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Crédit immobilier : la vérité sur la baisse des taux @pap_fr
Source : pap.fr

Timide remontée, stabilisation… Si la baisse des taux s’est achevée fin 2019, les conditions de crédit immobilier restent très favorables. Malgré des banques plus sélectives, les emprunteurs peuvent toujours réaliser de bonnes affaires !
La baisse des taux ? Tout le monde en parle ! Logique : dans une étude publiée le 3 décembre 2019, l’Observatoire du financement Crédit Logement/CSA révèle qu’ils ont encore perdu quelques points. En novembre 2019, la moyenne brute (hors assurance et coût des garanties) est même tombée à 1,12 %, le plus bas niveau jamais observé. « Depuis le début de l’année, les taux ont reculé de 30 points de base », précise cet organisme qui cautionne les prêts à l’habitat. Bref, l’argent est de plus en plus abordable.
Place à la hausse ? Les courtiers en crédits immobiliers, des intermédiaires dont le métier est de dénicher des financements aux acquéreurs, disent tout autre chose. « Nous constatons une augmentation depuis le milieu du mois d’octobre », note ainsi Alban Lacondemine, président-fondateur d’Emprunt Direct. « En décembre, le mouvement de remontée des taux constaté en novembre se poursuit, mais uniquement dans certaines banques », remarque pour sa part Vousfinancer.
Immobilier : quelles prévisions pour fin 2019 et 2020 ? @pap_fr
Source : PAP
Malgré une forte hausse des prix, le marché de l’immobilier se porte plutôt bien en de début d’année. Cependant, cette tendance va-t-elle encore durer longtemps ? Quelles sont les prévisions pour la fin de l’année 2019 ? Quelles perspectives pour 2020 ?
Crédit : les taux immobiliers vont-ils remonter ?
L’emprunt toujours moins cher. Entre la fin 2012 et la mi-2019, le taux immobilier moyen toutes durées confondues est passé de 3,21% à 1,20% hors assurances selon l’Observatoire Crédit Logement/CSA. Une baisse liée à la politique accommodante de la Banque centrale européenne (BCE), à la chute des indices financiers et à la concurrence entre les banques. Elles se servent du crédit immobilier pour attirer de nouveaux clients et sont même prêtes à accorder des rabais aux meilleurs profils
Logement : l’euphorie sur le marché de l’ancien va-t-elle durer ?
– Toujours plus de transactions : un fort engouement pour la pierre dopé par des taux d’intérêt ultra bas : « le marché de l’ancien à plein régime » signalent les Notaires de France dans leur dernière note de conjoncture. « Avec 985 000 mutations réalisées sur douze mois à fin mars 2019, le volume annuel des transactions dans l’ancien reste à un niveau historiquement haut » précisent-ils dans ce document qui porte sur les données enregistrées ce printemps.
– Le marché trouve du crédit : depuis, la dégringolade des taux s’est poursuivie. L’envie d’acheter ne s’est pas démentie. Les banques, pour soutenir la demande, ont continué à assouplir certains de leurs critères. Entre autres exemples, les durées de crédit s’allongent (20 ans et 9 mois au premier semestre 2019, le plus haut niveau jamais observé selon la banque de France). Et le taux d’apport personnel baisse de 6,9% sur les sept premiers mois de 2019 d’après Crédit Logement/CSA.
– Les prix de l’immobilier augmentent : Avec des taux historiquement bas et une très forte demande, les prix ne peuvent que monter. Une hausse que les Notaires de France chiffrent à 3,7% pour les appartements et à 2,5% pour les maisons sur douze mois à fin mars dernier. D’après leurs indicateurs avancés, la hausse annuelle à fin août 2019 atteindrait 4,5% en collectif et 2,6% en individuel. Bref, la hausse des prix de l’ancien va rester d’actualité en 2019.
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Immobilier : tous les voyants sont au vert ! @Galivel
Source : Galivel
Les taux de crédit immobilier ne cessent de baisser encore en ce mois de juillet, permettant ainsi l’accession à la propriété pour tous. En effet, le taux moyen appliqué en juin sur 20 ans était de 1,08% pour la clientèle Cafpi (0,63% sur 10 ans, 0,89% sur 15 ans et 1,26% sur 25 ans).
Tous les voyants sont au vert
Avec 0,93% négociés sur 20 ans par Cafpi pour sa clientèle en juillet, contre 0,95% un mois plus taux (0,50% sur 10 ans, 0,72% sur 15ans et 1,12% sur 25 ans), les taux n’ont jamais autant favorisé l’achat d’un bien immobilier « Les taux affichés pour ce mois de juillet sont à destination des bons profils, mais pour les très bons profils, avec une bonne épargne, des revenus stables… nous pouvons encore négocier et gagner 0,25% », indique Philippe Taboret.
Un marché de l’immobilier très dynamique
Les taux au plus bas permettent une amélioration du pouvoir d’achat des emprunteurs, et ce, quelque soit leur profil. Les primo-accédants continuent de profiter de cette baisse, tout en restant raisonnable sur leur capacité d’emprunt. « Dans la plupart des cas, ces derniers réalisent leur projet dans des zones détendues où les prix de l’immobilier restent stables et où il n’est donc pas obligatoire d’augmenter le montant de l’emprunt », précise Philippe Taboret. «Les autres accédants, qui profitent également de ces taux très avantageux, utilisent cette hausse du pouvoir d’achat pour augmenter leur enveloppe budgétaire et acheter des biens avec une plus grande surface, ou plus proche des centres villes » poursuit-il. Autre facteur important, alors que le marché de l’ancien est en bonne santé depuis quelques années déjà, le marché de l’immobilier neuf observe un redémarrage. Entre mars à mai 2019, les autorisations de construction de logements ont augmenté de 3,8%, signe d’une reprise du marché de l’immobilier neuf.
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Immobilier : les taux baissent encore @Galivel
Source : Galivel
En ce début de mois de mai, les taux de crédit immobilier sont toujours en baisse, Le marché reste donc très dynamique et le pouvoir d’achat immobilier se maintient.
Premiers records battus dans un marché dynamique
Les taux de crédit immobilier continuent leur baisse en ce mois de mai. « Dans ce cadre, la concurrence entre les banques fait rage. Elles sont prêtes à rogner sur leurs marges pour attirer de nouveaux emprunteurs », précise Philippe Taboret. Ainsi les taux les plus bas obtenu par le courtier battent les records d’octobre 2016 sur 10 ans et 15 ans (respectivement 0,60% contre 0,65% et 0,85% contre 0,90%).
De leurs côtés, les taux les plus bas et les plus hauts négociés par Cafpi sur 25 ans tendent à se rapprocher preuve d’une réelle volonté des banques d’attirer une clientèle moins aisée, qui pourra emprunter grâce à des durées plus longues.
Le pouvoir d’achat immobilier se maintient
Cette baisse des taux permet de compenser les légères hausses des prix de l’immobilier dans les principales grandes villes françaises. Le pouvoir d’achat immobilier des ménages se maintient (+0,1m² en moyenne). Ainsi à Lyon, où le prix au m² a augmenté de 42€ en un mois, les emprunteurs peuvent acquérir 0,33 m² supplémentaire entre mars et avril, pour un montant emprunté pour 1 000 € par mois de remboursement sur 20 ans.
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