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Immobilier : retour sur 13 années d’innovation @CBREFrance
Source : CBRE
Depuis 13 ans, nous pouvons observer une remarquable évolution de l’immobilier en terme de qualité.
Depuis 2005, date d’obtention de la première certification HQE pour un immeuble tertiaire de bureaux, le monde de l’immobilier a considérablement fait évoluer ses pratiques. Les années qui ont suivi ont vu fleurir les premiers immeubles faisant l’objet de labels de performance énergétiques mais également l’arrivée sur le marché français des certifications environnementales internationales (BREEAM ou LEED).
2005 : 1er bâtiment tertiaire HQE Construction – Immeuble 270 livré par le groupe Icade EMGP en 2005 à Aubervilliers
2009 : Les 8 premiers bâtiments tertiaires HQE Exploitation – Le Vinci, 32 Hoche, Terra Nova III, Le Verdi, PB6, Coeur Défense, Printania et 270
2010 : 1er immeuble labellisé BBC Effinergie en ile de franque – Le volta à Saint Denis
2011 : 1er Centre commercial BREEAM In Use – DOCKS 76 à Rouen
2012 : 3 premiers bâtiments certifiés LEED – Tour First, plate-forme logistique Prologis Bonneuil DC1 et Challenger
2014 : 1er ensemble urbain être labellisé BiodiverCity en phase conception en France – Écoquartier Néo-C à Créteil
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Airbnb, c’est fini ? @_GEFILS
« article extrait des Echos paru dans l’E-Hebdo du 5 janvier 2018 (revue de presse du Logement social par GEFILS) »
La firme américaine suscite des mécontentements dans le monde entier et paraît en grande difficulté dans ses destinations touristiques les plus importantes.
Le modèle économique de l’entreprise californienne peine à convaincre, alors que les cri-tiques se font de plus en plus virulentes contre ses excès. Partout, les législations nationales se renforcent.
Airbnb, un « marché de niche » ? L’affirmation peut prêter à sourire, tant la petite start-up des débuts est devenue un mastodonte de la location en ligne, proposant, sur la seule ville de Paris, pas moins de 60.000 logements. C’est pourtant la très sérieuse banque Morgan Stanley qui l’affirme : la croissance des services d’Airbnb accuse le coup, que ce soit en Europe ou aux États-Unis.
Un business model à bout de souffle
Selon la banque américaine, l’incrément de clientèle de la plateforme n’a été que de 3,3% en 2017, contre 8% l’année précédente. Sa notoriété plafonne désormais à 80%. Les craintes relatives à la sécurité ou à la vie privée des loueurs ou locataires, des critères en hausse de 14%, sont passées par là.
Conséquence : Morgan Stanley a réduit les perspectives de croissance d’Airbnb à « seulement » 6% du marché de l’hébergement en Europe et aux États-Unis d’ici à 2020, contre une prévision initiale de 9%. Selon la même étude, le pourcentage de voyageurs ayant utilisé les services d’Airbnb au cours des douze derniers mois est en hausse de 25%, soit trois points de plus que l’an passé, contre 8 points de plus lors de la période précédente. Bref, si l’entre-prise reste très populaire, son modèle économique semble arriver à bout de souffle.
D’autant que la fronde s’organise. À Paris au moins 10% des loueurs dépassent les 120 jours maximum de location autorisés par an et réalisent plus de 25% du chiffre d’affaires de l’entreprise. …
Des excès moins tolérés … …lire la suite sur www.gefils
L’incroyable envolée des espaces de coworking : + 167 % en seulement 2 ans !
Source : Webimm
Les espaces de Coworking sont en plein essor, surtout dans la capitale. En effet, ces espaces de travail partagés séduisent aussi bien les travailleurs indépendants que les entreprises. Nous enregistrons une hausse incroyable de 167 % sur les 2 dernières années !
Avec plus de 140 espaces répertoriés et une offre qui ne cesse de croître, le moins que l’on puisse dire, c’est que le coworking a le vent en poupe à Paris. En deux ans, le nombre de bureaux partagés a augmenté de 167 %, et en 2017, c’est 70 000 m² de nouveaux espaces qui ont ouvert. Très prisés par les travailleurs indépendants et les startups, ces lieux de travail conviviaux séduisent aussi, et de plus en plus, les entreprises traditionnelles à la recherche de flexibilité : « Pour rendre ces nouveaux lieux de travail plus attractifs, les acteurs du marché rivalisent de services en mettant en avant des lieux ou des services insolites », selon Homeleo, plate-forme de mise en relation avec des professionnels immobiliers spécialisés, qui a identifié les espaces de coworking les plus atypiques de la Capitale.
Focus sur l’Euromed Center de Marseille ! @Euromed_MRS @marseille
Source : Webimm
L’Euromed Center de Marseille est un quartier d’affaires, qui englobe aussi bien des bureaux, que des espaces de coworking, des hôtels, des commerces… Le tout sur une surface de 70 000m² !
Euromed Center : 70 000 m² dédiés aux affaires au sein d’Euroméditerranée
Euroméditerranée est la plus importante opération d’aménagement et de rénovation urbaine en Europe. Lancée en 1995, elle englobe logements neufs et rénovés, bureaux, commerces au travers des Docks et centres commerciaux avec notamment les Terrasses du Port, transports, équipements publics, squares, jardins, musée dont le MUCEM, théâtres, salles de concert… Dans ce secteur, Euromed Center avec ses 70 000 m² fait émerger un nouveau quartier avec :
- 48 000 m² de bureaux certifiés HQE et labellisés BBC Effinergie.
- 2 300 m² d’espaces de coworking.
- Un hôtel Golden tulip de 210 chambres.
- 2 000 m² de commerces et services au travers d’un mail piétonnier.
- 5 000 m² d’espaces verts.
- Un multiplexe cinématographique avec 14 salles et 2 800 fauteuils.
Un quartier innovant en espace de travail et de vie
Les quatre immeubles de bureaux ont su séduire les utilisateurs. Astrolabe ( 14 500 m²) et Calypso (9 800 m²) sont presque entièrement loués. Hermione (10 600 m²) et Floréal (13 700 m²) ont été acquis par la région Provence-Alpes-Côte d’Azur qui va les occuper dans leur totalité. En plus des espaces de bureaux, le quartier accueille un hôtel, des commerces en pied d’immeubles, un jardin, un parking… pour créer une véritable synergie de quartier au travers des diverses composantes.
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Lillenium : les travaux du futur centre commercial démarrent ! @Lillenium @MEL_Lille @VINCIConstruc
Source : Vinci Construction
Le 13 décembre, Martine Aubry, maire de Lille, Damien Castelain, président de la Métropole européenne de Lille, et Rudy Ricciotti, architecte créateur de Lillenium été présents pour poser la 1ère pierre du futur centre commercial de Lille, Lillenium.
Ce complexe commercial de 110 000 m² mixe 56 000 m² de commerces et loisirs, un hôtel de 141 chambres, 4 200 m² de bureaux et un parking. Il ouvrira ses portes en 2019.
Le bâtiment spectaculaire drapé de béton, est réalisé par Sogea Caroni, filiale de VINCI Construction France, pour le compte de Vicity. Sur cette opération, 35 000 heures d’insertion seront réalisées (part propre + sous-traitant), notamment via l’intégration d’un groupe de dix personnes en contrat de professionnalisation coffreur-bancheur.
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