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L’intervention des organismes Hlm en centre ancien @_GEFILS @J_Denormandie ‏

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Action cœur de ville, dispositif Denormandie, plan « initiative copropriété » de l’ANAH, dispositifs OFS et BRS, etc. les programmes d’incitation à la réhabilitation des centres-villes anciens constituent aujourd’hui l’une des pistes prioritaires du Gouvernement pour contribuer à rattraper le temps perdu et compenser le manque actuel de construction de logement.

Mais la mise en place de ces programmes ne pourra se faire sans l’apport d’opérateurs capables d’agir à différentes étapes et dans les différentes dimensions des projets de requalification des quartiers anciens, et de maîtriser à la fois les enjeux techniques, financiers mais également humains et locaux pour y contribuer de manière efficace et pérenne.

Parallèlement à cela, la réforme de la politique du logement conduit les bailleurs à repenser leur métier et leur stratégie, et à explorer de nouveaux champs d’intervention. L’intervention de ces organismes en centre ancien pourrait et devrait constituer l’une de ces pistes.

Pour faire le point sur les enjeux, leviers et perspectives de cette dynamique, le Réseau des acteurs de l’habitat organisait fin juin une web conférence sur ce sujet en présence de Valérie Mancret Taylor (ANAH), de Marie Laure Vuittenez (Métropole Habitat Saint Etienne/AURA HLM) et de Claire Delpech (ADCF) pour rappeler à la fois les apports du secteur et les motifs de son engagement, mais également mettre en évidence les conditions de cette mobilisation afin d’optimiser leur effet de levier dans ces projets.

Si les Organismes de logement social (OLS) s’imposent comme des acteurs incontournables de ces programmes, c’est tout d’abord car ils ont de tout temps été aux côtés des collectivités pour réhabiliter des quartiers en perte de vitesse. Ils ont donc, notamment par ce biais, acquis une compétence globale (financière, organisationnel tel que le relogement de population), une force de frappe et une légitimité opérationnelle et locale indispensable à la réalisation de ce type de programme. Par ailleurs, au delà de leur ancrage local historique qui leur octroie confiance des collectivités, connaissance des enjeux, etc. les bailleurs ont l’avantage de ne pas être trop préoccupé par la rentabilité à court terme de leur programme, contrairement aux promoteurs privés, ce qui leur permet d’être plus facilement présents sur des « petites » opérations ou en zone détendue… Enfin, leur rôle social et leur faculté à créer ou recréer du lien social, à intégrer les habitants et contribuer au retour d’un service public dans la ville est très attendue et appréciée des collectivités dans la mesure où quand un bailleur (ou tout acteur public finalement) s’implante dans un quartier, l’effet de levier et d’entrainement est alors très fort pour les autres acteurs.

Ainsi, comme le rappelle Mme Mancret Taylor (ANAH), les bailleurs sont donc bienvenus et attendus dans le cadre de ces réhabilitations.

Néanmoins, comme le rappelle Mme Vuittenez, dont le mouvement HLM AURA apparait comme pionnier en la matière avec des OLS, organisés en inter-bailleurs, qui ont depuis longtemps voulu s’inscrire dans cette démarche et qui font aujourd’hui des offres de services aux collectivités dans ce sens, il faut que les bailleurs aient la volonté de le faire ! Sur ce point, la restructuration en cours chez les bailleurs qui va faire émerger des besoins et des champs nouveaux, les conduire à d’autres types d’intervention, de nouvelles collaborations avec les collectivités, les privés, laisse penser que ces derniers vont s’y intéresser de près.
D’un autre côté, il faut aussi, en plus de leur volonté, qu’ils disposent d’une taille et des compétences suffisantes pour susciter l’intérêt et la confiance des collectivités, voire des financeurs.

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Action Logement : appel à manifestation d’intérêt pour la production d’un habitat + attractif @ActionLogement

Source : Action Logement

Action Logement lance un appel à manifestation d’intérêt (AMI) dans le cadre de son Plan d’Investissement Volontaire pour la démolition de logements sociaux en zone détendue et pour la production d’un habitat plus attractif.

Le Plan d’Investissement Volontaire consacrera 250 M€ de subventions à la démolition des logements sociaux (zones B2 et C et villes labellisées par l’Etat Action Cœur de Ville) et 250 M€ de prêts à la production d’une offre nouvelle plus attractive.
Au total, le programme vise la démolition de 30 000 logements et la production d’une offre nouvelle à hauteur de 10 000 logements.

Les réponses à l’AMI sont attendues au plus tard avant le 30 septembre 2019.

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Lire aussi :

EPF Île-de-France publie son rapport d’activité 2018 @EPF_IDF

Source : EPF Ile-de-France

L’EPF Île-de-France, l’Etablissement public foncier d’Île-de-France, est l’opérateur public foncier des collectivités franciliennes. Il contribue au développement de l’offre de logements et au soutien du développement économique, par la production de foncier constructible. Découvrez son rapport d’activité 2018 !

EPF ÃŽle-de-France (EPFIF)

Choc d’offres foncières sur le marché du logement francilien
Créé à la fin de l’année 2006, l’Établissement Public Foncier d’Ile-de-France est devenu en une décennie un acteur majeur des territoires en raison de la puissance de son intervention, du portefeuille foncier qu’il a constitué et du réseau partenarial unique de collectivités franciliennes qu’il a noué au fil des années. Son expertise des prix du marché, de la négociation avec les propriétaires et de la transformation foncière lui permet d’acquérir des terrains dans les périmètres définis avec les collectivités locales. Tout au long de la durée de portage, la collectivité dispose du temps nécessaire pour définir, en lien avec les opérateurs, le nouveau projet immobilier. La vente des terrains s’effectue au prix de revient sans percevoir ni bénéfice, ni rémunération de sorte de ne pas contribuer à l’inflation du prix de vente des logements mais au contraire afin de créer de nouvelles références de prix plus basses. Les opérateurs immobiliers privés, les bailleurs sociaux et aménageurs sont systématiquement désignés par la collectivité.

Aujourd’hui, l’EPF Ile-de-France couvre tous les départements franciliens, Ses interventions concernent principalement les tissus urbains constitués, en raison de la nature même de sa mission, et s’étendent sur l’ensemble du territoire régional. En 2018, le niveau de ses cessions a atteint un pic historique en dépassant le seuil des 7000 logements générés.

>>>> Consulter le rapport annuel 2018

Lire également :

Logements étudiants : l’usufruit locatif social, une réponse efficace @PERL_Immo

    Source : Perl

Paris, le 11 juillet 2019 – Pour beaucoup de lycéens, il sera bientôt temps de chercher un logement pour la rentrée. La chasse au logement sera d’autant plus ardue que le ministère de l’enseignement supérieur prévoit une augmentation d’environ 34 000 étudiants en septembre 2019 par rapport à la rentrée précédente.

Être au cœur des bassins d’emplois et des pôles universitaires tout en proposant des loyers abordables : voilà les critères auxquels doivent répondre les logements étudiants. Pourtant, la production est pour l’heure insuffisante sur le territoire. L’usufruit locatif social (ULS) créé par Perl est une solution efficace pour répondre à cette équation complexe, et renforcer la production de logements sociaux là où il y en a le plus besoin. 600 logements pour étudiants et jeunes actifs ont déjà été créés dans les territoires en forte tension foncière, à proximité des principaux pôles étudiants du pays.

Renforcer la production de logements étudiants dans les territoires les plus en demande

Comme chaque année, les étudiants français doivent faire face à un réel casse-tête pour trouver à se loger. Ils sont plus de 1,6 million à chercher un logement pour la rentrée universitaire. Parmi eux, 28% trouvent à se loger dans le parc privé, 8% en résidences CROUS (soit 110 000 logements), et seulement 5% sont hébergés en logements sociaux hors CROUS*.

En proposant des logements au cœur de NiceLyonToulouseBordeaux ou encore Courbevoie, Perl consolide l’offre de logements répondant aux besoins des jeunes actifs et étudiants, le tout à loyers abordables. Un élément déterminant, alors qu’aujourd’hui le logement constitue le premier poste de dépenses dans le budget d’un étudiant (500 euros par mois environ).

L’ULS est un dispositif fondé sur le partage de l’usage et de la propriété. Mobilisant l’épargne de particuliers, cette solution permet de proposer des logements sociaux en complément des modes de faire classiques, là où leur production est difficile et où les loyers sont généralement élevés, à l’instar des grands bassins universitaires du pays.

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Le groupe #RATP retient @LinkCity pour la réalisation des ensembles immobiliers privés @RATPgroup @paris

   Source : linkcity.com

 

Aménagement industriel et immobilier du centre bus Belliard, Paris 18ème
Un centre bus converti à l’électrique au cœur d’un projet urbain innovant : le groupe RATP confie la réalisation des ensembles immobiliers privés à Linkcity.

A l’issue de la consultation de promoteurs et architectes lancée par le groupe RATP dans le cadre du programme d’aménagement et de restructuration du centre bus Belliard, Paris 18ème, c’est le projet porté par Linkcity qui a été retenu. Le protocole de développement a été signé le 28 juin 2019. Ce programme, qui s’ancre sur la conversion à l’électrique du centre bus, crée un nouvel îlot au coeur du 18ème arrondissement avec à terme des logements, des bureaux, des résidences sociales et co-living, des commerces et un équipement sportif.

Situé au nord du 18ème arrondissement de Paris à côté de la Porte de Clignancourt, le site Belliard offre un fort potentiel de développement pour le nord de la capitale.
Le projet répond à 2 objectifs:

  •  L’électrification des bus et du centre bus pour le 1er trimestre 2024, afin de s’inscrire dans la dynamique plan Bus2025 de la RATP qui vise à disposer d’un parc de véhicules 100% propre d’ici 2025 en Île-de-France, conformément aux objectifs fixés par Île-de-France Mobilités. L’un des enjeux majeurs relevé vise à réaliser l’ensemble des transformations en garantissant l’exploitation du centre de remisage lors des travaux d’électrification du parking bus et du programme immobilier. En effet, le phasage des travaux permet de maintenir l’activité de remisage de la RATP.
  •  La valorisation et l’optimisation de l’espace du centre bus du 29 rue Belliard dans le 18ème arrondissement de Paris. Un projet immobilier viendra se superposer au centre bus et contribuer à animer le quartier tout en conservant l’activité logistique.

Ce lieu aujourd’hui enclavé va ainsi s’ouvrir, prendre vie et se connecter à son environnement grâce au projet immobilier développant environ 25 000 m². Celui-ci sera très bien desservi en transports en commun (métro ligne 4 et 12, tramway T3b) et comprendra une programmation mixte avec des logements, des bureaux, des résidences sociales et co-living, des commerces et un équipement sportif privé.

La diversité des offres de logements participent à la singularité du projet : « logements à vie » développés par La Française, habitat participatif, accession libre et logements sociaux. Ils seront desservis depuis le parvis paysager accessible depuis la rue Championnet.

> Télécharger le communiqué de presse

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