Archives du 7 Mai 2018

La retraite de nouveau à l’ordre du jour ! Par l’Af2i

af2i

Source : Af2i

Et l’Af2i se mobilise ! Quel sujet est-il plus emblématique de la gestion institutionnelle que celui de la retraite ? Dans notre enquête annuelle, les réserves en vue de la retraite représentent 15% des encours de la gestion institutionnelle française ; si l’on ajoute la part d’assurance vie qui y est consacrée, directement dans les régimes d’entreprises et individuels ou indirectement en produits d’épargne, c’est largement plus des deux tiers des provisions de toutes sortes.

Quelle préoccupation sociale serait-elle plus sensible aux yeux de tous ? À la question posée de la première motivation d’épargne, plus de 70 % des Français interrogés dans la première édition du Baromètre AMF de l’épargne et de l’investissement de décembre 2017 répondent, la retraite. Pourtant les évolutions de nos systèmes de retraite ont souvent été mal accueillies. Qui ne se souvient pas des grèves de 1995 ? Peut-être ceux qui étaient trop jeunes à ce moment-là …et qui pourtant craignent de voir leurs revenus à la retraite encore sensiblement abaissés.

Nos systèmes de retraite ne sont pas parfaits mais sont loin de la faillite annoncée par les Cassandre, notamment en raison des adaptations régulières qu’ils ont connus et de leur bonne gestion. Comment les améliorer encore et comment faire en sorte que la connaissance et la confiance de nos concitoyens qui en bénéficient s’améliorent?

Les débats stériles entre répartition et capitalisation, entre sortie en rente et disponibilité du capital pourraient être utilement dépassés en s’appliquant à rendre la retraite plus prévisible et les moyens pour la compléter mieux connus, mieux utilisés et surtout largement encouragés.

Emmanuel Macron, lors de sa campagne électorale, a indiqué vouloir souhaiter instituer plus de simplicité et d’équité. Comment y parvenir ? Et comment gérer la transition vers un nouveau système, à un horizon raisonnable ?  Lire la suite de l’article

Télécharger toute la newsletter de l’AF2i

Focus sur le parc social de Normandie @InseeFr

Source : INSEE

L’INSEE a réalisé une étude portant sur les logements de la Normandie, et montre la très forte présence de logements sociaux et de maisons individuelles.

Insee

Un parc social plus développé, notamment en Seine-Maritime

Le parc social normand apparaît nettement plus développé qu’en France de province (19 % contre 13 %). La Seine-Maritime est particulièrement concernée avec 23 % de logements HLM. Cette spécificité peut être reliée à son profil urbain et à sa forte densité de population (près de deux fois plus élevée qu’en moyenne nationale) . Elle est d’autant plus significative que le poids du parc social apparaît plus faible dans la plupart des départements à degré d’urbanisation similaire. L’importance du parc HLM en Seine-Maritime est comparable à celle d’autres départements, comme le Nord, à l’identité industrielle marquée.

L’agglomération du Havre, la métropole de Rouen et la communauté urbaine de Caen concentrent 43 % des logements HLM de la région. Ailleurs, les agglomérations de Dieppe, d’Évreux et de Cherbourg ainsi que les intercommunalités d’Argentan et d’Alençon composent les autres creusets de logements sociaux. Le niveau de vie médian des locataires HLM est inférieur d’un quart à celui de l’ensemble des normands. Ils sont par ailleurs deux fois plus exposés à la pauvreté par rapport à l’ensemble de la population. La répartition des ménages fiscaux selon leur situation relative au plafond HLM indique que plus leurs revenus sont modestes, plus ils résident en logements sociaux (en deçà de 30 % du plafond HLM, près de la moitié des ménages est locataire dans le parc social. Par extension, la location d’un logement, du parc social ou du parc privé, est d’autant plus fréquente que les revenus sont faibles. À l’inverse, la part de propriétaires augmente à mesure que l’on progresse dans l’échelle des revenus. Ce statut d’occupation devient ainsi très majoritaire pour les ménages les plus aisés (au-delà de 150 % du plafond HLM, 9 ménages sur 10 sont propriétaires). Néanmoins, le parc locatif privé reste une composante importante de l’offre de logement, y compris pour les ménages les plus aisés (de 10 % à 16 % des ménages aux revenus supérieurs au plafond HLM).

En savoir plus…

A lire également :

Delphine Lombard, nouvelle Directrice de la Communication de Colas @GroupeColas ‏

Source : Groupe Colas

Delphine Lombard a été nommée Directrice de la Communication du Groupe Colas, leader mondial de la construction et de l’entretien des infrastructures de transport.

Colas

Diplômée de l’Institut Supérieur de Gestion (ISG) de Paris, Delphine LOMBARD, 47 ans, commence son parcours professionnel en 1995 au sein du groupe LVMH en tant qu’attachée de presse chez Louis Vuitton. De 1999 à 2002, elle exerce différentes fonctions en agences de communication, dont celle de consultante senior Corporate et B to B dans l’agence de relations publiques GCI Moreau. En 2002, elle rejoint Colas en tant que chargée des relations presse du Groupe ainsi que, à partir de 2006, responsable
Communication de la marque Sacer. Delphine LOMBARD est ensuite nommée chef de service Communication en 2010 puis directrice adjointe Communication en 2015, en charge notamment de la communication externe du Groupe et de la communication interne et externe de Colas en France.

A lire également :

Malakoff Médéric renforce sa solidité financière en 2017 ! @MalakoffMederic

Source : Malakoff Médéric

Malakoff Médéric enregistre une année de croissance en 2017 avec une hausse de 6.8% de son chiffre d’affaires, lui permettant de renforcer sa solidité financière sur le marché !  Résultat de recherche d'images pour

Cette dynamique commerciale s’est traduite par un chiffre d’affaires de 4,05 Mds€ et un très bon niveau de production brute à 391 M€.  Avec 5,5 Mds€ de fonds propres, Malakoff Médéric améliore son ratio de solvabilité à 391 %, 228 % hors mesures transitoires.

Croissance des activités santé et prévoyance
La stratégie de différenciation par son offre de services, privilégiée par Malakoff Médéric, s’est révélée pertinente. En effet, dans un marché de l’assurance santé mature et marqué par une concurrence très forte sur les prix, le chiffre d’affaires progresse de 6,8 % à 4,05 Mds€, porté par l’assurance santé (+ 12,4 %). La prévoyance progresse de 1,6 %.

En santé comme en prévoyance, le Groupe conforte sa part de marché en assurance collective qui représente 86 % de son chiffre d’affaires. La part du chiffre d’affaires réalisé par le courtage augmente et atteint 34 %. Ces résultats commerciaux, tous réseaux confondus, confortent la stratégie du Groupe portée par le projet d’entreprise mm20.

Renforcement de la solidité financière et du ratio de solvabilité
Le Groupe réalise un résultat avant impôt de 147 M€, en très forte augmentation par rapport à 2016 qui affichait un résultat de 48 M€. Ce résultat est obtenu sous l’effet conjugué de la maîtrise de la sinistralité et des efforts pour réduire les charges d’exploitation.
Les fonds propres sont renforcés et atteignent 5,5 Mds€. Le ratio de solvabilité atteint 391 %, 228 % hors mesures transitoires. Par ailleurs, le Groupe enregistre une charge d’impôt exceptionnelle en 2017 de 86 M€, déterminant un résultat net de 61 M€, supérieur au résultat net 2016 qui s’élevait à 7 M€.

Une stratégie d’investissement dans la transformation digitale et data, et les startups
Dans le cadre de sa stratégie d’innovation, Malakoff Médéric a investi 20 M€, prévus dans son plan d’investissement de 100 M€ sur 5 ans consacré à la transformation digitale et à la data.

Cliquez ici pour en savoir davantage…

A lire également :

Concevoir un site comme celui-ci avec WordPress.com
Commencer