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Immobilier : quelles prévisions pour fin 2019 et 2020 ? @pap_fr
Source : PAP
Malgré une forte hausse des prix, le marché de l’immobilier se porte plutôt bien en de début d’année. Cependant, cette tendance va-t-elle encore durer longtemps ? Quelles sont les prévisions pour la fin de l’année 2019 ? Quelles perspectives pour 2020 ?
Crédit : les taux immobiliers vont-ils remonter ?
L’emprunt toujours moins cher. Entre la fin 2012 et la mi-2019, le taux immobilier moyen toutes durées confondues est passé de 3,21% à 1,20% hors assurances selon l’Observatoire Crédit Logement/CSA. Une baisse liée à la politique accommodante de la Banque centrale européenne (BCE), à la chute des indices financiers et à la concurrence entre les banques. Elles se servent du crédit immobilier pour attirer de nouveaux clients et sont même prêtes à accorder des rabais aux meilleurs profils
Logement : l’euphorie sur le marché de l’ancien va-t-elle durer ?
– Toujours plus de transactions : un fort engouement pour la pierre dopé par des taux d’intérêt ultra bas : « le marché de l’ancien à plein régime » signalent les Notaires de France dans leur dernière note de conjoncture. « Avec 985 000 mutations réalisées sur douze mois à fin mars 2019, le volume annuel des transactions dans l’ancien reste à un niveau historiquement haut » précisent-ils dans ce document qui porte sur les données enregistrées ce printemps.
– Le marché trouve du crédit : depuis, la dégringolade des taux s’est poursuivie. L’envie d’acheter ne s’est pas démentie. Les banques, pour soutenir la demande, ont continué à assouplir certains de leurs critères. Entre autres exemples, les durées de crédit s’allongent (20 ans et 9 mois au premier semestre 2019, le plus haut niveau jamais observé selon la banque de France). Et le taux d’apport personnel baisse de 6,9% sur les sept premiers mois de 2019 d’après Crédit Logement/CSA.
– Les prix de l’immobilier augmentent : Avec des taux historiquement bas et une très forte demande, les prix ne peuvent que monter. Une hausse que les Notaires de France chiffrent à 3,7% pour les appartements et à 2,5% pour les maisons sur douze mois à fin mars dernier. D’après leurs indicateurs avancés, la hausse annuelle à fin août 2019 atteindrait 4,5% en collectif et 2,6% en individuel. Bref, la hausse des prix de l’ancien va rester d’actualité en 2019.
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Micro-Logements : tout savoir sur la taxe Apparu @pap_fr
Source : PAP
Si vous proposez des loyers élevés pour des logements de petite surface, soit inférieur à 14m², vous aura la taxe « Apparu » à payer. En 2018, les logements concernés par cette taxe sont ceux ayant un loyer un mensuel hors charges excédant 41.95€ par mètre carré.
Les loyers perçus depuis le 1er janvier 2012 peuvent être frappés par la taxe annuelle sur les loyers élevés des logements de petite surface, dite « taxe sur les micro-logements » ou plus simplement « Taxe Apparu », du nom du secrétaire d’État chargé du Logement et de l’Urbanisme de l’époque.
Cette taxe concerne les propriétaires bailleurs qui louent des logements :
— d’une superficie inférieure ou égale à 14m² ;
— loués vides ou meublés pour une durée minimale de neuf mois, c’est-à-dire les logements constituant la résidence principale du locataire. Les logements loués par des étudiants sont donc notamment visés ;
— situés dans une zone dite « tendue » (coût du loyer élevé, pénurie de logements). Ces communes sont définies comme étant celles de la zone A (incluant la zone A bis) telle que fixée l’arrêté du 30 septembre 2014. Schématiquement, sont concernés : les logements situés à Paris et sa banlieue, dans les plus grandes villes, sur la Côte d’Azur et dans le Genevois français.
Lorsque tous ces critères sont cumulativement réunis, le propriétaire bailleur est taxé si le loyer hors charges dépasse un certain montant fixé annuellement ; en 2018, le seuil est fixé à 41,95 € par mètre carré de surface habitable (contre 41,64 € en 2017).
En savoir plus sur la taxe Apparu
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Immobilier : des prévisions optimistes pour l’année 2018 ! @pap_fr
Source : PAP
L’année 2017 a été une année historique pour le marché de l’immobilier. Que prévoit-on alors pour cette nouvelle année ?
C’est confirmé : 2017 s’affirme comme un excellent millésime pour l’immobilier. L’ancien devrait enregistrer dans les 958.000 transactions (record absolu), contre 848.000 en 2016 selon les Notaires de France. Chez les promoteurs, le cap des 130.000 réservations au détail pourrait être franchi (126.950 l’an dernier d’après la Fédération des promoteurs immobiliers). Les constructeurs de maisons ne sont pas en reste, avec une prévision de 142.000 ventes en 2017 (133.600 en 2016 selon l’indicateur spécialisé Markémétron).
Les prévisions des pros. Les records de vente de l’an dernier seront-ils battus ? Pour apporter des éléments de réponse, le Crédit foncier a sondé les professionnels de l’immobilier (promoteurs, constructeurs, agents, etc.). Résultat : 80% d’entre eux se déclarent optimistes pour cette nouvelle année. Si ce chiffre est stable depuis un an et demi, « il a fortement progressé entre janvier 2015 (35% d’optimistes) et septembre 2016 (78%) » indique l’étude de cet établissement spécialisé dans le financement du logement.
L’ancien sur sa lancée. 55% des professionnels anticipent une stabilité des transactions en 2018. 51% prévoient un maintien des prix à leur niveau actuel. 16% voient le mètre carré baisser, contre 14% en avril 2017. En clair : les pros de l’ancien considèrent dans leur majorité que la hausse des prix observée l’an dernier (3,9% en rythme annuel selon le dernier indice notaires-Insee) pourrait toucher à sa fin. Une tendance qui épargnerait certaines grandes villes. Selon les Notaires de France, les prix montent de 12% par an à Bordeaux, de 7% à Paris et à Lyon, les autres métropoles dynamiques enregistrant des hausses comprises entre 2 et 5%. D’autres, en revanche, restent à la peine, comme Marseille, Lille ou encore Montpellier.
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2017, une année historique pour l’immobilier Français ! @pap_fr
Source : PAP
L’année 2017 aura été une année record pour le marché de l’immobilier avec près d’1 million de transactions enregistrées.
Avec 952 000 ventes, l’année 2017 s’annonce d’ores et déjà comme un excellent millésime annonce Thierry Thomas, président de l’Institut notarial de droit immobilier. « Les volumes de ventes ont augmenté nationalement de 15,5% », ajoute-t-il. « Cette reprise engagée depuis le deuxième trimestre 2016 s’accentue chaque trimestre », souligne Thierry Thomas.
Un marché sain. Au niveau national tous les indicateurs sont au vert et les notaires de France affichent une belle sérénité. Ils se pourrait même que le million de transactions soit atteint d’ici à la fin de l’année. Un niveau inconnu depuis de nombreuses années.
Les prix augmentent presque partout. Dans le détail, à l’exception de Saint-Étienne, Le Havre et Dijon, toutes les grandes villes de France voient leur prix au mètre carré augmenter. Bordeaux se singularisant avec une hausse de prix annuelle de 12% avec un mètre carré à 3.590 € ! Effet LGV, qualité de vie et renouveau urbain expliquent en partie cet engouement. Suivent Nantes + 6,3%, Lyon + 6% et Lille + 5,2%.
Bordeaux se hisse en tête. En dix ans le classement des villes de province les plus chères a été chamboulé. Bordeaux est ainsi passé du septième rang au premier, Nantes bondit de neuvième rang au cinquième. Inversement des villes ont rétrogradé dans ce classement. Marseille est ainsi passé du cinquième rang en 2007 au dixième. Idem pour Grenoble qui décroche du troisième rang au onzième.
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Ventes des logements anciens en hausse de 12% ! @pap_fr
Source : PAP
Ça ne s’arrête pas ! Selon l’étude des Notaires de France, les ventes de logements anciens ont augmenté de 12% en un an, l’Ile-de-France demeure la région où la hausse est la plus importante.
Toujours plus haut ! Le nombre de ventes de logements anciens continue d’augmenter mois après mois comme le confirme la note de conjoncture des Notaires. Pas moins de 921 000 transactions ont été en effet comptabilisées de juillet 2016 à juin 2017, soit un bond de 12% par rapport à la période juillet 2015-juin 2016. Une dynamique alimentée par la diminution des prix déclenchée par la crise de 2008, excepté dans quelques métropoles et l’Ile-de-France, et la baisse des taux d’intérêt qui a redonné du pouvoir d’achat aux emprunteurs.
Prix des logements en hausse. Cette croissance des volumes de vente a entraîné les prix à la hausse, une tendance qui se confirme depuis le début de l’année. En effet, les valeurs ont progressé de 0,8% au 2e trimestre 2017 par rapport au 1er trimestre 2017, soit une hausse de 3,2% sur un an. C’est toujours l’Ile-de-France qui connaît les poussées inflationnistes les plus fortes (+ 4,9%) sur un an pour les appartements contre + 3% en province. L’évolution du prix des maisons a été en revanche plus contenue en région parisienne (+ 1,9% sur un an) contre + 2,9% en province.
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