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Grand Paris Express : le 1er projet de transformation approuvé ! @GdParisExpress
Source : Société du Grand Paris
Le projet de transformation de la Courneuve Six-Routes, situé en Seine-Saint-Denis, a été approuvé le 9 mai. Il s’agit du 1er projet de pôle du Grand Paris Express à aboutir. Au total, 68 nouveaux pôles de mobilité verront le jour.
Le Comité de pôle de La Courneuve, présidé par Stéphane Troussel, président du Conseil départemental de la Seine-Saint-Denis et Gilles Poux, maire de La Courneuve et composé du Conseil départemental de la Seine-Saint-Denis, de Plaine Commune, d’Île-de-France Mobilités et de la Société du Grand Paris, a approuvé le projet de transformation du carrefour des Six-Routes de La Courneuve. Il s’agit du premier projet de pôle du Grand Paris Express à aboutir.
Cette étape est la première concrétisation de la démarche menée par Ile-de-France Mobilités et la Société du Grand Paris avec les territoires autour des places du Grand Paris, qui permettra d’améliorer les espaces publics autour des futures gares.
C’est également la concrétisation d’une ambition portée de longue date par le Conseil départemental de la Seine-Saint-Denis et Plaine Commune sur la requalification de la place de l’Armistice, plus connu sous le nom de carrefour des Six-Routes, au cœur de la Cité des 4000.
Consulter la suite du communiqué de presse
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Lancement du nouveau réseau de bus en Île-de-France : Quels changements ? @Paris @RATPgroup @IDFmobilites
Source : Paris
Après de multiples concertations, la Ville de Paris, Ile-de-France Mobilités et la RATP ont lancé, le 20 avril 2019, le nouveau réseau de bus RATP à Paris et dans la petite couronne. Au total, 5 nouvelles lignes ont été créées et 50 lignes ont été modifiées !
Découvrez ce nouveau réseau de transport en vidéo ci-dessous…
Décidée en juin 2017 à la suite d’une grande consultation avec les utilisateurs, les associations et les élus, la réorganisation complète du réseau de bus parisien est effective depuis le 20 avril 2019. Cette réorganisation, nécessaire pour s’adapter aux nouveaux lieux de vie de la capitale, est la plus profonde depuis 50 ans.
L’objectif est de rapprocher les bus des nouveaux bassins d’emplois ou de vie, de rééquilibrer l’offre vers les portes de Paris et la petite couronne qui comptent davantage d’habitants qu’au siècle dernier.
Pour plus d’informations, cliquez ici…
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Zoom sur les coopérations entre territoires @CGET_gouv
Source : CGET
Le CGET a engagé, en 2018, une série de travaux sur les coopérations entre les métropoles et les territoires environnants, avec France urbaine et l’Assemblée des communautés de France (AdCF). Le numéro de la collection En détail synthèse présente les premiers résultats de l’étude sur les coopérations entre métropoles et territoires environnants, réalisée dans ce cadre.
Le contexte
Fondée sur les interdépendances et les complémentarités entre les territoires, la coopération interterritoriale recouvre une grande diversité de pratiques, de formes, de modalités et d’outils : des syndicats mixtes aux plus récents « contrats de réciprocité ville-campagne ». Elle engage les acteurs des territoires à articuler leurs actions et pose la question des moyens à y consacrer, voire d’une ingénierie dédiée.
De plus en plus de chercheurs s’intéressent à cette réalité, qui est aussi un enjeu au cœur de la cohésion entre les territoires.
Le constat
Dans le cadre de l’enquête, les métropoles ont ainsi déclaré 173 coopérations avec des territoires environnants, partout en France métropolitaine. Ces coopérations investissent principalement trois thématiques :
- la mobilité et les transports ;
- le tourisme ;
- le développement économique.
Ces coopérations se font principalement avec des EPCI à fiscalité propre, en particulier des communautés de communes. La plupart du temps, elles portent sur plusieurs thématiques et s’appuient, en très grande majorité, sur un contrat (par exemple, un contrat de réciprocité) ou une convention, ainsi que sur une instance de suivi (80 % d’entre elles).
Lorsque le serious game incite vos occupants à devenir consom’acteurs @ENGIEgroup #Vertuoz
Source : ENGIE VERTUOZ
Elément fondamental de la sobriété et de la transition énergétique, la sensibilisation aux éco-gestes est le premier pas vers le changement de comportement des occupants d’un bâtiment. Le digital offre à cet égard de multiples opportunités aux gestionnaires de bâtiments tertiaires publics et privés pour accompagner le changement dans les comportements des usagers et réussir un programme d’efficacité énergétique s’inscrivant dans une démarche durable. Les solutions sont nombreuses. Zoom sur une approche qui a particulièrement le vent en poupe : le serious game, via une application mobile.
Différentes études réalisées sur l’impact des programmes de sensibilisation en matière de réduction des consommations énergétiques montrent qu’un consommateur averti réduit de 5 à 15 % sa consommation énergétique. Un chiffre particulièrement intéressant pour les organisations publiques comme privées, amenées à maîtriser leurs dépenses énergétiques et réduire leur impact environnemental global depuis la RT 2012 et en anticipation de la RT 2020.
Ce constat a enclenché en 2015 une dynamique partenariale entre ENGIE Lab Singapour et l’Université Technologique de Nanyang à Singapour. Elle a abouti au lancement de l’application PowerZee, serious game qui encourage ses utilisateurs à réduire leur consommation d’énergie en transformant en jeu la chasse au gaspillage.
« Le serious game est un levier très puissant en termes de sensibilisation des publics et de changement des comportements parce qu’il combine trois leviers : la dimension ludique, interactive et participative » met en exergue Jean-Claude Benisti, responsable du projet au Lab CRIGEN d’ENGIE.
La fin des cartes de transport ? L’open payment, dispositif qui fluidifie le trafic urbain @Nexity
Source : Nexity Lab
Éclairage sur une technologie clé de la mobilité de demain : l’open payment.
Vous souvenez-vous de la fois où vous avez dû vous mettre tout au bout de la file d’attente pour acheter votre ticket de métro ou recharger votre pass ? Et si nous vous disions que bientôt, vous pourrez vous servir de votre carte bancaire comme titre de transport…
L’open payment, comment ça fonctionne ?
Si ce nouveau concept a pu voir le jour, c’est d’abord grâce à l’émergence des cartes de paiement sans contact, qui représentaient déjà en 2018 plus de 70% des cartes françaises. Le principe ? Payer et utiliser son titre de transport en utilisant sa carte bancaire. Il suffit en effet pour l’utilisateur de passer sa carte devant une borne équipée qui affichera alors si le voyage est validé. Lorsqu’un contrôleur se présentera, c’est donc la carte de paiement qui fera office de titre de transport.
Derrière ce geste simple se cache un processus tout de même complexe, l’une des ambitions de l’open payment étant aussi d’optimiser le coût du trajet de la personne qui l’utilise :
- En présentant votre carte bancaire à un valideur, ce dernier va identifier un token, c’est-à-dire un identifiant unique généré par votre carte.
- Le valideur récupère les informations nécessaires au paiement à un serveur d’acceptance : un système connecté aux banques pour les demandes de paiement. Il vérifie notamment que votre carte n’a pas été volée.
- Toutes les données concernant votre trajet (date/heure/ligne empruntée) et votre token sont envoyés au serveur d’open payment. On appelle cet ensemble de données un « tap ».
- En fin de journée, tous les taps d’un token sont analysés afin de reconstruire l’ensemble du trajet. Le prix total de la journée est calculé en fonction.