Archives du 13 juin 2017

La livraison : Enjeu emblématique des commerçants, que faire? #Arkeaimmobilier @cmarkea @Urbismart

Urbismart livre blanc Fondée en 2014 par Thierry Bruneau, Jean-Paul Rival (dirigeants de Concerto European Developer), Michel Rascol (Directeur Général du 4PL Intologistics) et Pierre Orsatelli (Consultant), Urbismart entend repenser la logistique globale en zone urbaine, pour optimiser les coûts de manière pérenne. Un projet ambitieux pour cette « probable future » pépite française.

Soutenue dans un premier temps par la foncière Affine, spécialisée dans l’immobilier d’entreprises, puis par Kaufman & Broad, dont la filiale Concerto European Developer oeuvre dans l’immobilier logistique, Urbismart est d’abord une histoire d’hommes, de confiance mutuelle et de parfaite connaissance d’un marché complexe, mobilisant de nombreux intervenants : la logistique.

Oser repenser la chaîne logistique

« Nous savions qu’en nous focalisant sur le dernier kilomètre, nous n’y arriverions pas. Il fallait regarder les choses de manière plus large. Nous ne sommes ni transporteurs ni chargeurs et nous avions donc la chance d’avoir une vision neutre, nous permettant de tout remettre à plat et d’inventer le modèle de demain ».

L’équipe d’Urbismart se met donc à plancher. Et l’affaire n’est pas simple. Il faut partir de ces fameuses « grandes plates-formes logistiques » situées en périphérie des villes et penser un modèle décloisonné pour livrer boutiques et particuliers en centre-ville. Or, la spécificité du monde de la logistique, aujourd’hui, est d’être très cloisonné et fragmenté. « Il y a les chargeurs, ceux qui livrent, dont l’obsession est le prix. Vous avez également les transporteurs (environ 35 000), qui n’ont cessé de baisser leurs coûts sous la pression de leurs clients. Les marges sont très faibles, il y a peu de diversification possible et leur activité est très précaire, notamment en ce qui concerne les plus petits qui deviennent sous-traitants des plus gros », constate Jean-Paul Rival.

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Des moutons pour tondre les pelouses des entreprises @3F_Officiel @ActionLogement

Source : 3f-ecoresponsable.fr

De l’éco-pâturage pour entretenir les espaces verts . L’idée consiste à faire tondre les pelouses des entreprises de manière écologique, sans faire appel à des agents d’entretien. Comment-fait -on concrètement?

La pratique de l’éco-tondeuse

éco-tondeuse

Ils sont devenus la nouvelle attraction pour les salarié·e·s de plusieurs grandes entreprises. Une initiative novatrice et responsable qui propose un service pour prendre soin des espaces verts. Des sociétés comme « Terr’Avenir », « Ecomouton » ou encore « Moutondeurs » se sont lancées le défi de faire du mouton une alternative à la tondeuse et un allié du jardinier. Voilà pour le concept. Pour ce qui est des faits ; les moutons sont amenés par un berger qui a estimé au préalable, après une analyse du terrain, le nombre de bêtes nécessaires et a cloisonné l’espace pour cibler l’action des moutons. Le berger effectue par la suite, un suivi vétérinaire des moutons en leur rendant visite régulièrement pour s’assurer de leur bien-être. Pour ce genre de travail, on emploi la plupart du temps, des moutons d’Ouessant. Ils ont la particularité d’être une race rustique, de petite taille et qui peut rester dehors toute l’année. Cette démarche permet également de préserver et valoriser l’Ouessant, une espèce en voie d’extinction, car des moutons au milieu d’une entreprise : tout le monde en parle !

Un + pour les entreprises

Aux nuisances sonores et aux pesticides, les entreprises préfèrent cette solution écologique qui nous vient du passé et qui s’inscrit dans une démarche globale pour l’environnement. Qui plus est, la présence des moutons procure du bien-être aux salarié·e·s, elle permet de ramener un peu de campagne au cœur de la ville. De plus en plus d’entreprises, d’universités et d’établissements publics en tout genre se décident à embaucher ces éco-jardiniers.

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Nouveau Directeur Général de CCI Normandie @CCIBasecoNdie

cci normandie logo

Source : www.cci.fr

Fabrice Barbe vient d’être été nommé Directeur Général de la CCI régionale de Normandie.

Il occupait précédemment la fonction de Directeur Général du groupe immobilier la Compagnie de Phalsbourg, spécialisé dans l’immobilier commercial, qui a été notamment lauréat d’un appel à projets urbains innovants « Réinventer Paris » en 2016.

 

Dans la ligne de la stratégie portée par le Président de CCI Normandie, Vianney de Chalus, sa feuille de route s’orientera sur 3 axes principaux :
• Favoriser le collectif, en apprenant aux entreprises à « chasser en meute » et à construire un vrai réseau.
• Promouvoir le territoire : la force du réseau des CCI est son maillage territorial, il s’agit de développer et de renforcer encore cette légitimité du terrain, au plus près des entreprises.
• Préparer le futur : le réseau des CCI a un rôle prépondérant à jouer dans l’accompagnement des entreprises au changement et à la digitalisation.

>  Télécharger le communiqué de presse : Fabrice BARBE, nouveau Directeur Général de CCI Normandie

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« J’ACHÈTE EN VILLE »: Une plateforme qui fédère tous les commerçants #ArkeaImmobilier @cmarkea @AnneTHOREZ

j'achète en ville livre blanc « J’achète en ville » accompagne les commerçants dans leur transformation digitale en leur proposant une solution regroupant une place de marché, des opérations d’animation et des outils de formation. Rencontre avec Anne Thorez, fondatrice de cette start-up située à Wambrechies, dans les Hautsde- France.

En 2013, Anne Thorez se lance avec ses propres deniers dans l’élaboration d’un projet de plate-forme, fédérant les commerçants indépendants et les artisans sur un territoire donné. L’élaboration du cahier des charges prend deux ans. « En 2013, lorsque je rencontrais les commerçants, ils me prenaient un peu pour une extraterrestre, se souvient-elle. En 2014, il y a eu une prise de conscience, avec l’arrivée en force des « grands » du commerce en ligne. D’autant que les commerçants commençaient aussi à utiliser leurs services ». Hasard du calendrier, en 2014, Anne Thorez rejoint l’équipe de Vincent Ledoux, maire de Roncq, en tant que conseillère municipale. Roncq est une commune de la Métropole Européenne de Lille (MEL).

Le projet évolue, s’affine, notamment sur les services aux commerçants et leur accompagnement. Il n’y a pas de vente en ligne à proprement parler. « Nous avons par exemple créé un mini-studio photo pour leur permettre de valoriser leurs produits. Nous les aidons aussi dans le choix des mots, de la syntaxe et surtout, je mets un point d’honneur à les sensibiliser à « l’inbound marketing », autrement dit comment attirer le client dans son magasin mais aussi à bien connaître leurs clients pour mieux les satisfaire, pour les orienter vers les produits qui leur conviennent. Il faut bien comprendre qu’aujourd’hui, nous avons affaire à des “conso – acteurs” qui, lorsqu’ils achètent de la viande chez leur boucher veulent des idées de recettes, savoir quel vin servir, et également connaître la provenance de l’animal. Nos plates-formes intègrent ce type d’ informations. Derrière ces plates-formes et la technologie, il y a le contenu, encore plus important. Il serait très facile de dire aux commerçants : “Voici vos codes d’accès, à vous de jouer”. Mais la réalité, c’est que cela ne marche pas car les commerçants ne sont pas des professionnels de l’information et ils ont besoin de conseils et d’accompagnement ».

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.@Semaest retenue pour la revitalisation économique de Vitry-le-François @AnruOfficiel

Source : SEMAEST

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SEMAEST, spécialiste dans l’animation économique des quartiers, a été retenue par l’ANRU (L’agence Nationale de Rénovation Urbaine) et l’intercommunalité Vitry, Champagne et Der, pour redynamiser la ville de Vitry-le-François.

A l’exécution de ce projet, SEMAEST va mener le volet économique des études de préfiguration, réaliser le diagnostic socio-économique du secteur et proposer une stratégie de développement économique. Il s’agit d’améliorer l’attractivité économique et l’image du quartier, de favoriser l’émergence des projets locaux et de mobiliser les investisseurs privés.

Cette mission s’accompagnera d’une intervention menée en parallèle par la Semaest sur le centre-ville, pour mutualiser les diagnostics, identifier les synergies et les transferts de projet, et accompagner le territoire dans sa stratégie de reconquête économique.

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