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Mieux faire respirer la ville : l’agriculture urbaine pourrait-elle être une solution ? @nexity #Enviesdeville
Source : Envies de ville by Nexity
Alors que nos villes sont confrontées à de multiples défis environnementaux et que les citadins expriment de plus en plus leur souhait d’accéder à une alimentation locale et durable, l’agriculture urbaine se développe à toute vitesse. Quelle est cette « nouvelle » forme d’agriculture ? Comment s’intègre-t-elle dans l’aire urbaine ? Et quels sont ses bénéfices ?
L’agriculture urbaine : de quoi parle-t-on ?
L’agriculture urbaine regroupe différentes pratiques visant à faire pousser des fruits, des légumes et autres végétaux, au sein des villes. Autrement dit, au sommet des immeubles, dans des espaces de verdure, dans des containers ou dans des fermes verticales, par exemple. L’agriculture urbaine peut également constituer une activité d’élevage. Aux Pays-Bas par exemple, au milieu du port de Rotterdam, existe ainsi depuis 2019 la première ferme urbaine et flottante à l’énergie solaire, avec ses vaches laitières.
Quels bénéfices pour le consommateur et la collectivité ?
Une activité créatrice de cohésion sociale
Au sein des villes, les fermes urbaines et même les simples lopins de terre cultivés par les habitants d’un même quartier, créent un lien social fort. Les jardins d’insertion notamment donnent une chance aux personnes exclues du monde du travail de retrouver un emploi.
Une activité créatrice d’attractivité économique et environnementale
Pour les modèles non associatifs, la capacité dans le temps à atteindre un équilibre économique voire même à dégager une rentabilité est souvent sujette à débat. Le coût initial des installations en milieu urbain est élevé et rarement porté par l’utilisateur agricole lui-même. Aujourd’hui, ce sont souvent les co-bénéfices environnementaux, sociaux et d’attractivité qui poussent les investisseurs à soutenir ces formes émergentes. Les structures du secteur se diversifient pour pérenniser leurs exploitations : animations, ateliers, vente de produits transformés à haute valeur ajoutée, restauration, services aux entreprises… L’agriculture urbaine cherche encore son modèle économique
Quels enjeux pour les communes et les élus les zones à « faibles émissions » ? @nexity #Enviesdeville
Source : Envies de ville by Nexity
En juin dernier, l’Assemblée nationale a adopté la loi d’orientation des mobilités (LOM). Elle contient une série de mesures ambitieuses sur la mobilité en elle-même et sur la réduction des émissions de gaz à effet de serre. Alors que la dernière canicule a nécessité de mettre en place la circulation différenciée, intéressons-nous au déploiement futur des ZFE, les zones à « faibles émissions », prévu par cette loi. Pourquoi un tel dispositif ? Quel est son fonctionnement ? Quelles communes et quels véhicules sont concernés ?
Quid des villes moyennes ?
Dans les villes moyennes, où les citoyens sont très dépendants de leur véhicule, les mesures de restrictions sont difficiles à faire accepter. Même si cela ne suffit pas toujours, des aides financières cumulables existent et représentent une solution attractive. Le bonus écologique ou la prime à la conversion par exemple, peuvent permettre de réduire considérablement la facture. Ainsi, un foyer non-imposable peut bénéficier d’une prime de 5000 € pour une voiture hybride rechargeable ou électrique, et jusqu’à 4000 € pour une voiture thermique. Dans un second temps, la collectivité a la possibilité de mettre en place des systèmes incitatifs pour encourager le covoiturage et pour, d’une manière générale, laisser sa voiture au garage.
Par ailleurs, les navettes autonomes deviendront peu à peu une réalité partout.
Innovation urbaine : Nexity lab devient Envies de villes @nexity
Source : Nexity Lab
Lancée il y a 2 ans maintenant, Nexity Lab, plateforme de réflexion prospective autour de l’innovation urbaine, a permis de mettre en lumière les enjeux de la ville de demain. Le média évolue aujourd’hui avec une toute nouvelle identité et un nouveau nom : Envies de ville.
À nouvelle identité, nouvelle ligne éditoriale : Envies de ville est une plateforme de solutions pour nos territoires, et propose aux collectivités et à tous les acteurs de la ville des réponses concrètes et inspirantes, à la fois durables, responsables et à l’écoute de l’ensemble des citoyens.
Chaque mois, Envies de ville donne la parole à des experts, rencontre des élus et décideurs du territoire autour des enjeux clés liés à l’aménagement et à l’avenir de la ville, afin d’offrir des solutions à tous ceux qui « font » l’espace urbain : décideurs politiques, urbanistes, étudiants, citoyens… Ces contenus offrent ainsi un éclairage pratique et prospectif autour de six thèmes :
– Transition écologique
– Grands projets
– Habitat
– Populations
– Attractivité
– Penser la ville
Lire aussi :
Fondation Palladio : quelles actions pour construire la ville de demain ? @FPalladio
Source : Fondation Palladio
La Fondation Palladio a été créée en 2008, sous l’égide de la Fondation de France, autour de l’enjeu majeur du 21e siècle qu’est la construction de la Ville et des lieux de vie. Découvrez le « carnet de voyage 2018-2019 » de la Fondation qui retrace tous les moments forts, les ambitions, ou encore les actions de la fondation…
Les chiffres clés de 2018 :
– 77 fondateurs et mécènes
– 620 palladiens
– 1,189 million d’euros de dons collectés en 2018
– 4750 acteurs accompagnés (participants aux rencontres Palladio 2018-2019)
– 140 intervenants impliqués (intervenants aux rencontres Palladio 2018-2019)
– 160 contributeurs (rédacteurs des productions Palladio 2018-2019)
Quels ont été les temps forts de 2018 ?
– Lancement de la Vigie Palladio : Présidée par Pierre Veltz (École des Ponts ParisTech), avec Sophie Boissard (Korian), Estelle Brachlianoff (Veolia), Séverine Chapus (BNP
Paribas Real Estate), Julien Damon (Sciences Po.), Nicolas Détrie (Yes We Camp), Élisabeth Grosdhomme (Paradigmes et caetera), Cécile Maisonneuve (La Fabrique de la Cité), Bruno Mettling (Orange, Topics), Amélie de Montchalin (Secrétariat d’État), Antoine Picon (École des Ponts ParisTech, Harvard), Nicolas Samsoen (Ville de Massy), Anne Varet (Ademe), Mathias Vicherat (Danone), Marie Villette (Établissement public du Parc et de la Grande Halle de la Villette), Cécile Wendling (Axa).
– Publication de l’ouvrage « 2008-2018 – 10 ans déjà »
– Engagement de nouveaux mécènes : Arep, Batipart, Engie Ineo, Pwc, Société de la Tour Eiffel, Sogaris
– Lancement de la 10e campagne des Bourses Palladio
– Présentation du 3e Real Estate and Urban Employment Monitor en trois temps forts
– Engagement d’un nouveau fondateur après avoir été mécène depuis 2014 : Kaufman and Broad
– Parrainage du cycle 2019 de l’Institut Palladio par Valérie Pécresse
>>>> Consulter l’intégralité du carnet de voyage 2018-2019 de la Fondation Palladio
Lire aussi :
Mobilité intelligente : EDF et la Banque des Territoires investissent dans la startup MyBus @caissedesdepots @BanqueDesTerr
Source : Banque des territoires
La startup MyBus lève 2,4 millions d’euros grâce aux groupes EDF, via son fonds d’investissement corporate EDF Pulse Croissance, et la Banque des Territoires. MyBus permet aux usagers des transports en commun d’acheter et de valider leurs titres de transports dématérialisés depuis leur smartphone.
MyBus couvre 200 réseaux de transport en France
Lancée en 2016 par Frédéric Pacotte et Franck Raynaud, la start-up a pour ambition de faciliter l’accès aux transports en commun ainsi qu’aux autres solutions de mobilité durable. Avec son application mobile unique de dématérialisation des titres de transport en commun, elle est primée en 2018 au CES de Las Vegas dans la catégorie « Smart Cities ». MyBus poursuit aujourd’hui son développement dans toute la France. La solution s’intègre parfaitement dans les réseaux urbains de moins de 450 000 habitants, soit 95 % des réseaux du territoire français. MyBus a vocation à être utilisée aussi bien sur les réseaux de transport en commun urbains, interurbains que scolaires à l’instar d’une expérimentation en cours sur le réseau scolaire de l’Allier, en lien avec la région Auvergne Rhône-Alpes. MyBus est par ailleurs citée comme solution dans le Plan d’Accès National du Ministère des Transports.
Avec une dynamique ancrée dans la volonté d’offrir aux citoyens un service à forte valeur ajoutée en matière de transport en commun, cette startup auvergnate met en lumière le bassin économique Auvergne-Rhône-Alpes dont elle est issue. Une démonstration supplémentaire, si besoin est, de la richesse et de la valeur des entreprises régionales susceptibles de rendre les territoires plus durables, plus attractifs et plus inclusifs.
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