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Caisse des Dépôts : son engagement en faveur du climat en 4 chiffres clés @caissedesdepots
Source : Caisse des Dépôts
La Caisse des dépôts est engagée en faveur du climat. En effet, son action s’illustre avec des projets favorisant la TEE qu’ils financent dans tous les territoires et par la gestion responsable de leurs portefeuilles d’actifs financiers. Voici ci-dessous les 4 chiffres clés de son engagement…
10 % : c’est le seuil maximal de chiffre d’affaires lié au charbon des entreprises dans lesquelles nous investissons. Pour ce qui est du charbon thermique (servant à produire de l’énergie), la Caisse des Dépôts est sur la voie du désengagement total. Pour cela, une politique d’exclusion plus drastique est mise en place dès 2019.
– 54 % : c’est la diminution de l’empreinte carbone de nos obligations d’entreprises. Depuis 2014, l’empreinte carbone du portefeuille d’actions cotées de la Caisse des Dépôts a été réduite de 37 % et celle des obligations d’entreprises de 54 %. Concernant l’immobilier de placement, la cible – diminution de 38 % de la consommation énergétique d’ici 2030 – a déjà été atteinte pour moitié
16 Md€ : ce sont les financements prévus pour la Transition écologique et énergétique (TEE) d’ici 2020. Après avoir investi 18 Md€ au cours des 4 dernières années, la Caisse des Dépôts s’est engagée à mobiliser 16 Md€ d’ici 2020, sous forme de prêts et d’investissements en fonds propres déployés par la Banque des Territoires et Bpifrance, afin de soutenir les projets ayant un impact positif sur le climat.
2° : notre engagement actionnarial aligné avec l’objectif 2° . Au premier semestre 2019, la Caisse des Dépôts lancera une nouvelle enquête d’ampleur auprès des entreprises dont elle est actionnaire, en particulier celles qui exercent dans les secteurs liés à la production ou à la consommation importante d’énergies fossiles.
>>> Plus d’informations ici…
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Rénovation énergétique de votre logement : quelles sont les aides financières ? @Min_Territoires
Source : Ministère de la cohésion des territoires
Vous souhaitez rendre votre logement plus économe en énergie ? De nombreuses aides financières s’offrent à vous comme par exemple le crédit d’impôt, le prêt à taux zéro, les chèques énergie… Retrouvez un récapitulatif des différentes aides ci-dessous :
Crédit d’impôt et prêt à taux zéro : deux aides pour faciliter la rénovation énergétique de son logement
Grâce au crédit d’impôt pour la transition énergétique (CITE), un particulier peut déduire de ses impôts le montant de certaines dépenses engagées pour des travaux d’économies d’énergie de son logement (généralement 15 % à 30 %). Les locataires tout comme les propriétaires peuvent en bénéficier, sans condition de ressources. Autre dispositif pour le particulier : l’écoprêt à taux zéro (dit éco-PTZ). Proposé par des banques conventionnées avec l’État, ce prêt, d’un montant maximal de 30 000 €, est versé afin de réaliser des travaux d’écorénovation. L’écoprêt à taux zéro et CITE sont deux dispositifs cumulables sans aucune condition de ressources.
Quatre dispositifs financiers également à disposition du particulier
En plus de ces deux premières aides, le particulier peut bénéficier d’autres coups de pouces pour son logement :
– la TVA à taux réduit à 5,5 % pour des travaux de rénovation énergétique (contre 10 % habituellement) ;
– le chèque énergie, dont près de 4 millions ménages ont bénéficié en 2018, pour régler toutes les dépenses d’énergie du logement : électricité, gaz naturel, bois, fioul, etc. Le montant du chèque énergie sera par ailleurs augmenté pour les bénéficiaires actuels de 50 € en 2019 et étendu à 2,2 millions de ménages supplémentaires (soit un total 5,8 millions de ménages) ;
– des subventions dans le cadre du programme Habiter mieux de l’Agence nationale de l’habitat (Anah) à destination des propriétaires occupants leurs logements et sous certaines conditions de ressources ;
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Grenoble : en route vers 100 % d’énergies renouvelables pour 2033 ? @FedEpl
Source : Servir le public
Grenoble-Alpes-Métropole a pour projet de mettre en place un chauffage urbain alimenté à 100% par des énergies renouvelables pour 2033.
Le 1er juillet 2018, Grenoble-Alpes Métropole valide le nouveau contrat de délégation de service public (DSP) pour la gestion du chauffage urbain, le confiant, une nouvelle fois, à la Compagnie de chauffage intercommunale de l’agglomération grenobloise (CCIAG). Cette Saem présente, il est vrai, le profil idoine, forte d’un compagnonnage qui dure depuis le début des années 1960 ! Mais, dans un contexte de transition écologique particulièrement choyée par les élus grenoblois, la copie du délégataire historique de la métropole a fait l’objet d’une dissection poussée. Un argument de poids a fait pencher la balance : 87 % d’énergies renouvelables et de récupération composeront le mix énergétique de la CCIAG dès 2022 et 100 % à l’horizon 2033.
Pour ce faire, la Compagnie de chauffage a décidé de sensibiliser l’opinion publique en créant une nouvelle marque : MétroChaleur. La campagne de communication a été lancée début octobre pour marquer le fait que la métropole allait changer d’ère.
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