Archives Mensuelles: Mai 2018

La Caisse des dépôts soutient l’aménagement et la construction de logements @JournalGdParis

Source : Journal du Grand Paris

Marianne Louradour, directrice régionale Ile-de-France de la Caisse des dépôts, détaille les bons résultats du groupe, au plan national et régional, et évoque ses priorités stratégiques, du maintien de la capacité de construction des logements sociaux à la logistique urbaine.

Qu’en est-il de votre soutien à l’aménagement et à la construction de logements ?

Parmi nos grandes priorités figure évidemment le logement. 700 000 des 2 millions de demandeurs de logements sociaux au plan national sont Franciliens. Nous avons un rendez-vous exceptionnel avec l’aménagement en Ile-de-France, autour du Grand Paris express, avec une nouvelle façon de construire la ville. La métropole du Grand Paris vient, par ailleurs, de lancer son plan climat air énergie métropolitain (PCAEM). La transition énergétique est, bien sûr, essentielle à nos yeux et constitue pour la Caisse des dépôts un axe stratégique. A partir du moment où l’on doit équiper la région en infrastructures, en transports et en logements, il nous faut impérativement veiller à en réduire l’empreinte carbone, dans le respect des engagements de la COP21.

Quels sont vos outils pour pallier les recettes moindres des bailleurs sociaux consécutives à la baisse des APL ?

Le premier outil, c’est de permettre l’allongement de la dette, c’est un moyen très puissant qui représente un engagement de 30 milliards d’euros au plan national, 9,4 pour l’Ile-de-France. 10 % des organismes de logements sociaux (OLS) franciliens y ont souscrit dès l’ouverture du dispositif. Nous allons, par ailleurs, renouveler nos prêts dits de haut de bilan à hauteur de 2 milliards d’euros pour maintenir la construction de logements, compte tenu des mesures de la loi Elan sur la réduction des loyers de solidarité. Il s’agit de prêts avec une première période de vingt ans à taux zéro et sans aucun remboursement. Nous avons distribué 600 millions de ce produit en 2017, orientés principalement sur la réhabilitation.

Les bailleurs sociaux franciliens bénéficient également, en 2018, d’une enveloppe de 4 milliards de prêts à taux fixe. Elle pourra notamment accompagner la réorganisation des structures, puisque la loi Elan devrait entériner le principe – pour un organisme de logement social qui n’atteindrait pas 15 000 logements – de rejoindre un groupe dans les trois ans après la promulgation de la loi, selon plusieurs formes possibles, et l’obligation de fusion des offices publics HLM rattachés à une même collectivité (EPCI, EPT, hors métropole). Par ailleurs, nous sommes partie prenante dans les 42 protocoles de préfiguration du NPNRU déjà signés en Ile-de-France.

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Les chiffres du logement neuf au 1er trimestre 2018 @fpi_fr @A_FrancoisCuxac

Source : FPI

Le Service Statistique du Ministère de la Cohésion des territoires a publié le lundi 30 avril les chiffres de la construction des logements neufs au 1er trimestre 2018.

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496 300 logements (en données brutes) ont été autorisés à la construction (+3,7 % par rapport la même période d’avril 2016 à mars 2017). Les autorisations s’établissent sous le seuil des 500000.
‐ 425 800 logements ont été mis en chantier (+9,2 % par rapport la même période d’avril 2016 à mars 2017). Les mises en chantier conservent un certain rythme d’entrainement pour l’économie.
‐ Cependant, durant le premier trimestre 2018, « les mises en chantier accentuent leur repli (- 2,5 % après – 0,4 %) en raison de la forte baisse du collectif y compris en résidence (- 6,1 %, après 0,0%) ; l’individuel se redresse (+ 2,6 % après – 0,9 %) mais ne compense pas la baisse du collectif».

Pour la Fédération des Promoteurs Immobiliers, la production de logements neufs reste à un niveau élevé en France, de l’ordre de ce qu’on observait début 2012, et avant la crise de 2008 : 500 000 permis de construire et plus de 420 000 mises en chantier.

Les Français restent très attachés culturellement à l’investissement dans la pierre, pour habiter comme pour investir. Il faut toutefois rester vigilants et pro actifs car les chiffres les plus récents semblent marquer une inversion de tendance, avec des courbes de permis de construire et de mises en chantier qui commencent à baisser. Les promoteurs le ressentent sur le terrain, avec dans plusieurs régions des stocks très faibles inférieurs à 6 mois. Pour Alexandra FRANCOIS-CUXAC, Présidente de la FPI « nous ne faisons pas face à un problème de demande, mais surtout à un manque d’offre : il est toujours aussi difficile de transformer des permis en chantier car les coûts de construction augmentent sensiblement mais également parce que le fléau des recours continue. Il existe aussi des communes où les servitudes de mixité sociale dépassent les 50%, ce qui bloque des
projets. »

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Zoom sur l’immobilier à Orléans : quel prix moyen au m2 ? @seloger

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Source : Seloger.com

Dans la capitale du Loiret, les prix des logements dans l’ancien remontent de 0,7 % sur les douze derniers mois. Devenir propriétaire d’un appartement à Orléans coûte désormais 2 243 € du m². Quels sont les quartiers les plus prisés ? Et les moins cotés ?

À Orléans, les prix immobiliers remontent doucement : + 0,7 % sur 1 an

Immobilièrement parlant, celle que l’on surnomme parfois la cité johannique affiche une tendance haussière. Sur les douze derniers mois, les prix des appartements anciens à Orléans progressent ainsi de 0,7 % et la hausse qui touche la ville de Jeanne d’Arc est encore plus marquée sur le trimestre (+ 2,4 %). L’attrait qu’exerce la capitale de l’Orléanais n’est d’ailleurs probablement pas étranger à la hausse des prix immobiliers lesquels, toute en restant abordables (2 243 € du m²), pourraient bien prendre davantage d’altitude…

  • Qu’est-ce qui motive les acheteurs ?

Des taux d’intérêt bancaires qui (est-il encore besoin de le rappeler ?) font du rase-mottes, une proximité avec Paris la capitale est à moins d’une heure de train), un patrimoine historique (la maison de Jeanne d’Arc, la fameuse place du Martroi, la Tour Blanche) d’une grande richesse, un indéniable dynamisme économique (c’est à Orléans et dans sa région que sont fabriqués pas moins de 70 % des médicaments produits en France) et de grands projets immobiliers (situé entre Orléans et Fleury-les-Aubrais, le quartier Interives accueillera logements, bureaux et commerces sur 110 hectares) constituent indubitablement des atouts de poids dans le jeu d’Orléans.

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Logement, emploi, transports… La Métropole de Rennes en 12 chiffres @metropolerennes

Source : Métropole de Rennes

Découvrez 12 infographies mettant en lumière les thématiques clés du développement de la Métropole de Rennes. 

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1.Démographie: toujours en croissance

Depuis 1990, la population a augmenté de plus de 100 000 habitants (et regroupé quelques communes de plus sur cette période). En moyenne, la croissance annuelle de la population est de +1,4% par an depuis 2010, tout particulièrement en fin de période. La croissance métropolitaine est plus forte que dans le reste de l’aire urbaine, c’est à dire au-delà de son périmètre des 43 communes.

Comme dans les autres métropoles comparables, cette population tend à vieillir: la part des moins de 20 ans diminue dans l’ensemble du territoire, mais moins à Rennes qu’ailleurs.

2. Habitat : loger tout le monde

Les autorisations de construction de logements neufs en 2016 (6 614) sont venues confirmer le dynamisme de 2015 (4 845). Une fois les permis de construire accordés, (+24% dans la couronne rennaise depuis 2015), les travaux débutent sur le terrain. Après Montpellier, Rennes est la métropole qui construit le plus de logements. La part du logement collectif y est prépondérante.

3. Foncier : une denrée protégée

La lutte contre l’étalement urbain sur les terres agricoles est suivie d’effets depuis 2001. La dernière décennie a permis de réduire par quatre les hectares consommés, pour l’habitat et pour les activités économiques.

4. Économie : créations d’activité au beau fixe

Plus de 4 000 établissements ont été créés en 2016 sur le territoire de Rennes Métropole. Le secteur des services tient toujours le haut du pavé, comme dans toutes les grandes agglomérations françaises.
On remarque un taux de création dans le commerce élevé sur la période.
On comptait 29 774 établissements au 1er janvier 2016. Dont 65% n’emploient aucun salariés (moyenne nationale 70%) .

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« Mal-logement, mal-logés » : découvrez le rapport 2017-2018 de l’ONPES @ONPES

Source : ONPES

L’ONPES, Observatoire National de la pauvreté et de l’exclusion sociale, a récemment publié son 12e rapport annuel, sur le thème du « Mal-logement ». Mais alors, que veut dire vraiment le « mal-logement » ? Quelles sont les différentes formes de mal logement en France ?Résultat de recherche d'images pour

Comment sont logées les personnes pauvres au regard de l’évolution générale de la situation du logement depuis une vingtaine d’années et particulièrement depuis la crise de 2008 ? Quelle perception ces personnes ont-elles de leurs conditions d’habitat, spécialement celles qui se trouvent de fait exclues du logement de droit commun et vivent au quotidien dans ce que l’Onpes qualifie de « situations marginales de logement » ?

« Mal-logement, mal-logés », le rapport 2017-2018 de l’Onpes se propose d’éclairer la compréhension de cette crise persistante et paradoxale en complétant la mesure quantitative des difficultés de logement par un regard sur la situation des personnes logées ou exclues du logement dit « de droit commun ». La subjectivité des personnes dont l’action publique ou associative en matière de logement entend améliorer la situation est donc prise en compte dans cet ouvrage, dans la continuité de la démarche entreprise pour le rapport de 2016 consacré à l’invisibilité sociale.

Les explorations menées dans le cadre de la réalisation de ce rapport révèlent notamment deux degrés d’intensité dans les situations de mal-logement :
– Une charge excessive en logement pour les ménages, qui entraîne des privations sur les autres besoins à satisfaire, compromet la participation à la vie sociale, et qui touche une part croissante des ménages à faibles revenus ;
– La difficulté rencontrée par les personnes de passer d’une situation marginale de logement (ex : la privation de domicile personnel) à une situation de logement de droit commun.

Pour consulter le rapport ou lire la suite de l’article, cliquez ICI

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