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Action Logement : création de PODELIHA, fruit de la fusion entre Immobilière Podeliha et F2M @ActionLogement @Podeliha_AL

Source : Podeliha

PODELIHA a été créée suite à la fusion entre 2 ESH du Groupe Action Logement, IMMOBILIÈRE  PODELIHA et F2M. PODELIHA (Pour le Développement Ligérien de l’Habitat) prend ainsi une dimension régionale décisive, avec  400 collaborateurs et un patrimoine de 26 000 logements, pour un budget annuel  d’investissements de près de 150 millions d’euros.

Podeliha

Le rapprochement entre F2M (5 000 logements en Mayenne et Sarthe) et Immobilière Podeliha  (21 000 logements en Loire-Atlantique, Maine-et-Loire et Vendée) s’inscrit dans la stratégie d’Action Logement Immobilier d’optimiser le fonctionnement de ses filiales et de leur garantir une  solidité financière. L’appartenance à un même groupe, à une même région ainsi que la qualité des relations nouées avec des interlocuteurs et des partenaires communs faisait de ce rapprochement une nécessité d’efficience opérationnelle et répond à la vocation d’utilité sociale  du groupe et de ses filiales.
L’ensemble des parties prenantes – collaborateurs, collectivités et acteurs institutionnels – ont été impliquées dans l’élaboration de la nouvelle organisation, tout au long du processus. Forte de son implantation sur 250 communes sur les 5 départements de la région, PODELIHA conserve l’ensemble des points d’accueil sur ces territoires, au bénéfice d’une relation de proximité avec ses clients et ses partenaires. L’ensemble des équipes demeure sur son lieu d’emploi d’origine et trouve sa place au sein de la nouvelle entité, dont le siège social est situé à Angers.
Philippe Justeau, Président de PODELIHA, a œuvré à la recomposition du Conseil d’administration en intégrant des administrateurs issus des deux entités. C’est dans son nouveau format qu’il tiendra sa première réunion le 1er juillet 2019.

Aux côtés de Gonzague Noyelle, Directeur général, et d’Isabelle Conan, Directrice générale adjointe en charge des territoires de Maine-et-Loire, de Vendée et de Loire-Atlantique, Patricia Perthuis, Directrice générale déléguée de F2M, prend au sein de PODELIHA la fonction de Directrice générale adjointe en charge des territoires de Sarthe et de Mayenne.

>> Consultez le communiqué de presse pour plus d’informations

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Marianne Louis, DG de l’USH : quels sont les enjeux du 80e Congrès Hlm ?@UnionHlm #CongresHlm

Source : Union sociale pour l’habitat

Rendez-vous annuel incontournable du logement social, vitrine du savoir-faire des organismes, le 80e Congrès Hlm se tiendra cette année à Paris, du 24 au 26 septembre, sur le thème Les Hlm, un modèle français. Quels sont les enjeux de ce 80e congrès ? Marianne Louis, Directrice Générale de l’USH, répond aux questions.

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Quel sens donner à ce 80e Congrès et au choix de sa localisation, Paris ?
« Ce Congrès de Paris est d’abord celui d’un double anniversaire. Il s’agit d’abord du 80e Congrès, et c’est un retour, trente ans après notre dernière visite. C’est aussi, en 2019, le 90e anniversaire de l’Union. Pour autant, nous ne voulons pas d’un Congrès commémoratif. Nous sommes certes les héritiers d’une histoire, les dépositaires d’une culture du logement social qui s’est construite au fil des périodes qu’a traversée la France, chaque organisme étant lui-même porteur d’une part de notre histoire collective. Mais il n’aura échappé à personne que certains considèrent mécaniquement que ce qui est ancien est dépassé. Nous n’offrirons pas le plaisir aux adversaires du logement social de considérer que ce Mouvement, parce qu’il a 90 ans, fait partie de l’histoire révolue de notre pays et de notre modèle social. Nous affirmons, bien au contraire, que le logement social fait partie de l’actualité et du futur de la France. »

Pourquoi ce thème, Les Hlm, un modèle français ?
« Le choix du thème d’un Congrès est une étape très importante. Il donne la ligne directrice que nous souhaitons imprimer à l’événement, sa cohérence de fond, sa cohérence graphique et éditoriale. Mais il est aussi le reflet d’une préoccupation du moment. Parler du « modèle français » du logement social, c’est d’abord affirmer son existence. Chaque organisme a son histoire propre, ses caractéristiques, sa culture, mais chacune se retrouve pour constituer un modèle original, reconnu et bien souvent envié à l’extérieur de nos frontières. C’est également avoir conscience que ce modèle est aujourd’hui remis en question par ceux qui considèrent que le logement social « à la française » n’est pas une chance pour la France, mais une anormalité. […] À ceux-là nous leur disons « banco ». Venez voir comment, aujourd’hui, la Grande-Bretagne et l’Allemagne, après avoir vendu des pans entiers de leur patrimoine immobilier social, réinvestissent massivement dans le logement social. Venez voir comment les Berlinois, les New-Yorkais refusent aujourd’hui la logique d’un logement livré aux seules règles du marché, avec pour conséquence la dégradation des conditions non pas de vie, mais d’existence. Je les invite par ailleurs à assister à la projection, en plénière et en exclusivité pour les congressistes, du documentaire Push, inspiré par le travail de la rapporteure de l’ONU en charge de la question du logement, Leilani Farha, qui délivre une analyse glaçante de ce que produit la financiarisation du logement, et singulièrement du logement social dans les pays qui ont connu cette bascule. Je peux vous assurer que c’est éclairant.

Quelles personnalités politiques sont invitées au Congrès ?
« Les invités seront nombreux, et je ne voudrais oublier personne. Nous avons prévu de solliciter l’avis de nombreux élus locaux, maires, parlementaires sur leur perception, à mi-mandat, de la politique du logement. Naturellement, la maire de Paris et la présidente du Conseil régional sont également conviées. Mais le Congrès est aussi la manifestation du lien entre l’État et l’Union, les Fédérations, et donc les organismes Hlm qui remplissent chaque jour, dans la diversité des situations et des territoires, une mission de service public. Il est donc très important que des représentants du gouvernement soient présents lors de cet événement. »

Consulter toute l’interview

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Action Logement : Clésence dévoile son rapport d’activité 2018 @ActionLogement @Clesence_AL

Source : Clésence

Clésence, filiale du groupe Action Logement, est le premier opérateur de l’ex-Picardie et le 4e bailleur social des Hauts-de-France. Elle construit et gère un patrimoine locatif de 33 000 logements dans les Hauts-de-France et en Île de France.
Découvrez son rapport d’activité 2018…

Le secteur du logement social est en profonde mutation. En effet, la loi de finances pour 2018, par le mécanisme de Réduction de Loyer de Solidarité (RLS), a fortement interrogé le monde HLM sur sa capacité à préserver pour les années à venir ses investissements, tant en production neuve qu’en interventions sur le patrimoine existant.

La loi Elan apporte une certaine réponse à ces inquiétudes en imposant aux organismes HLM dont le patrimoine ne dépasse pas 12.000 logements de se regrouper afin de rationaliser leur fonctionnement. En outre, cette loi encourage fortement les bailleurs sociaux à vendre plus de logements HLM prioritairement aux occupants selon une double logique : favoriser le parcours résidentiel et reconstituer en partie les fonds propres des organismes HLM pour le maintien des investissements.

Enfin, le dispositif « Action Coeur de Ville », en partenariat avec Action Logement, a été lancé par l’Etat en mars 2018 afin d’accompagner 222 communes en proie à la désertification de leur centre-ville. C’est dans ce contexte économique et politique difficile que LA MAISON DU CIL et LOGIVAM ont décidé de s’unir pour donner naissance à CLESENCE et constituer ainsi un ensemble plus puissant capable de préserver les investissements immobiliers sur le territoire des Hauts-de-France et plus particulièrement dans l’ex-Picardie.

Consulter le rapport d’activité…

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L’intervention des organismes Hlm en centre ancien @_GEFILS @J_Denormandie ‏

Pour en savoir plus sur GEFILS et/ou vous abonner à l’EHebdo, rendez-vous sur www.gefils.fr, ou contactez alexandre.schoepfer@orfeor.com

Action cœur de ville, dispositif Denormandie, plan « initiative copropriété » de l’ANAH, dispositifs OFS et BRS, etc. les programmes d’incitation à la réhabilitation des centres-villes anciens constituent aujourd’hui l’une des pistes prioritaires du Gouvernement pour contribuer à rattraper le temps perdu et compenser le manque actuel de construction de logement.

Mais la mise en place de ces programmes ne pourra se faire sans l’apport d’opérateurs capables d’agir à différentes étapes et dans les différentes dimensions des projets de requalification des quartiers anciens, et de maîtriser à la fois les enjeux techniques, financiers mais également humains et locaux pour y contribuer de manière efficace et pérenne.

Parallèlement à cela, la réforme de la politique du logement conduit les bailleurs à repenser leur métier et leur stratégie, et à explorer de nouveaux champs d’intervention. L’intervention de ces organismes en centre ancien pourrait et devrait constituer l’une de ces pistes.

Pour faire le point sur les enjeux, leviers et perspectives de cette dynamique, le Réseau des acteurs de l’habitat organisait fin juin une web conférence sur ce sujet en présence de Valérie Mancret Taylor (ANAH), de Marie Laure Vuittenez (Métropole Habitat Saint Etienne/AURA HLM) et de Claire Delpech (ADCF) pour rappeler à la fois les apports du secteur et les motifs de son engagement, mais également mettre en évidence les conditions de cette mobilisation afin d’optimiser leur effet de levier dans ces projets.

Si les Organismes de logement social (OLS) s’imposent comme des acteurs incontournables de ces programmes, c’est tout d’abord car ils ont de tout temps été aux côtés des collectivités pour réhabiliter des quartiers en perte de vitesse. Ils ont donc, notamment par ce biais, acquis une compétence globale (financière, organisationnel tel que le relogement de population), une force de frappe et une légitimité opérationnelle et locale indispensable à la réalisation de ce type de programme. Par ailleurs, au delà de leur ancrage local historique qui leur octroie confiance des collectivités, connaissance des enjeux, etc. les bailleurs ont l’avantage de ne pas être trop préoccupé par la rentabilité à court terme de leur programme, contrairement aux promoteurs privés, ce qui leur permet d’être plus facilement présents sur des « petites » opérations ou en zone détendue… Enfin, leur rôle social et leur faculté à créer ou recréer du lien social, à intégrer les habitants et contribuer au retour d’un service public dans la ville est très attendue et appréciée des collectivités dans la mesure où quand un bailleur (ou tout acteur public finalement) s’implante dans un quartier, l’effet de levier et d’entrainement est alors très fort pour les autres acteurs.

Ainsi, comme le rappelle Mme Mancret Taylor (ANAH), les bailleurs sont donc bienvenus et attendus dans le cadre de ces réhabilitations.

Néanmoins, comme le rappelle Mme Vuittenez, dont le mouvement HLM AURA apparait comme pionnier en la matière avec des OLS, organisés en inter-bailleurs, qui ont depuis longtemps voulu s’inscrire dans cette démarche et qui font aujourd’hui des offres de services aux collectivités dans ce sens, il faut que les bailleurs aient la volonté de le faire ! Sur ce point, la restructuration en cours chez les bailleurs qui va faire émerger des besoins et des champs nouveaux, les conduire à d’autres types d’intervention, de nouvelles collaborations avec les collectivités, les privés, laisse penser que ces derniers vont s’y intéresser de près.
D’un autre côté, il faut aussi, en plus de leur volonté, qu’ils disposent d’une taille et des compétences suffisantes pour susciter l’intérêt et la confiance des collectivités, voire des financeurs.

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Logeo Seine Estuaire : la vente HLM en bail réel solidaire prévue pour septembre 2019 @ActionLogement

Source : Logeo Seine Estuaire

Logeo Seine Estuaire, appartenant au groupe Action Logement, est la première ESH à se doter d’un OFS, Organisme de Foncier Solidaire en Normandie pour l’expérimentation de la vente sociale en bail réel solidaire. 100 logements de son patrimoine ancien dans les agglomérations du Havre et de Rouen sont concernés.

Dialoge

La vente en bail réel solidaire facilite l’acquisition de leur logement par les locataires, reste comptabilisée au titre de la loi SRU et sécurise les immeubles contre le risque de copropriété dégradée et de spéculation immobilière
« Cette expérimentation importante, sur 100 logements, est un premier pas. Nous sommes convaincus que le bail réel solidaire est une opportunité pour réaliser de la vente sociale autrement. C’est un nouveau rapport à la propriété, responsable et adapté aux ménages modestes qui souhaitent une alternative à la location ou à la vente traditionnelle. C’est également une alternative sécurisante pour gérer les futures copropriétés issues de la vente sociale de notre patrimoine. » déclare Mathias Levy-Noguères, président du Directoire.

Dès septembre 2019, Logeo Seine Estuaire expérimentera le bail réel solidaire sur 100 appartements situés dans les agglomérations havraise et rouennaise, au cœur de l’Axe Seine, son territoire d’intervention. La singularité de cette expérimentation repose sur le choix de proposer uniquement des logements issus de son patrimoine déjà existant ainsi que sur la diversité des territoires ciblés : centre-ville du Havre, quartier prioritaire, ville en périphérie et centre-bourg d’une commune de quelques milliers d’habitants. Ces logements seront proposés à un prix inférieur d’environ 20% au marché.

Consulter le communiqué de presse pour plus d’infos…

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