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Habitat et Humanisme : retour sur l’année 2018 @HabitatetHumani

Source : Habitat et Humanisme

Retrouvez toutes les actualités, les chiffres clés, ainsi que tous les faits marquants d’Habitat et Humanisme dans le rapport d’activité 2018. 

Habitat & Humanisme - Donner contre le mal logement

Permettre l’accès à un logement décent aux personnes en difficulté
Habitat et Humanisme produit et mobilise des logements à faibles loyers,
situés dans des “quartiers équilibrés” ne focalisant pas l’exclusion.
– des logements à l’unité en “diffus” loués en bail 89 ou en bail temporaire,
– des pensions de famille pour des personnes en grande précarité et isolées,
– des résidences intergénérationnelles,
– des résidences sociales pour jeunes en insertion,
– des centres d’accueil pour réfugiés et migrants,
– des établissements pour personnes âgées ou handicapées, et tout autre habitat pour des publics fragilisés spécifiques.

Chiffres clés :
– 1 765 nouvelles familles logées
– 1 365 personnes accueillies en centre d’accueil de réfugiés
– 600 nouvelles personnes âgées accueillies en établissement
-8 250 logements acquis en propre ou mobilisés auprès de propriétaires solidaires
– 850 places d’accueil de réfugiés
– 40 établissements et résidences services

Innovation :
Habitat et Humanisme partenaire du premier fonds immobilier à impact social
Le fonds “Immobilier Impact Investing”, développé par Cedrus Partners
et Swisslife associe l’investissement dans des actifs immobiliers – résidences étudiantes, résidences services seniors, bureaux – et l’investissement dans des logements individuels mis à disposition, pendant 15 ans environ, d’Habitat et Humanisme et du Samu Social de Paris, qui en paieront uniquement les charges et l’entretien. Ce fonds innovant rend ainsi possible un modèle économique qui génère un rendement annuel de l’ordre de 3,5% pour l’investisseur, tout en ayant un impact environnemental et social mesurable

>>> Consulter le rapport d’activité 2018 et l’essentiel de 2018

Lire également :

L’usufruit locatif social : la solution efficace face à la pénurie de logements étudiants @PERL_Immo

Source : Perl

perl logo

A quelques jours de la rentrée, 1 étudiant sur 5 est toujours à la recherche d’un logement pour se rapprocher de son université, soit 350 000* jeunes en quête d’un appartement abordable. Être au cœur des bassins d’emplois et des pôles universitaires tout en proposant des loyers abordables : voilà les critères auxquels doivent répondre les logements étudiants. Pourtant, la production est pour l’heure insuffisante sur le territoire. L’usufruit locatif social (ULS) créé par Perl est une solution efficace pour répondre à cette équation complexe, et renforcer la production de logements sociaux là où il y en a le plus besoin. 600 logements pour étudiants et jeunes actifs ont déjà été créés dans les territoires en forte tension foncière, à proximité des principaux pôles étudiants du pays.

Renforcer la production de logements étudiants dans les territoires les plus en demande
Comme chaque année, les étudiants français doivent faire face à un réel casse-tête pour trouver à se loger. Ils étaient plus de 1,6 million à chercher un logement pour la rentrée universitaire. Parmi eux, 28% trouvent à se loger dans le parc privé, 8% en résidences CROUS (soit 110 000 logements), et seulement 5% sont hébergés en logements sociaux hors CROUS**.
En proposant des logements au cœur de Nice, Lyon, Toulouse, Bordeaux ou encore Courbevoie, Perl consolide l’offre de logements répondant aux besoins des jeunes actifs et étudiants, le tout à loyers abordables. Un élément déterminant, alors qu’aujourd’hui le logement constitue le premier poste de dépenses dans le budget d’un étudiant (500 euros par mois environ).

L’ULS est un dispositif fondé sur le partage de l’usage et de la propriété. Mobilisant l’épargne de particuliers, cette solution permet de proposer des logements sociaux en complément des modes de faire classiques, là où leur production est difficile et où les loyers sont généralement élevés, à l’instar des grands bassins universitaires du pays.

L’ULS a déjà porté déjà ses fruits en Ile-de-France, où les coûts sont les plus élevés pour les étudiants : depuis plusieurs années, jeunes actifs et étudiants logent dans des studios au sein du programme pilote « L’Arche » à Courbevoie (92), dont l’usufruit a été confié à L’Immobilière du Moulin Vert. Situé à quelques minutes de La Défense et du pôle universitaire Léonard-de-Vinci, cet ensemble immobilier, composé de 46 logements, permet à ses résidents de se loger aux portes de Paris, 12e ville la plus chère du monde***, à des prix abordables.

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Rentrée 2019 : dans quelles villes investir ? @SeLoger

Source : Se Loger

En cette rentrée 2019, dans quelle ville faut-il investir ? Découvrez le top 10 des villes où il faut réaliser un investissement locatif 

1. Toulouse : 3 382 € du m² / + 6 % en 1 an
Les données recueillies par SeLoger nous incitent à penser que Toulouse mérite d’occuper la première place de notre classement des villes où il est intéressant de réaliser un investissement locatif. Et pour cause, celle que l’on surnomme la Ville Rose remplit tous les critères requis pour un investissement locatif réussi. Le prix de son l’immobilier, tout d’abord, qui reste très raisonnable pour une ville de sa taille (475 438 habitants y ont été recensés en 2016).

2. Nantes : 3 475 € du m² / + 6,3 % en 1 an
Profitant du niveau exorbitant du prix de l’immobilier bordelais, Nantes fait figure de nouvel eldorado des investisseurs locatifs ! En effet, refroidis par le prix des logements à Bordeaux (plus de 4 600 €/m²), de nombreux investisseurs ont ainsi déserté la Belle Endormie au profit de la Capitale des Ducs de Bretagne. Et on les comprend. Le prix au mètre carré à Nantes avoisine 3 375 €.

3. Lille : 3 224 € du m² / + 2,9 % sur 1 an
C’est la Capitale des Flandres qui occupe la troisième marche de notre podium. Bien qu’il ait augmenté de 13,2 % depuis 2015, force est de constater que le prix de l’immobilier lillois reste accessible pour une métropole. D’après les informations qu’a récoltées le baromètre LPI-SeLoger, la cote de l’immobilier à Lille se monte à 3 244 €/m².

4. Lyon : 4 817 € du m² / + 5,6 % sur 1 an
S’il est une valeur sûre de l’immobilier locatif qui ne se démode pas, c’est bien Lyon. Boosté par un marché dynamique sans toutefois tomber dans l’hyper-activité, le prix au m² à Lyon enregistre une forte croissance.

La liste des autres villes ici…

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Immobilier : quelles prévisions pour fin 2019 et 2020 ? @pap_fr

Source : PAP

Malgré une forte hausse des prix, le marché de l’immobilier se porte plutôt bien en de début d’année. Cependant, cette tendance va-t-elle encore durer longtemps ? Quelles sont les prévisions pour la fin de l’année 2019 ? Quelles perspectives pour 2020 ?

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Crédit : les taux immobiliers vont-ils remonter ?
L’emprunt toujours moins cher. Entre la fin 2012 et la mi-2019, le taux immobilier moyen toutes durées confondues est passé de 3,21% à 1,20% hors assurances selon l’Observatoire Crédit Logement/CSA. Une baisse liée à la politique accommodante de la Banque centrale européenne (BCE), à la chute des indices financiers et à la concurrence entre les banques. Elles se servent du crédit immobilier pour attirer de nouveaux clients et sont même prêtes à accorder des rabais aux meilleurs profils

Logement : l’euphorie sur le marché de l’ancien va-t-elle durer ?
Toujours plus de transactions : un fort engouement pour la pierre dopé par des taux d’intérêt ultra bas : « le marché de l’ancien à plein régime » signalent les Notaires de France dans leur dernière note de conjoncture. « Avec 985 000 mutations réalisées sur douze mois à fin mars 2019, le volume annuel des transactions dans l’ancien reste à un niveau historiquement haut » précisent-ils dans ce document qui porte sur les données enregistrées ce printemps.
– Le marché trouve du crédit : depuis, la dégringolade des taux s’est poursuivie. L’envie d’acheter ne s’est pas démentie. Les banques, pour soutenir la demande, ont continué à assouplir certains de leurs critères. Entre autres exemples, les durées de crédit s’allongent (20 ans et 9 mois au premier semestre 2019, le plus haut niveau jamais observé selon la banque de France). Et le taux d’apport personnel baisse de 6,9% sur les sept premiers mois de 2019 d’après Crédit Logement/CSA.
– Les prix de l’immobilier augmentent : Avec des taux historiquement bas et une très forte demande, les prix ne peuvent que monter. Une hausse que les Notaires de France chiffrent à 3,7% pour les appartements et à 2,5% pour les maisons sur douze mois à fin mars dernier. D’après leurs indicateurs avancés, la hausse annuelle à fin août 2019 atteindrait 4,5% en collectif et 2,6% en individuel. Bref, la hausse des prix de l’ancien va rester d’actualité en 2019.

Plus d’informations…

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BIM : quels sont les avantages ? @vinciimmobilier

Source : Vinci Immobilier

Vinci Immobilier

La digitalisation imprègne de plus en plus la construction. Le BIM ou « Building Information Modeling » en est l’exemple parfait. Derrière cet acronyme anglo-saxon, se cache un nouveau processus de travail pour les acteurs de la construction. Il repose sur une maquette numérique, contenant des données intelligentes et structurées pour concevoir ou entretenir un bâtiment. Le BIM offre des avantages quasi illimités : gains qualitatifs, rapidité dans la réalisation des constructions et meilleures conditions d’entretien des ouvrages. Le BIM pourrait bientôt devenir l’ingrédient nécessaire de tous les projets de construction, logements compris.

Le BIM : une nouvelle méthode de travail collaborative autour d’une maquette numérique
Le BIM désigne à la fois un processus métier et un logiciel d’intégration, de génération et d’exploitation de données. Il permet de concevoir, construire et exploiter (entretien, réparation et modification) un bâtiment lors de son cycle de vie.

Dans un processus BIM, chaque acteur de la construction (constructeur, architecte, ingénieur, entrepreneur…) crée, renseigne et utilise cette maquette, et en tire les informations dont il a besoin pour son métier. En retour, il alimente la maquette de nouvelles informations pour aboutir à un objet virtuel renseigné. Ce dernier est représentatif de la construction, de ses caractéristiques techniques, de ses performances et de ses comportements (résistance au feu, par exemple).

Le recours au BIM est une tendance en forte croissance. De plus en plus de porteurs de projet ont compris son avantage clé. En prototypant virtuellement les bâtiments à construire, ils peuvent en revoir la conception plus facilement et plus rapidement, mieux maîtriser la phase de construction, les délais et, in fine, évaluer en cours de réalisation des alternatives en termes de coût. Toutefois, le BIM n’est pas une fin en soi. Il s’agit d’un outil moderne et d’une méthodologie collaborative au service des acteurs de la construction. Il doit s’adapter à tout type de projet.

Le BIM et ses multiples avantages : construire mieux, plus vite et moins cher
Sans nul doute, le BIM permet de réduire le gaspillage dû à la non-qualité des bâtiments. Cette perte est estimée à des dizaines de milliards d’euros par an en France. Parallèlement, le BIM réduit les délais de livraison et les coûts de construction et de maintenance.

Plus de détails ici…

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