Archives du blog

Gecina : Romain Veber nommé Directeur Exécutif Investissements & Développements @Gecina

Source : Gecina

Romain Veber vient d’être nommé Directeur Exécutif Investissements & Développements. Il prendra ses fonctions à partir du 1er novembre 2019.

Résultat de recherche d'images pour

Diplômé de l’ESSEC, Romain Veber, 40 ans, apporte une expérience de 15 ans dans le secteur de la finance et de l’immobilier.

Après des débuts en 2004 chez Morgan Stanley puis en 2006 au sein de MGPA en qualité de Head of Acquisition France, il rejoint à Londres en octobre 2011 le fonds souverain norvégien Norges Bank Investment Management en qualité de Gestionnaire de Portefeuille, en charge des investissements immobiliers sur le marché français, notamment parisien.

En septembre 2017, il se voit confier le poste de Chief Investment Officer Europe pour l’immobilier. Sous sa responsabilité, Norges Bank Investment Management a conclu ces deux dernières années une douzaine de transactions, essentiellement à Paris, à Londres et en Allemagne.

Plus d’informations ici…

Lire également :

Villes étudiantes : quelles sont les plus chères de France ? @UNEF

Source : UNEF

Découvrez le classement 2019 des villes les plus chères de France selon le coût de la vie étudiante. Entre le logement et le transport, de nombreuses inégalités et différences persistent chaque année… Quelles sont les 10 villes les plus chères ? Quelles sont les 10 villes les moins chères ? 

Retour Accueil

L’accès au logement : première source d’inégalités territoriale 
Les disparités dans l’accès au logement pour les étudiant·e·s sont très importantes l’écart du loyer mensuel moyen entre la ville universitaire la plus chère (Paris avec 873 euros) et la ville la moins chère (Le Mans avec 340 euros) est donc de 533 euros par mois. Avec 3,86% d’augmentation des loyers au niveau national, la rentrée 2019 est celle de l’explosion des coûts des logements tandis que les aides au logements (APL) sont quant à elle gelée. Les dépenses en logement des étudiant·e·s deviennent donc de plus en plus importante, il est donc urgent de généraliser l’encadrement des loyers à toutes les villes universitaires afin de protéger l’accès des étudiant·e·s à des logements abordables et décents sur leur lieu d’étude.

L’accès aux transports : des évolutions disparates des tarifs et des inégalités territoriales importantes : 
L’évolution des tarifs étudiants dans les transports en commun est très disparates en fonction des politiques locales mises en œuvre par les collectivités territoriales. En effet de nombreuses villes ont fait le choix de diminuer leurs tarifs cette année ou encore de créer des tarifs spécifiques pour les boursier(e)s alors que dans le même temps d’autres villes continuent d’augmenter chaque année les tarifs, précarisant de plus en plus les étudiant(e)s.

Classement des villes étudiantes les plus chères de France :
1. Paris : 1288,83 €
2. Nanterre : 1140,65 €
3. Créteil : 1084,65 €
4. Guyancourt : 1066,65 €
5. Champs sur marne : 1049,65 €
6. Saint Denis : 1041,65 €
7. Cergy : 1020,65 €
8. Orsay : 1018,65 €
9. Evry : 1017,65 €
10. Nice : 1002,83 €
11. Bordeaux : 962,45 €
12. Lyon : 962,41 €
13. Aix en Provence : 946,08 €
14. Marseille : 914,08 €
15. Lille : 912,95 €

Cliquez ici pour voir le classement des 40 villes

Lire aussi :

Rentrée 2019 : dans quelles villes investir ? @SeLoger

Source : Se Loger

En cette rentrée 2019, dans quelle ville faut-il investir ? Découvrez le top 10 des villes où il faut réaliser un investissement locatif 

1. Toulouse : 3 382 € du m² / + 6 % en 1 an
Les données recueillies par SeLoger nous incitent à penser que Toulouse mérite d’occuper la première place de notre classement des villes où il est intéressant de réaliser un investissement locatif. Et pour cause, celle que l’on surnomme la Ville Rose remplit tous les critères requis pour un investissement locatif réussi. Le prix de son l’immobilier, tout d’abord, qui reste très raisonnable pour une ville de sa taille (475 438 habitants y ont été recensés en 2016).

2. Nantes : 3 475 € du m² / + 6,3 % en 1 an
Profitant du niveau exorbitant du prix de l’immobilier bordelais, Nantes fait figure de nouvel eldorado des investisseurs locatifs ! En effet, refroidis par le prix des logements à Bordeaux (plus de 4 600 €/m²), de nombreux investisseurs ont ainsi déserté la Belle Endormie au profit de la Capitale des Ducs de Bretagne. Et on les comprend. Le prix au mètre carré à Nantes avoisine 3 375 €.

3. Lille : 3 224 € du m² / + 2,9 % sur 1 an
C’est la Capitale des Flandres qui occupe la troisième marche de notre podium. Bien qu’il ait augmenté de 13,2 % depuis 2015, force est de constater que le prix de l’immobilier lillois reste accessible pour une métropole. D’après les informations qu’a récoltées le baromètre LPI-SeLoger, la cote de l’immobilier à Lille se monte à 3 244 €/m².

4. Lyon : 4 817 € du m² / + 5,6 % sur 1 an
S’il est une valeur sûre de l’immobilier locatif qui ne se démode pas, c’est bien Lyon. Boosté par un marché dynamique sans toutefois tomber dans l’hyper-activité, le prix au m² à Lyon enregistre une forte croissance.

La liste des autres villes ici…

Lire aussi :

BIM : quels sont les avantages ? @vinciimmobilier

Source : Vinci Immobilier

Vinci Immobilier

La digitalisation imprègne de plus en plus la construction. Le BIM ou « Building Information Modeling » en est l’exemple parfait. Derrière cet acronyme anglo-saxon, se cache un nouveau processus de travail pour les acteurs de la construction. Il repose sur une maquette numérique, contenant des données intelligentes et structurées pour concevoir ou entretenir un bâtiment. Le BIM offre des avantages quasi illimités : gains qualitatifs, rapidité dans la réalisation des constructions et meilleures conditions d’entretien des ouvrages. Le BIM pourrait bientôt devenir l’ingrédient nécessaire de tous les projets de construction, logements compris.

Le BIM : une nouvelle méthode de travail collaborative autour d’une maquette numérique
Le BIM désigne à la fois un processus métier et un logiciel d’intégration, de génération et d’exploitation de données. Il permet de concevoir, construire et exploiter (entretien, réparation et modification) un bâtiment lors de son cycle de vie.

Dans un processus BIM, chaque acteur de la construction (constructeur, architecte, ingénieur, entrepreneur…) crée, renseigne et utilise cette maquette, et en tire les informations dont il a besoin pour son métier. En retour, il alimente la maquette de nouvelles informations pour aboutir à un objet virtuel renseigné. Ce dernier est représentatif de la construction, de ses caractéristiques techniques, de ses performances et de ses comportements (résistance au feu, par exemple).

Le recours au BIM est une tendance en forte croissance. De plus en plus de porteurs de projet ont compris son avantage clé. En prototypant virtuellement les bâtiments à construire, ils peuvent en revoir la conception plus facilement et plus rapidement, mieux maîtriser la phase de construction, les délais et, in fine, évaluer en cours de réalisation des alternatives en termes de coût. Toutefois, le BIM n’est pas une fin en soi. Il s’agit d’un outil moderne et d’une méthodologie collaborative au service des acteurs de la construction. Il doit s’adapter à tout type de projet.

Le BIM et ses multiples avantages : construire mieux, plus vite et moins cher
Sans nul doute, le BIM permet de réduire le gaspillage dû à la non-qualité des bâtiments. Cette perte est estimée à des dizaines de milliards d’euros par an en France. Parallèlement, le BIM réduit les délais de livraison et les coûts de construction et de maintenance.

Plus de détails ici…

Lire également :

Gratte-ciel Centre-ville : découvrez le projet de Villeurbanne au coeur de la Métropole de Lyon @villeurbanne @grandlyon

Source : Villeurbanne

Découvrez le nouveau projet urbain de la ville de Villeurbanne, ZAC Gratte-ciel Centre-ville. 

Gratte-ciel centre-ville

La ville de Villeurbanne et la Métropole de Lyon souhaitent conforter le centre-ville et lui donner une nouvelle dimension de cœur « d’agglomération » en l’étendant vers le nord, le long d’un prolongement de l’avenue Henri Barbusse. Cette opération de renouvellement urbain dans un quartier patrimonial des années 30 est sans équivalent en France.

Le projet et les enjeux
Le centre-ville de Villeurbanne a été créé de toutes pièces au début des années 1930. Né de la rencontre d’un maire visionnaire, Lazare Goujon et d’un architecte, méconnu jusqu’alors, Morice Leroux, ce nouveau centre urbain est l’une des pièces urbaines parmi les plus remarquables du XXe siècle.
Aujourd’hui, ce centre-ville n’est plus à l’échelle d’une ville de 145 000 habitants. La ville de Villeurbanne et la Métropole de Lyon souhaitent conforter le centre-ville et lui donner une nouvelle dimension de cœur « d’agglomération » en l’étendant vers le nord, le long d’un prolongement de l’avenue Henri Barbusse. Cette opération de renouvellement urbain dans un quartier patrimonial des années 30 est sans équivalent en France.
Les enjeux :

  • Développer un centre urbain contemporain dans le respect de l’architecture audacieuse des années 30
  • Renforcer les commerces pour augmenter l’attractivité du centre-ville tout en préservant et en dynamisant les commerces existants
  • Proposer des logements accessibles, confortables et de qualité, des services adaptés et des espaces publics faisant la part belle aux modes doux

Chiffres clés
– 7 hectares de projet
– 25 000 m² d’espaces publics créés ou réaménagés (soit 2,5 hectares)
– 900 logements environ dont près de 50 % de logements aidés (locatifs sociaux et accession sociale)
– 20 000 m² de commerces et services
– 20 000 m² d’équipements publics
– 4 000 m² de bureaux

Plus d’informations sur le projet…

Lire également :

Concevoir un site comme celui-ci avec WordPress.com
Commencer