Archives du 3 Mai 2018

Zoom sur l’immobilier à Orléans : quel prix moyen au m2 ? @seloger

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Source : Seloger.com

Dans la capitale du Loiret, les prix des logements dans l’ancien remontent de 0,7 % sur les douze derniers mois. Devenir propriétaire d’un appartement à Orléans coûte désormais 2 243 € du m². Quels sont les quartiers les plus prisés ? Et les moins cotés ?

À Orléans, les prix immobiliers remontent doucement : + 0,7 % sur 1 an

Immobilièrement parlant, celle que l’on surnomme parfois la cité johannique affiche une tendance haussière. Sur les douze derniers mois, les prix des appartements anciens à Orléans progressent ainsi de 0,7 % et la hausse qui touche la ville de Jeanne d’Arc est encore plus marquée sur le trimestre (+ 2,4 %). L’attrait qu’exerce la capitale de l’Orléanais n’est d’ailleurs probablement pas étranger à la hausse des prix immobiliers lesquels, toute en restant abordables (2 243 € du m²), pourraient bien prendre davantage d’altitude…

  • Qu’est-ce qui motive les acheteurs ?

Des taux d’intérêt bancaires qui (est-il encore besoin de le rappeler ?) font du rase-mottes, une proximité avec Paris la capitale est à moins d’une heure de train), un patrimoine historique (la maison de Jeanne d’Arc, la fameuse place du Martroi, la Tour Blanche) d’une grande richesse, un indéniable dynamisme économique (c’est à Orléans et dans sa région que sont fabriqués pas moins de 70 % des médicaments produits en France) et de grands projets immobiliers (situé entre Orléans et Fleury-les-Aubrais, le quartier Interives accueillera logements, bureaux et commerces sur 110 hectares) constituent indubitablement des atouts de poids dans le jeu d’Orléans.

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Logement, emploi, transports… La Métropole de Rennes en 12 chiffres @metropolerennes

Source : Métropole de Rennes

Découvrez 12 infographies mettant en lumière les thématiques clés du développement de la Métropole de Rennes. 

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1.Démographie: toujours en croissance

Depuis 1990, la population a augmenté de plus de 100 000 habitants (et regroupé quelques communes de plus sur cette période). En moyenne, la croissance annuelle de la population est de +1,4% par an depuis 2010, tout particulièrement en fin de période. La croissance métropolitaine est plus forte que dans le reste de l’aire urbaine, c’est à dire au-delà de son périmètre des 43 communes.

Comme dans les autres métropoles comparables, cette population tend à vieillir: la part des moins de 20 ans diminue dans l’ensemble du territoire, mais moins à Rennes qu’ailleurs.

2. Habitat : loger tout le monde

Les autorisations de construction de logements neufs en 2016 (6 614) sont venues confirmer le dynamisme de 2015 (4 845). Une fois les permis de construire accordés, (+24% dans la couronne rennaise depuis 2015), les travaux débutent sur le terrain. Après Montpellier, Rennes est la métropole qui construit le plus de logements. La part du logement collectif y est prépondérante.

3. Foncier : une denrée protégée

La lutte contre l’étalement urbain sur les terres agricoles est suivie d’effets depuis 2001. La dernière décennie a permis de réduire par quatre les hectares consommés, pour l’habitat et pour les activités économiques.

4. Économie : créations d’activité au beau fixe

Plus de 4 000 établissements ont été créés en 2016 sur le territoire de Rennes Métropole. Le secteur des services tient toujours le haut du pavé, comme dans toutes les grandes agglomérations françaises.
On remarque un taux de création dans le commerce élevé sur la période.
On comptait 29 774 établissements au 1er janvier 2016. Dont 65% n’emploient aucun salariés (moyenne nationale 70%) .

Pour consulter les infographies et lire la suite, cliquez ici

A lire également :

« Mal-logement, mal-logés » : découvrez le rapport 2017-2018 de l’ONPES @ONPES

Source : ONPES

L’ONPES, Observatoire National de la pauvreté et de l’exclusion sociale, a récemment publié son 12e rapport annuel, sur le thème du « Mal-logement ». Mais alors, que veut dire vraiment le « mal-logement » ? Quelles sont les différentes formes de mal logement en France ?Résultat de recherche d'images pour

Comment sont logées les personnes pauvres au regard de l’évolution générale de la situation du logement depuis une vingtaine d’années et particulièrement depuis la crise de 2008 ? Quelle perception ces personnes ont-elles de leurs conditions d’habitat, spécialement celles qui se trouvent de fait exclues du logement de droit commun et vivent au quotidien dans ce que l’Onpes qualifie de « situations marginales de logement » ?

« Mal-logement, mal-logés », le rapport 2017-2018 de l’Onpes se propose d’éclairer la compréhension de cette crise persistante et paradoxale en complétant la mesure quantitative des difficultés de logement par un regard sur la situation des personnes logées ou exclues du logement dit « de droit commun ». La subjectivité des personnes dont l’action publique ou associative en matière de logement entend améliorer la situation est donc prise en compte dans cet ouvrage, dans la continuité de la démarche entreprise pour le rapport de 2016 consacré à l’invisibilité sociale.

Les explorations menées dans le cadre de la réalisation de ce rapport révèlent notamment deux degrés d’intensité dans les situations de mal-logement :
– Une charge excessive en logement pour les ménages, qui entraîne des privations sur les autres besoins à satisfaire, compromet la participation à la vie sociale, et qui touche une part croissante des ménages à faibles revenus ;
– La difficulté rencontrée par les personnes de passer d’une situation marginale de logement (ex : la privation de domicile personnel) à une situation de logement de droit commun.

Pour consulter le rapport ou lire la suite de l’article, cliquez ICI

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Quartiers prioritaires : découvrez les 19 plans d’actions @CGET_gouv @JLBorloo

Source : Commissariat général à l’égalité des territoires

Jean-Louis Borloo a récemment remis au Premier Ministre, Édouard Philippe, son programme d’actions pour les quartiers prioritaires. Découvrez dés maintenant les 19 programmes d’actions consacrés au renouvellement urbain, à l’emploi, à la mixité, à l’éducation… et bien plus encore.

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Ce travail s’est déroulé dans le cadre de la mobilisation nationale pour les habitants des quartiers, annoncée par le président de la République, à Tourcoing en novembre dernier, pour « ramener le droit commun » dans les quartiers prioritaires et soutenir « l’émancipation de leurs habitants ».

La mission de Jean-Louis Borloo, auprès du ministre de la Cohésion des territoires, s’est attachée à dresser un état des lieux de la situation des quartiers de la politique de la ville et à faire des propositions pour ces quartiers et leurs habitants. Une démarche qui a impliqué les élus locaux, les associations et les services de l’État. Dix groupes de travail thématiques, auxquels le CGET a contribué, ont également complété ce travail d’élaboration de propositions.

Liste des différents programmes d’actions :
– Programme 1 : La qualité urbaine pour tous
– Programme 2 : La mobilité, un droit et une nécessité
– Programme 3 : Investir dans la petite enfance
– Programme 4 : De l’école à la « cité éducative »
– Programme 5 : Grandir par la culture
– Programme 6 : Développer et insérer nos quartiers par le sport
– Programme 7 : Tout passe par l’entreprise et l’emploi
– Programme 8 : Un plan national pour gagner la bataille contre l’illettrisme et l’illectronisme, former aux savoirs de base
– Programme 9 : 200 quartiers d’excellence numérique
– Programme 10 : Reconnaître les nouveaux visages de Marianne
– Programme 11 : L’académie des leaders, la nouvelle grande école
– Programme 12 : Une nouvelle armée de la République solidaire
– Programme 13 : Agir fermement pour la sécurité et la justice
– Programme 14 : Des moyens d’agir pour les communes

La suite ici…

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Les déserts médicaux en Ile-de-France : où en sommes-nous ? @ORS_IDF

Source : ORS Ile de France

L’Observatoire Régional de Santé d’Ile-de-France a réalisé une étude sur les déserts médicaux en Ile-de-France. En 10 ans, la région a perdu pas loin de 20% de médecins généralistes libéraux en activité. Mais alors, quels sont les leviers d’action ? Où en  sommes-nous réellement ?

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A l’heure où s’amorce le virage ambulatoire, la question des difficultés d’accès aux soins de premier recours en ville est un sujet majeur qui concerne la quasi-totalité des régions françaises. Dans ce contexte, un grand nombre d’acteurs, y compris hors champ de la santé publique, s’en emparent. cette publication examine la situation de la démographie médicale francilienne, présente les méthodologies et découpages réglementaires, et dresse un panorama des leviers d’action visant à résorber les déserts médicaux.

Parmi les résultats marquants :
– Des besoins de soins de ville en augmentation et une baisse de l’offre médicale libérale de premier recours, en Île-de-France comme ailleurs en France ;
– Une inégale répartition de l’offre de soins sur le territoire régional ;
– Une nouvelle délimitation des zonages déficitaires, cibles des aides publiques ;
– Une multitude de mesures et d’actions qui restent à mieux articuler et faire connaître, à reconfigurer pour certaines, à mieux cibler pour d’autres ;
– Des leviers d’actions, déjà diversifiés, qui peuvent encore être complétés.

Pour consulter le rapport, cliquez ici

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