de propriétaires au niveau local serait associée à des frictions sur le marché du travail accroissant d’environ 1,3 point le taux de chômage local. La résultante des deux effets serait néanmoins d’ampleur modérée, à hauteur de 0,6 point sur le chômage local.

Des interactions entre marché du logement et marché du travail

Au-delà des réformes spécifiques du marché du travail, la mobilité géographique et professionnelle des travailleurs est souvent avancée parmi les pistes propres à réduire le taux de chômage (Amara et al., 2016).

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Pourquoi les jeunes sont-ils attirés par l’immobilier neuf ? @Emerige

Source : Emerige

L’immobilier neuf séduit de plus en plus les jeunes aujourd’hui. En effet, 19% d’entre eux sont intéressés par l’achat d’une maison ou d’un appartement neuf. Emerige

1 jeune sur 3 veut acheter un logement neuf

C’est une étude de YouGov pour PAP Événements, parue le 7 mars en vue de la première édition du Salon de l’Immobilier Neuf, qui nous l’apprend. Les Millenials, cette génération née entre 1980 et 2000, préfère l’immobilier neuf à l’immobilier ancien.

L’étude révèle en effet que 35% des 18-24 ans et 34% des 25-34 ans songeraient à devenir propriétaire d’un bien immobilier neuf. Ils seraient même respectivement 10% et 6% à être déjà engagés dans une procédure d’achat.

Pourquoi les jeunes préfèrent l’immobilier neuf

Si les prix sont légèrement plus élevés que pour l’achat d’un appartement ancien, le neuf permet de faire de nombreuses économies sur le long terme. Les jeunes ne s’y trompent pas et citent, parmi les avantages d’un bien immobilier acheté neuf ou en VEFA :

– Le respect des normes énergétiques et de sécurité
– L’absence de travaux « pour au moins 10 ans » grâce aux garanties de parfait achèvement, biennale et décennale
– Les avantages fiscaux ainsi que les aides à l’achat exclusives à l’immobilier neuf

Les taux actuellement attractifs des crédits immobiliers font également partie des motivations qui incitent les Millenials à acheter un appartement neuf. Pour renforcer leur pouvoir d’achat immobilier, ils peuvent aussi compter sur les frais de notaire réduits de l’immobilier neuf : seulement 2 à 4% du prix d’acquisition du logement contre 7 à 8% dans l’immobilier ancien.

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Micro-Logements : tout savoir sur la taxe Apparu @pap_fr

Source : PAP

Si vous proposez des loyers élevés pour des logements de petite surface, soit inférieur à 14m², vous aura la taxe « Apparu » à payer. En 2018, les logements concernés par cette taxe sont ceux ayant un loyer un mensuel hors charges excédant 41.95€ par mètre carré.

pap

Les loyers perçus depuis le 1er janvier 2012 peuvent être frappés par la taxe annuelle sur les loyers élevés des logements de petite surface, dite « taxe sur les micro-logements » ou plus simplement « Taxe Apparu », du nom du secrétaire d’État chargé du Logement et de l’Urbanisme de l’époque.
Cette taxe concerne les propriétaires bailleurs qui louent des logements :
d’une superficie inférieure ou égale à 14m² ;
— loués vides ou meublés pour une durée minimale de neuf mois, c’est-à-dire les logements constituant la résidence principale du locataire. Les logements loués par des étudiants sont donc notamment visés ;
— situés dans une zone dite « tendue » (coût du loyer élevé, pénurie de logements). Ces communes sont définies comme étant celles de la zone  A (incluant la zone A bis) telle que fixée l’arrêté du 30 septembre 2014. Schématiquement, sont concernés : les logements situés à Paris et sa banlieue, dans les plus grandes villes, sur la Côte d’Azur et dans le Genevois français. 

Lorsque tous ces critères sont cumulativement réunis, le propriétaire bailleur est taxé si le loyer hors charges dépasse un certain montant fixé annuellement ; en 2018, le seuil est fixé à 41,95 € par mètre carré de surface habitable (contre 41,64 € en 2017).

En savoir plus sur la taxe Apparu

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Devenir propriétaire à @Paris, c’est encore possible ! @CAFPIPRET @Galivel

Source : Galivel

logo_cafpi_arrondiDès fois il existe une certaine ambiguïté lorsqu’il s’agit de louer ou acheter un logement dans la capitale. Acheter n’est pas forcément beaucoup plus cher que louer, Il y a possibilité de faire de bonnes affaires. Un cas concret!

CAFPI a récemment répondu à la demande de Jason, un jeune cadre de 29 ans, célibataire.

Devenir propriétaire à Paris pour un effort mensuel supplémentaire de seulement 69 € !

  • Projet : l’achat d’un 32 m2 dans le 10ème arrondissement.
  • Budget : 293 049 € tout frais compris.
  • Apport : 45 000 €
  • Besoin de financement : 248 049 €
  • Revenus : 2 822 € net /mois.

Face à un vendeur qui le presse de se décider et à sa banque qui fait la sourde oreille, Jason mandate CAFPI pour boucler son opération en un temps record.

Les solutions de financement CAFPI :

  • Mobilisation du Prêt Paris Logement (PPL) 0 % pour un montant de 24 200 € remboursable sur 15 ans.
  • Mise en place d’un prêt à paliers de 223 849 € sur 25 ans, afin de limiter les mensualités (assurance – 25 € – comprise) à 909 € pendant 15 ans, puis à 1 300 € pendant les 10 années restantes.

En savoir plus

 

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@Institutionnels       @royojm                     @AlexandraPoloce

Multiloc’ : nouvel outil numérique pour propriétaires @Paris

La ville de Paris, soucieuse de ses citoyens, et dans le but d’aider les propriétaires et les professionnels de l’immobilier à cerner les avantages dont ils peuvent bénéficier et mieux comprendre la fixation des loyers plafonds applicables au dispositif, a mis en ligne un simulateur de loyers et des aides mobilisables.

Intitulé Multilooc’, Le dispositif mobilise les logements vacants du parc privé en faveur des jeunes actifs et familles des classes moyennes. Il permet aux ménages de trouver des logements à prix abordable dans le privé. En contrepartie d’un plafonnement de loyer, les propriétaires bénéficient d’aides accordées par la Ville de Paris.

Le nouveau simulateur Multiloc’ présentent les aides maximum mobilisables en fonction des caractéristiques du logement… Lire la suite

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