Archives Mensuelles: juin 2019
L’IAU île-de-France devient L’Institut Paris Région @IauIdf
L’IAU île-de-France devient L’Institut Paris Région
Pour traduire l’élargissement de ses champs d’intervention et l’ouverture de sa gouvernance
L’Institut d’aménagement et d’urbanisme de la région Île-de-France, connu sous l’acronyme IAU îdF, est une institution historique de la région capitale. Créé sous le sigle IAURP en 1960 par Pierre Sudreau, ministre de la Construction du gouvernement de Michel Debré, il est mobilisé à partir de 1961 par Paul Delouvrier, délégué général du tout nouveau District de la région parisienne – ancêtre de la Région Île-de-France – pour la prodigieuse aventure du développement de la région parisienne voulue par le Général de Gaulle.
La tutelle de cette grande agence d’urbanisme – la plus importante d’Europe – est transférée en 1986 de l’État à la Région dans le cadre de la décentralisation. Gardant au fil des ans le même format (environ 200 personnes), l’IAU voit ses missions s’élargir. Création du département environnement en 1976, de l’Observatoire régional de la Santé et de la Mission sécurité dans les années 1980, de l’Institut régional du développement du sport (IRDS) et des actions de formation dans les années 2000.
Quel est le prix d’un bien immobilier dans votre ville ? @SeLoger
De 131 489 € à Saint-Étienne à plus d’un million d’euros à Paris !
Comme en attestent les données qu’a rassemblées SeLoger, les prix des logements en France présentent de fortes disparités selon les villes et ce fossé ne cesse de se creuser. Il suffit, pour s’en convaincre, de s’intéresser aux prix relevés à Paris et à Saint-Étienne. Jugez plutôt, le tarif immobilier à Paris avoisine 1 044 480 € pour un logement. C’est presque huit fois plus que dans la préfecture du département de la Loire. En effet, la cote de l’immobilier à Saint-Étienne affiche 131 489 € de moyenne pour un bien immobilier*. Sur les 34 villes de plus de 100 000 habitants, dont SeLoger a scruté le prix des logements, seules neuf d’entre elles dépassent les 300 000 €. Il s’agit de Paris, d’Aix-en-Provence, de Bordeaux, de Lyon, de Nice, de Nantes, de Rennes, de Montpellier et d’Angers. Il est également frappant de constater qu’à Marseille, un logement coûte, en moyenne, 15 000 € de moins qu’à Strasbourg, pour une population trois fois plus importante… En termes de prix immobiliers à Marseille, comptez 282 160 € pour un bien immobilier alors que la valeur de l’immobilier à Strasbourg fait état d’un prix de vente moyen de 297 599 € dans la capitale européenne.
Strasbourg : la plus haute tour de France en logements 100% bois inaugurée ! @Bouygues_Immo @strasbourg
Source : Bouygues Immobilier
Le 11 juin dernier, Bouygues Immobilier et Emmanuelle WARGON, Secrétaire d’Etat auprès du Ministre d’Etat de la Transition écologique et solidaire, ont inauguré le programme immobilier SENSATIONS, à Strasbourg. Cette tour est désormais la plus haute construction bois de France.
Une première en France !
L’Eurométropole de Strasbourg excelle une nouvelle fois pour son parti-pris et audace urbanistique. La cité européenne accueille cet été la plus haute construction bois de France, en logements. Directement connecté à l’Allemagne, par le pont de l’Europe et une passerelle piétonne, SENSATIONS est un projet ambitieux, orchestré par Bouygues Immobilier, au cœur du quartier emblématique des Deux-Rives, profitant de la remarquable métamorphose des berges du Rhin.
Vitrine naturelle…
Avec un niveau de hauteur en construction bois inédit en France, SENSATIONS s’illustre par la capacité à répondre aux enjeux climatiques. Ces programmes de logements “ bas carbone “ améliorent nettement la qualité de vie des résidents et leurs voisins.
Représentant 9.282 m2 de surface, les 3 bâtiments de SENSATIONS portent une attention particulière à la qualité de l’air intérieur. Le bâtiment affiche une faible émission de polluants, garantissant un environnement plus sain et respectueux de la nature.
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L’innovation sociale : une réponse aux enjeux de la transition énergétique ? @Demain_la_Ville
Source : Demain la Ville
L’innovation sociale serait-elle la clé afin de répondre aux enjeux de la transition écologique dans les villes ? La complexité des défis environnementaux exige de repenser notre rapport à la ville
Aujourd’hui, près de la moitié de la population mondiale y vit et les territoires urbains, qui représentent moins de 1% de la superficie la planète, concentrent les grands problèmes écologiques, sociaux et économiques d’aujourd’hui : pollution des sols, de l’air et de l’eau, difficulté d’accès aux matières premières, gestion des déchets, concentration de la grande pauvreté et des inégalités, vieillissement de la population, fracture numérique, etc.
Pour répondre à ces défis majeurs, les acteurs impliqués dans la gestion et le développement de la ville (collectivités locales, pouvoirs publics, entreprises, associations), mais aussi les habitants, sont appelés à changer, voire à transformer profondément leur vision de la ville et leurs manières d’agir. La ville de demain, inclusive et respectueuse de l’environnement, reste à inventer. Et aucun de ces acteurs ne peut agir seul. La population l’a bien compris. 86 % des Français pensent qu’il est urgent que les associations et les entreprises travaillent ensemble pour résoudre les problèmes de la société et améliorer la qualité de vie au quotidien. Ce constat est de plus en plus partagé par les acteurs publics comme privés. De fait, on imagine mal une réponse aux besoins induits par le changement climatique sans analyse partagée ni actions collectives autour des questions de mobilité, d’isolation des bâtiments, des modes de production, de gestion des ressources naturelles et des déchets produits.
Etablissements de santé d’Île-de-France : découvrez le rapport d’activité 2018 et l’observatoire financier @ARS_IDF
Source : ARS Ile-de-France
L’Agence Régionale de Santé Ile-de-France (ARS) a publié le rapport d’activité 2018 et l’observatoire financier des Etablissements de santé de la région Île-de-France. Quel bilan faire de cette année 2018 ?
Les hôpitaux de la région ont notamment enregistré en 2018 :
– 3,1 millions de séjours en médecine, chirurgie et obstétrique (+0,6%),
– 174 293 accouchements (-0,7%),
– 4,5 millions de passages aux Urgences (+2%)
>>> Consulter le rapport d’activité 2018
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