Archives du blog
Villes étudiantes : quelles sont les plus chères de France ? @UNEF
Source : UNEF
Découvrez le classement 2019 des villes les plus chères de France selon le coût de la vie étudiante. Entre le logement et le transport, de nombreuses inégalités et différences persistent chaque année… Quelles sont les 10 villes les plus chères ? Quelles sont les 10 villes les moins chères ?
L’accès au logement : première source d’inégalités territoriale
Les disparités dans l’accès au logement pour les étudiant·e·s sont très importantes l’écart du loyer mensuel moyen entre la ville universitaire la plus chère (Paris avec 873 euros) et la ville la moins chère (Le Mans avec 340 euros) est donc de 533 euros par mois. Avec 3,86% d’augmentation des loyers au niveau national, la rentrée 2019 est celle de l’explosion des coûts des logements tandis que les aides au logements (APL) sont quant à elle gelée. Les dépenses en logement des étudiant·e·s deviennent donc de plus en plus importante, il est donc urgent de généraliser l’encadrement des loyers à toutes les villes universitaires afin de protéger l’accès des étudiant·e·s à des logements abordables et décents sur leur lieu d’étude.
L’accès aux transports : des évolutions disparates des tarifs et des inégalités territoriales importantes :
L’évolution des tarifs étudiants dans les transports en commun est très disparates en fonction des politiques locales mises en œuvre par les collectivités territoriales. En effet de nombreuses villes ont fait le choix de diminuer leurs tarifs cette année ou encore de créer des tarifs spécifiques pour les boursier(e)s alors que dans le même temps d’autres villes continuent d’augmenter chaque année les tarifs, précarisant de plus en plus les étudiant(e)s.
Classement des villes étudiantes les plus chères de France :
1. Paris : 1288,83 €
2. Nanterre : 1140,65 €
3. Créteil : 1084,65 €
4. Guyancourt : 1066,65 €
5. Champs sur marne : 1049,65 €
6. Saint Denis : 1041,65 €
7. Cergy : 1020,65 €
8. Orsay : 1018,65 €
9. Evry : 1017,65 €
10. Nice : 1002,83 €
11. Bordeaux : 962,45 €
12. Lyon : 962,41 €
13. Aix en Provence : 946,08 €
14. Marseille : 914,08 €
15. Lille : 912,95 €
Cliquez ici pour voir le classement des 40 villes
Lire aussi :
Collectivités locales : lancement d’un guide pour encourager les coopérations et mutualisations @Min_Territoires
Source : Ministère de la cohésion des territoires
Les ministres Jacqueline Gourault et Sébastien Lecornu ont adressé aux territoires un « guide des coopérations » afin de faciliter, d’encourager la coordination et la mutualisations des actions des collectivités locales.
Souvent, les collectivités s’estiment démunies pour envisager des coopérations ou des mutualisations. Pourtant beaucoup d’outils ou d’instruments existent déjà, mais ils sont souvent méconnus. C’est le sens du « Guide des coopérations » que le ministère a adressé aux collectivités locales. Il recense les différents dispositifs existants leur permettant de mettre en commun leurs moyens et de coordonner leur action en vue de l’élaboration de leurs projets : mutualisation des services supports ou missions fonctionnelles comme les ressources humaines, l’ingénierie, l’administration… ou mutualisation des compétences ou missions opérationnelles.
Cinq formes d’actions de mutualisation et de coopération, selon des degrés d’intégration croissants :
1. Une action est effectuée de manière coordonnée par deux ou plusieurs partenaires, sans création de structure commune (par exemple, dans le cadre d’un groupement de commande) ;
2. un partenaire confie à un autre le soin de réaliser une mission pour lui (par exemple, dans le cadre d’une prestation de service) ;
un partenaire met ses moyens au service des autres personnes publiques (mise à disposition de services ou d’équipements par voie de convention) ;
3. un des partenaires crée en son sein un service mutualisé spécifique qui intervient pour tous les participants (création de service commun) ;
4. les communes transfèrent une ou plusieurs de leurs compétences vers un EPCI qui les met en œuvre pour tout le territoire concerné.
Consultez le guide des coopérations
Lire aussi :
31e édition du Grand Prix Cap’Com : tentez votre chance ! @cap_com
Source : Cap’Com
Cette année aura lieu la 31e édition du Grand Prix Cap’Com !
Ce grand prix a pour but de récompenser les campagnes de communication des collectivités locales, institutions publiques et associations d’intérêt général. Au-delà de la reconnaissance de la qualité du travail des professionnels de la communication publique et territoriale, le Grand Prix Cap’Com est un véritable observatoire des tendances du secteur. Le palmarès sera présenté lors du Forum Cap’Com, qui se tiendra à Bordeaux du 3 au 5 décembre.
Les candidatures sont ouvertes jusqu’au 15 octobre 2019 !
> Plus d’infos ici…
> Pour vous inscrire, c’est ici…
Lire également :
Le Ministère de la Cohésion des territoires revient sur ses 2 ans d’actions @Min_Territoires
Source : Ministère de la cohésion des territoires
Le Ministère de la cohésion des territoires et des relations avec les collectivités territoriales revient sur ses 2 ans d’actions. Quelles ont été les grandes mesures mises en oeuvre ? Quels ont été les temps forts depuis 2 ans ? Quelles seront les actions futures du Ministère ?
Voici un aperçu des mesures concrètes déjà mises en œuvre
– Création du programme « Action Cœur de ville » permettant de revitaliser 222 centres-villes, en facilitant le retour des habitants, le maintien des commerces et en donnant aux élus locaux des moyens conséquents pour développer leur projet et mieux maitriser leur destin.
– Création du programme « Territoires d’industrie », fer de lance de la réindustrialisation des territoires, bénéficiant à 136 d’entre eux.
– Création de l’Agence nationale de cohésion des territoires, en réponse à une demande formulée par les représentants des élus locaux, visant à soutenir les projets portés par les collectivités locales.
– Signature de « pactes territoriaux » (Bretagne, Pays de la Loire, Creuse, Nièvre, Ardennes) au service d’une stratégie spécifique à chaque territoire, reposant sur des engagements réciproques de tous les acteurs.
– Vote de la loi Logement (Évolution du logement de l’aménagement et du numérique), pour libérer la construction, simplifier les normes, améliorer le cadre de vie et répondre aux besoins de chacun.
– Lutte contre l’habitat indigne, à travers le plan initiatives copropriétés dégradées, la rénovation urbaine, la requalification de l’habitat dans les centres anciens dégradés, la Lutte contre les marchands de sommeil, le Plan de rénovation énergétique des bâtiments.
– Plan Logement d’abord pour réduire durablement le sans-abrisme en France en favorisant l’accès direct au logement aux personnes les plus vulnérables.