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Semaine de l’innovation HLM : découvrez les 3 temps forts organisés par l’USH @UnionHlm @semainehlm

Source : Union sociale pour l’habitat

La 7e édition de la Semaine de l’innovation HLM a commencé le 1er juin et se déroulera jusqu’au 9 juin. Près de 300 événements sont prévus dans toute la France, découvrez les 3 temps forts organisés par l’Union sociale pour l’Habitat :

L'union sociale pour l'habitat

Une exposition : « Le logement social en Europe par l’image »
L’Union sociale pour l’habitat investit la deuxième édition du Festival international du logement social, en concevant une exposition intitulée « Le logement social en Europe par l’image ». Une exploration des réalisations emblématiques qui ont marquées l’histoire du logement social est ainsi proposée à travers des photos et vidéos d’archives issues de plusieurs pays européens. Située au sein de l’Université Catholique de Lyon (UCLy), l’exposition ouvre ses portes du 4 au 8 juin 2019, de façon libre et gratuite.

Hlm sur cour(t) : un autre regard sur le logement social
La 7e édition du concours de court-métrage « Hlm sur cour(t) » reste un événement phare de la Semaine de l’innovation Hlm. Véritable tremplin pour jeunes réalisateurs, le concours permet de questionner certaines idées reçues et certains préjugés à travers des œuvres de fiction. Cette année, parmi plus de 60 scénarios, 3 ont été retenus. Les réalisateurs, Fabien Ara, Maxime Cappello et Janek Tarkowski ont été accompagnés par la Maison du Film pour mener à bien leurs projets.
Cette année, trois prix seront décernés : le prix du Festival international du logement social décerné par le public à la Bourse du travail de Lyon le 4 juin 2019, le prix du Mouvement Hlm remis par les salariés de l’Union sociale pour l’habitat, le 6 juin matin et le Grand prix remis par le jury d’Hlm sur cour(t) à l’issue de la soirée du 6 juin 2019.

Trophées de l’innovation
C’est aussi dans le cadre de la Semaine de l’Innovation Hlm que se tiendront les jurys des Trophées de l’innovation Hlm. Les 12 lauréats seront sélectionnés le 7 juin, ils présenteront leur projet lors du Congrès Hlm de Paris, le 26 septembre prochain.

Plus d’infos ici…

Lire aussi :

30 propositions de procivis lab’ pour stopper la dégradation des copropriétés @PROCIVIS @J_Denormandie @Min_Territoires

 

Source : PROCIVIS

Le 1er rapport réalisé par PROCIVIS Lab’, le think tank du réseau PROCIVIS sur les politiques du logement « 30 propositions pour stopper la dégradation des copropriétés »,  vient d’être remis au Ministre chargé de la Ville et du Logement, Julien Denormandie

TÉLÉCHARGER ICI LE RAPPORT

Cette étude s’inscrit dans un contexte, où le métier de syndic, et plus largement la gestion des copropriétés, sont sous le feu des projecteurs. La catastrophe de Marseille a fini de convaincre les plus réticents que l’entretien du parc privé de logements devait être mis à l’agenda politique.

Les ordonnances sont en cours d’élaboration pour réviser la loi de 1965 qui régit le droit de la copropriété et dans le même temps, le secteur de l’administration de biens est à la croisée des chemins : Souffrant injustement d’une image négative dans l’opinion publique, et face aux nouveaux modèles économiques, un risque d’uberisation est à craindre.

« Et pourtant cette actualité prouve qu’on n’a jamais eu autant besoin des syndics » affirme Yannick Borde, Président de PROCIVIS UES-AP. Ni les syndics bénévoles, ni les syndics en ligne ne sont capables de répondre aux défis de la transition énergétique et numérique auxquels la copropriété du XXIème siècle est confrontée. On ne s’improvise pas syndic, de même qu’on ne peut brader une activité au rabais au risque de l’irresponsabilité. La gestion d’un immeuble, c’est un métier ! Maîtriser les charges de copropriété, c’est un métier ! Prévenir les impayés de charges, c’est également un métier ! Prévenir les processus de dégradation des copropriétés, c’est un métier qui demande des compétences spécifiques qui doivent être reconnues.

Ce constat amène à 30 propositions concrètes, contribution à l’élaboration des ordonnances qui devront être ratifiées avant la fin de l’année. Ces propositions invitent à :

  • Mieux mobiliser les acteurs de la gouvernance de la copropriété : en responsabilisant tous les acteurs, au premier rang desquels figure le syndic, seul capable d’apporter une vision prospective et en le remettant au cœur de la gestion de la copropriété dans un rôle qui va bien au-delà d’une simple assistance au conseil syndical.
  • Mieux accompagner la rénovation : en structurant une filière de la rénovation de la sensibilisation jusqu’au financement pour stimuler une demande de travaux encore insuffisante.
  • Mieux prévenir et traiter les impayés de charges : l’évolution de la sociologie des copropriétés, couplée au durcissement des conditions économiques, mais aussi à l’impérieuse nécessité de faire face à l’obsolescence technique des immeubles conduisent à améliorer encore l’arsenal à la disposition des copropriétés et des syndics. Parmi les propositions figurent des mesures préventives (mensualisation des charges de copropriétés, renforcement de la phase de conciliation) et des mesures visant à rendre plus efficace la phase contentieuse.

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HLM : bientôt des loyers en faveur des ménages sous plafond de ressources @BanqueDesTerr

Source : Banque des Territoires

Le 15 mai dernier, le Gouvernement a lancé l’expérimentation de la politique des loyers HLM en faveur des ménages très modestes, sous plafond de ressources. 

banque des territoires

Jacqueline Gourault et Julien Denormandie ont présenté, en conseil des ministres du 15 mai 2019, l’ordonnance prévue par l’article 88 de la loi Elan, sur l’expérimentation, par les bailleurs sociaux volontaires, d’une politique des loyers visant à « faciliter l’accès au parc social de ménages très modestes ». L’expérimentation porte sur une durée de cinq ans. Tout part du principe que les loyers des logements sociaux, conventionnés et ouvrant droit à l’aide personnalisée au logement (APL), sont déterminés par des conventions et selon des références établies au moment du financement initial du logement (PLAI, PLUS, PLS). Or « ce mécanisme permet difficilement de s’adapter à la diversité des profils des locataires et de pratiquer une mixité au sein mêmes des immeubles », rappellent les ministres.

Une contribution au plan « Logement d’abord »
La politique des loyers expérimentale proposée se fonde sur des baisses significatives des loyers (à des niveaux inférieurs ou égaux aux plafonds de loyers pris en compte pour le calcul de l’APL) en faveur des ménages nouveaux entrants dans le parc social dont les ressources sont inférieures à 80 % des plafonds de ressources pour l’attribution des logements financés par des prêts locatifs aidés d’intégration (PLAI, les plus sociaux).
Cette mesure concerne aussi les locataires bénéficiant d’une mutation dans le parc.
Pour le gouvernement, l’expérimentation contribuera aux sorties de l’hébergement d’urgence et donc indirectement au plan « Logement d’abord ». Elle répondrait également à l’objectif posé dans la loi Egalité et Citoyenneté de janvier 2017 qui impose, au nom de la mixité sociale, qu’au moins 25 % des attributions de logements sociaux réalisées en dehors des quartiers prioritaires de la politique de la ville (QPV) soient effectuées au profit des demandeurs les plus modestes.

Quand le logement bascule du parc privé au parc social
Une seconde ordonnance sur les loyers en HLM, prise en application de la loi Elan, a été présentée en conseil des ministres du 15 mai 2019.
En savoir plus…

Lire aussi :

Coop HLM : Habitation Familiale devient Keredes @HabFamiliale

Source : Keredes 

Habitation familiale et HF Gestion changent de nom et deviennent Keredes !
Une seule marque déclinée en 3 métiers : promotion immobilière, syndic de copropriété, et agence immobilière.

Découvrez la nouvelle marque en vidéo…

https://www.youtube.com/watch?v=BomHsBxUrjo

Rendez-vous sur leur nouveau site internet : www.keredes.coop

Lire également :

La commercialisation des PLS : un défi à relever @aorif

Source : AORIF

La rencontre régionale organisée par l’AORIF le 15 février dernier visait ainsi à mettre en débat les conclusions de l’étude (cf. Dossier d’Ensemble n°29 – nov. 2018) et à dépasser le stade des constats pour mener ensemble une réflexion sur les améliorations à engager et sortir ainsi de l’impasse dans laquelle les partenaires franciliens semblent se trouver.

PLS : UN PARC DIFFICILE À COMMERCIALISER

Le parc locatif social francilien est composé de plus de 80 000 logements PLS, soit 6,4 % de l’offre locative sociale. Cette part modeste est appelée à évoluer puisque les PLS représentent près d’un quart des agréments délivrés chaque année depuis 2012. La baisse très sensible des agréments de logements sociaux en 2018 ne s’est pas trop ressentie sur les PLS; le PLS reste un produit stable dans les agréments, at- teignant près d’un tiers de la production.

Alors même que le parc de PLS se développe, les partenaires font état d’un constat partagé : ce parc est difficile à commercialiser. Plus précisément, les partenaires de l’attribu- tion peinent à identifier des demandeurs ré- pondant aux critères de ressources PLS et donc à louer les PLS au niveau de loyer prévu initialement.

Les difficultés actuelles rencontrées pour commercialiser les PLS semblent avoir deux origines principales. D’une part, des approches de la mixité par l’offre qui ont amené les partenaires à produire des PLS dans les quartiers et territoires précarisés afin d’attirer ou maintenir des classes moyennes manquantes.

Il en résulte la constitution d’un parc de logement PLS dans des quartiers peu attractifs et ne disposant pas des aménités qui semblent pourtant nécessaires aux ménages cibles comme a pu le préciser Lydie Launay, maître de conférences en sociologie à l’Université Fédérale de Toulouse dans son propos. D’autre part, le système d’équilibre à l’opération qui encourage les organismes à prévoir quelques logements en PLS dans chaque opération afin d’en amé- liorer l’équilibre financier. Il en résulte une répartition non discri- minée des PLS sur le territoire régional.

DEUX DÉFIS : ASSURER LA GESTION DU PARC EXISTANT ET PENSER LA PRODUCTION NOUVELLE

Les partenaires font donc face à deux défis parallèles : assurer la gestion du parc existant en renforçant les efforts de commercia- lisation, en structurant la recherche de candidats bien au-delà de la demande répertoriée sur le SNE et en cherchant des leviers d’attractivité pour les logements PLS, et penser la production nouvelle de manière plus soutenable en ciblant au mieux les localisations, les typologies et les répartitions par contingent.

Face à ces défis, les partenaires identifient des freins, au premier rang desquelles la difficulté de considérer le sujet comme priori- taire au milieu de la somme des contingences actuelles. Pour passer des réponses ponctuelles et individuelles à une réponse collective plus intégrée, il s’agirait de lever le cloisonnement et de mettre en action toute la chaîne de responsabilité. On peine à identifier un chef de file autre que les EPCI dans le cadre de leur PLH pour jouer ce rôle, mais la fragilité des gouvernances n’est pas propice à la structuration de politiques volontaristes en la matière à court terme. L’équation économique, à laquelle font face les organismes Hlm et leurs financeurs, est un second frein à une approche plus raisonnée du développement des PLS et son ciblage sur des micro-marchés favorables.

mais les opportunités sont réelles. La prise de conscience collective s’est faite, chacun recherche des solutions à son échelle et sur son segment de responsabilité, les intervenants l’ont tous démontré nettement. Certains cadrent d’intervention des partenaires évoluent : gestion en flux des contingents ou recherche d’équilibre à une échelle plus large que l’opération. Si ces perspectives sont porteuses de risques, elles ouvrent quelques opportunités

pour une meilleure réponse aux défis posés par le PLS. Enfin, les partenaires semblent tous prêts à construire des solutions innovantes pour apporter des réponses, que ce soit en termes de gestion de la demande, de conception des produits, de démarche de commercialisation ou encore de constitution de bouquets de services associés au logement…

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