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La fin des cartes de transport ? L’open payment, dispositif qui fluidifie le trafic urbain @Nexity
Source : Nexity Lab
Éclairage sur une technologie clé de la mobilité de demain : l’open payment.
Vous souvenez-vous de la fois où vous avez dû vous mettre tout au bout de la file d’attente pour acheter votre ticket de métro ou recharger votre pass ? Et si nous vous disions que bientôt, vous pourrez vous servir de votre carte bancaire comme titre de transport…
L’open payment, comment ça fonctionne ?
Si ce nouveau concept a pu voir le jour, c’est d’abord grâce à l’émergence des cartes de paiement sans contact, qui représentaient déjà en 2018 plus de 70% des cartes françaises. Le principe ? Payer et utiliser son titre de transport en utilisant sa carte bancaire. Il suffit en effet pour l’utilisateur de passer sa carte devant une borne équipée qui affichera alors si le voyage est validé. Lorsqu’un contrôleur se présentera, c’est donc la carte de paiement qui fera office de titre de transport.
Derrière ce geste simple se cache un processus tout de même complexe, l’une des ambitions de l’open payment étant aussi d’optimiser le coût du trajet de la personne qui l’utilise :
- En présentant votre carte bancaire à un valideur, ce dernier va identifier un token, c’est-à-dire un identifiant unique généré par votre carte.
- Le valideur récupère les informations nécessaires au paiement à un serveur d’acceptance : un système connecté aux banques pour les demandes de paiement. Il vérifie notamment que votre carte n’a pas été volée.
- Toutes les données concernant votre trajet (date/heure/ligne empruntée) et votre token sont envoyés au serveur d’open payment. On appelle cet ensemble de données un « tap ».
- En fin de journée, tous les taps d’un token sont analysés afin de reconstruire l’ensemble du trajet. Le prix total de la journée est calculé en fonction.
Quels-en sont les principaux avantages ?
DataCity 2019 : 10 startups sélectionnées pour construire la ville de demain @Paris @DataCitybyNUMA
Source : Paris
Cette année a eu lieu la 4ème édition du programme DataCity !
NUMA et la Ville de Paris ont révélé le 13 février le nom des 10 startups sélectionnées pour participer à la construction de la ville intelligente, voici la liste des solutions innovantes ci-dessous…
1. Free Floating & Trottoirs : Wintics
Comment accompagner le développement des nouvelles mobilités dans le respect de l’espace public ?
“Wintics développe des solutions d’intelligence artificielle pour accompagner les smart cities dans leurs démarches de mobilité et d’aménagement. Les algorithmes de Wintics s’appuient sur des grandes quantités de données (tableaux, vidéos, GPS, etc) pour mieux comprendre, prédire et optimiser les flux urbains.”
2. Venir et se garer dans Paris en deux temps, trois mouvements : Parking Map
Comment mettre à la disposition du plus grand nombre des places de parkings inutilisées ?
“Parking Map agrège les données liées au stationnement (parkings partagés, disponibilités, flux financiers, horaires de transport…) pour en donner aux gestionnaires une restitution via une visualisation en temps réel et une analyse pertinente.”
3. Feu vert aux mobilités douces : Cyclope
Comment intégrer les mobilités douces à la circulation en ville ?
“ Cyclope.ai conçoit des logiciels d’IA appliqués aux images, au service des exploitants d’infrastructures et des gestionnaires de voirie. Nous commercialisons 2 produits phares, déjà déployés chez VINCI Autoroute. TollSense est une correction intelligente des erreurs de classification au péage : notre algorithme détecte la classe du véhicule en temps réel, à partir d’une simple photo, et reconnaît les cas les plus difficiles.
4. Voiture partagée, propreté assurée : GreenTropism
Comment garantir la propreté des voitures en autopartage ?
“GreenTropism aide les industriels à relever les défis de la digitalisation et du suivi de process grâce à des solutions logiciels et applications collaboratives et sécurisées. GreenTropism développe et met en oeuvre des outils concrets de Machine Learning appliqués particulièrement à la spectroscopie, pour faciliter la prise de décision et le contrôle en temps réel.
5. Accélérer la recharge des véhicules pro : Wintics
Comment faciliter le passage à l’électrique des flottes professionnelles ?
>>>> Voir les 5 autres startups sélectionnées
Lire aussi :
Téléphérique urbain, un futur transport en commun ? @nexity #nexitylab
Source : Nexity Lab
80 réalisations urbaines, 200 projets en cours, le téléphérique urbain connait un développement en forte croissance partout dans le monde. Nexity Lab a donc fait le point sur cette nouvelle solution de mobilité urbaine qui représente un parfait complément au bus, tramway et métro.
Les nombreux atouts du téléphérique urbain
« Il n’y a pas plus propre que le transport par téléphérique, il n’y a pas plus sécurisé, il n’y a pas plus silencieux et en plus il n’y a pas moins coûteux ». C’est par ces quelques mots que l’ancienne ministre de l’environnement, Ségolène Royal, décrivait le téléphérique urbain en 2016. Il faut dire que le transport par câble possède de nombreux atouts.
Économies d’énergie, aucune émission de gaz à effet de serre, une emprise au sol réduite, ce nouveau mode de transport a une vocation environnementale forte et répond aux enjeux de la transition énergétique. L’aspect pratique est aussi un argument de poids. De part son tracé direct et son survol des zones denses, le téléphérique s’affranchit de l’encombrement de la voirie et permet de franchir de nombreux obstacles naturels et architecturaux. Alors que le tramway et le métro représentent un casse-tête urbain en période de travaux, le téléphérique promet lui une installation moins longue et moins handicapante aux agglomérations. L’argument économique est également un atout non négligeable. Sa construction est moins coûteuse qu’un tramway, son architecture ainsi que sa singularité le rende attractif et lui donne un intérêt touristique. Pour lire la suite, merci de vous
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Lire également :
Le Grand Paris Express, un moteur pour l’emploi @GdParisExpress
Source : Société du Grand Paris
La Société du Grand Paris, la RATP, l’Etablissement Public Territorial Grand – Orly Seine Bièvre et le Département du Val-de-Marne s’engagent pour l’emploi local et l’insertion autour des chantiers de la ligne 14 Sud
Thierry Dallard, président de la Société du Grand Paris, Christian Galivel, directeur général adjoint projets, ingénierie et investissements de la RATP, Michel Leprêtre, président de l’Etablissement Public Territorial Grand-Orly Seine Bièvre et Christian Favier, président du conseil départemental du Val-deMarne, ont signé le 19 décembre 2018 une convention pour favoriser l’emploi dans les territoires du Grand Paris Express, en présence de Laurent Prévost, préfet du Val-de-Marne.
Convaincues que les chantiers exceptionnels du Grand Paris Express doivent favoriser le développement économique durable, solidaire et créateur d’emplois, la Société du Grand Paris et la RATP avaient déjà cosigné le 5 octobre 2015 une Charte d’engagement « Responsabilité Sociale des Entreprises » pour la réalisation des marchés du Grand Paris.
Dans le prolongement des objectifs de cette charte, et dans le but d’enclencher de véritables actions d’insertion professionnelle, de formation et d’accès à l’emploi au plus près des publics, les signataires de la convention pour le développement de l’emploi dans les territoires du Grand Paris Express se sont engagés mercredi 19 décembre 2018 dans une démarche commune pour que les travaux du prolongement au sud de la ligne 14 soient source d’emplois durables pour les habitants des territoires traversés.