Archives de Catégorie: RSE
Altarea Cogedim entre au capital de Woodeum Résidentiel @altareacogedim @Woodeum
Source : Altarea Cogedim
Les fondateurs du groupe Woodeum, Guillaume POITRINAL et Philippe ZIVKOVIC, ont annoncé, le 16 juillet, l’entrée du Groupe Altarea Cogedim, premier développeur immobilier en France, à hauteur de 50% au capital de leur filiale Woodeum Résidentiel avec pour ambition de développer la promotion résidentielle bas carbone à grande échelle.Dans le cadre de cette opération, le groupe Woodeum devient WO2 holding et la filiale Woodeum Résidentiel, objet de l’opération, s’appellera désormais Woodeum.
Ce partenariat stratégique et financier conclu entre Woodeum et Altarea Cogedim vise à accélérer la production de logements, avec un objectif de 2500 à 3000 logements en bois massif lamellé contrecroisé (CLT) par an, d’ici 2023. Fruit d’une mûre réflexion sur l’avenir de la ville de demain, ce rapprochement permettra aux deux groupes de croiser leurs expertises pour répondre de manière commune aux attentes des collectivités comme des citoyens.
Cette alliance renforce la stratégie d’Altarea Cogedim dans sa démarche de responsabilité sociétale et environnementale d’entreprise avec pour objectif d’aller vers la neutralité carbone de son empreinte, en développant des solutions décarbonées avec des constructions bois mais aussi des matériaux biosourcés à faible impact carbone. Il vient compléter la plateforme de compétences et de développement d’Altarea Cogedim, couvrant l’ensemble des classes d’actifs immobiliers (logement, commerce, bureau, logistique, hôtellerie, résidences services…), lui permettant de répondre efficacement et de manière globale aux enjeux de transformation des territoires.
La transaction valorise Woodeum (anciennement Woodeum Résidentiel) à environ 100 millions d’euros. De surcroit, le groupe Altarea Cogedim s’est d’ores et déjà engagé à mettre à la disposition de la société un financement de 50 millions d’euros supplémentaires pour favoriser son développement.
Consulter le communiqué de presse pour plus d’informations…
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Innovation urbaine : Nexity lab devient Envies de villes @nexity
Source : Nexity Lab
Lancée il y a 2 ans maintenant, Nexity Lab, plateforme de réflexion prospective autour de l’innovation urbaine, a permis de mettre en lumière les enjeux de la ville de demain. Le média évolue aujourd’hui avec une toute nouvelle identité et un nouveau nom : Envies de ville.
À nouvelle identité, nouvelle ligne éditoriale : Envies de ville est une plateforme de solutions pour nos territoires, et propose aux collectivités et à tous les acteurs de la ville des réponses concrètes et inspirantes, à la fois durables, responsables et à l’écoute de l’ensemble des citoyens.
Chaque mois, Envies de ville donne la parole à des experts, rencontre des élus et décideurs du territoire autour des enjeux clés liés à l’aménagement et à l’avenir de la ville, afin d’offrir des solutions à tous ceux qui « font » l’espace urbain : décideurs politiques, urbanistes, étudiants, citoyens… Ces contenus offrent ainsi un éclairage pratique et prospectif autour de six thèmes :
– Transition écologique
– Grands projets
– Habitat
– Populations
– Attractivité
– Penser la ville
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Comment la transition énergétique vient-elle booster l’emploi ? @ademe
Source : Ademe
Le 9 juillet dernier, l’ADEME a publié un état des lieux des marchés et des emplois qui participent à la transition énergétique et écologique (transports, bâtiment résidentiel et énergies renouvelables). Les marchés associés à ces filières ont plus que doublé et le nombre d’emplois directs a augmenté de 75% entre 2006 et 2017, avec plus de 370 000 personnes employées dans ces secteurs.
3 marchés dynamiques qui favorisent la création d’emplois
– Le chiffre d’affaires des marchés liés aux modes de transport concourants à la transition écologique a été presque multiplié par quatre en 11 ans. Il atteint 33,5 Md€ en 2017 et la filière emploie plus de 94 000 ETP. Cette évolution résulte de l’augmentation de la part des véhicules moins émetteurs de CO2 dans le parc automobile ainsi que du développement des modes alternatifs au transport routier individuel.
– Les marchés de la rénovation énergétique des bâtiments ont augmenté de 79% entre 2006 et 2017, représentant désormais un chiffre d’affaires d’environ 31 Md€. Dans cette même période, le volume d’emplois s’accroît d’environ 59%, s’établissant à plus de 218 000 ETP.
– Enfin, l’ADEME a constaté que le marché des énergies renouvelables et de récupération a plus que doublé entre 2006 et 2017, avec une augmentation de 39% des emplois. Le chiffre d’affaires représente ainsi 26 Md€ en 2017. Ce secteur emploie désormais plus de 86 000 ETP.
Des évolutions contrastées
Portés par les politiques volontaristes de l’État sur l’économie verte, ces marchés sont en nette progression depuis une dizaine d’année.
Les investissements dans la fabrication et l’installation des équipements et infrastructures représentent une part importante de ces marchés : 72% pour le secteur des transports et 90% pour celui du bâtiment résidentiel. Pour le secteur des énergies renouvelables, si les investissements dans la fabrication, la construction, l’installation et la vente des équipements représentent 30% du marché, ce sont les ventes d’énergie et la maintenance qui représentent la plus grande part du chiffre d’affaires (63%).
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Le guide sur les énergies renouvelables est paru ! @FedEpl
Ce guide numérique, rédigé en partenariat avec la SCET et Sergies, donne les clés de compréhension à tout élu qui souhaite développer un projet d’énergie renouvelable sur son territoire.
Mener un projet d’énergie renouvelable (EnR) reste complexe. Il nécessite de savoir coordonner différents acteurs, de maîtriser le modèle économique et de bien dimensionner les installations. Dans ce domaine, les Entreprises publiques locales (Epl) ont fait leurs preuves.
Ce guide, conçu comme un outil pédagogique, présente le rôle des collectivités et des Epl, les grandes étapes d’un projet et le modèle économique. Il dresse également un état des lieux de chacune des filières d’énergie renouvelable.
Développement durable : Saint-Etienne Métropole lance la solarisation de son patrimoine immobilier @SteMetropole
Source : Saint-Etienne Métropole
La Métropole de Saint-Etienne lance la solarisation de son patrimoine immobilier. En effet, depuis 2014, Saint-Étienne Métropole est engagée dans une démarche de territoire à énergie positive qui vise, d’ici 2050, à multiplier par 6 les productions d’énergie renouvelable. La solarisation du patrimoine en est une première traduction.
Un premier panneau photovoltaïque installé sur le toit du dépôt de la Stas : la pose est symbolique mais elle marque, ce vendredi 5 juillet 2019, le démarrage d’une opération d’envergure, la solarisation du patrimoine immobilier de Saint-Étienne Métropole.
Dès cet été, près de 5 000 modules seront déployés et couvriront les 8 000 m² de toiture de ce bâtiment dont Saint-Étienne Métropole est propriétaire. Celui-ci deviendra un site à énergie positive d’un point de vue électrique, une partie de l’énergie produite étant même injectée dans le réseau de tramway. Ce sont ainsi 25 % des passagers de l’ensemble du réseau qui seront transportés grâce à l’énergie solaire !
PLUS DE 150 BÂTIMENTS PUBLICS CONCERNÉS
– Mais la Métropole ne compte pas s’arrêter là ! Au total, plus de 150 bâtiments publics devraient accueillir à terme des panneaux photovoltaïques sur leur toiture, ce qui représente un potentiel de 150 000 à 200 000 m² de surface à couvrir et permettra d’éviter le rejet de 15 000 tonnes de C0² chaque année.
– Parmi eux, figurent des sites emblématiques de la Métropole, comme le Musée d’art moderne, l’Opéra, Novaciéries, le stade Geoffroy-Guichard, dont une partie du parking sera solarisé, mais aussi une trentaine de bâtiments scolaires (écoles, collèges, lycées) et près d’une dizaine d’équipements sportifs.
– Très ambitieux, ce projet de solarisation porté par la Métropole et ses partenaires, GreenYellow et le groupement Énergie Partagée, est d’une ampleur inédite en France. Au total, la solarisation de l’ensemble des bâtiments concernés permettra de produire 30 000 mégawattheures, soit la consommation électrique, hors chauffage, de 12 000 logements.
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