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Création de la ZAC de Champigny Paris-Est : la concertation commence ! @_EpaMarne

Source : EpaMarne 

La concertation pour la création de la future ZAC de Champigny Paris-Est commence. Suite à la validation du Conseil d’administration d’EpaMarne en décembre 2018 des objectifs et modalités de la concertation préalable pour la future ZAC de Champigny Paris-Est, la démarche sera lancée le 23 mai par une réunion publique d’information et se poursuivra jusqu’en octobre/novembre 2019.

epamarne

Dans le cadre de la concertation préalable prévue dans le cadre de la procédure de création de la ZAC Champigny Paris-Est à Champigny-sur-Marne, l’Établissement public d’aménagement de Marne-la-Vallée, EpaMarne organise :
– Une réunion publique le jeudi 23 mai 2019 à 19h30 à la Maison Pour Tous Youri Gagarine, 6 avenue du 11 novembre 1918 à Champigny-sur-Marne
– Une balade urbaine le samedi 25 mai 2019 à 10h – Point de rdv : Gymnase Jesse Owens

Les objectifs du projet urbain
– Réduire la coupure urbaine entre le Plateau et les coteaux de la Marne (Est et Ouest de la commune).
– Dans un objectif de création d’emplois, développer en priorité sur l’emprise foncière non urbanisée des produits d’immobiliers d’activité venant compléter l’offre résidentielle pour les entreprises de type PME-PMI sur Champigny-sur-Marne.
– Développer une offre de logements adaptée au nouveau contexte urbain et aux nouvelles polarités.
– Veiller à la qualité environnementale de l’aménagement et des futures constructions, en cohérence avec les orientations contenues dans le Projet d’Aménagement et de Développement Durable du plan local d’urbanisme (PLU) de la commune mais également dans le schéma régional de cohérence écologique (SRCE).
– Désenclaver les zones d’activités existantes, en particulier Marché Rollay et Grands Godets, pour amorcer leur future mutation.

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Lire également :

La commercialisation des PLS : un défi à relever @aorif

Source : AORIF

La rencontre régionale organisée par l’AORIF le 15 février dernier visait ainsi à mettre en débat les conclusions de l’étude (cf. Dossier d’Ensemble n°29 – nov. 2018) et à dépasser le stade des constats pour mener ensemble une réflexion sur les améliorations à engager et sortir ainsi de l’impasse dans laquelle les partenaires franciliens semblent se trouver.

PLS : UN PARC DIFFICILE À COMMERCIALISER

Le parc locatif social francilien est composé de plus de 80 000 logements PLS, soit 6,4 % de l’offre locative sociale. Cette part modeste est appelée à évoluer puisque les PLS représentent près d’un quart des agréments délivrés chaque année depuis 2012. La baisse très sensible des agréments de logements sociaux en 2018 ne s’est pas trop ressentie sur les PLS; le PLS reste un produit stable dans les agréments, at- teignant près d’un tiers de la production.

Alors même que le parc de PLS se développe, les partenaires font état d’un constat partagé : ce parc est difficile à commercialiser. Plus précisément, les partenaires de l’attribu- tion peinent à identifier des demandeurs ré- pondant aux critères de ressources PLS et donc à louer les PLS au niveau de loyer prévu initialement.

Les difficultés actuelles rencontrées pour commercialiser les PLS semblent avoir deux origines principales. D’une part, des approches de la mixité par l’offre qui ont amené les partenaires à produire des PLS dans les quartiers et territoires précarisés afin d’attirer ou maintenir des classes moyennes manquantes.

Il en résulte la constitution d’un parc de logement PLS dans des quartiers peu attractifs et ne disposant pas des aménités qui semblent pourtant nécessaires aux ménages cibles comme a pu le préciser Lydie Launay, maître de conférences en sociologie à l’Université Fédérale de Toulouse dans son propos. D’autre part, le système d’équilibre à l’opération qui encourage les organismes à prévoir quelques logements en PLS dans chaque opération afin d’en amé- liorer l’équilibre financier. Il en résulte une répartition non discri- minée des PLS sur le territoire régional.

DEUX DÉFIS : ASSURER LA GESTION DU PARC EXISTANT ET PENSER LA PRODUCTION NOUVELLE

Les partenaires font donc face à deux défis parallèles : assurer la gestion du parc existant en renforçant les efforts de commercia- lisation, en structurant la recherche de candidats bien au-delà de la demande répertoriée sur le SNE et en cherchant des leviers d’attractivité pour les logements PLS, et penser la production nouvelle de manière plus soutenable en ciblant au mieux les localisations, les typologies et les répartitions par contingent.

Face à ces défis, les partenaires identifient des freins, au premier rang desquelles la difficulté de considérer le sujet comme priori- taire au milieu de la somme des contingences actuelles. Pour passer des réponses ponctuelles et individuelles à une réponse collective plus intégrée, il s’agirait de lever le cloisonnement et de mettre en action toute la chaîne de responsabilité. On peine à identifier un chef de file autre que les EPCI dans le cadre de leur PLH pour jouer ce rôle, mais la fragilité des gouvernances n’est pas propice à la structuration de politiques volontaristes en la matière à court terme. L’équation économique, à laquelle font face les organismes Hlm et leurs financeurs, est un second frein à une approche plus raisonnée du développement des PLS et son ciblage sur des micro-marchés favorables.

mais les opportunités sont réelles. La prise de conscience collective s’est faite, chacun recherche des solutions à son échelle et sur son segment de responsabilité, les intervenants l’ont tous démontré nettement. Certains cadrent d’intervention des partenaires évoluent : gestion en flux des contingents ou recherche d’équilibre à une échelle plus large que l’opération. Si ces perspectives sont porteuses de risques, elles ouvrent quelques opportunités

pour une meilleure réponse aux défis posés par le PLS. Enfin, les partenaires semblent tous prêts à construire des solutions innovantes pour apporter des réponses, que ce soit en termes de gestion de la demande, de conception des produits, de démarche de commercialisation ou encore de constitution de bouquets de services associés au logement…

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Logement : vers un rapprochement entre Seine-Saint-Denis Habitat et l’OPH de Bobigny ? @SSDhabitat

Source : Seine-Saint-Denis Habitat

Afin d’accompagner la transformation de la ville de Bobigny, Seine-Saint-Denis Habitat propose un rapprochement avec l’OPH (Office Public de l’Habitat) de Bobigny.

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La ville de Bobigny est engagée dans une transformation importante de son urbanisme. Symbole de ce changement, les travaux de démolition du centre commercial de Bobigny 2 commenceront dès la fin 2019. À la place, un nouveau quartier va se développer mêlant plus de 1000 logements, 13 000m² de commerces, 10 000m² de bureaux et de nouveaux services (un cinéma, des commerces, des bureaux, des parkings rénovés…). L’espace public sera complètement repensé.

Seine-Saint-Denis habitat, 2e bailleur social de la ville (2509 logements) après l’OPH de Bobigny (4000 logements) a proposé à la Ville d’accompagner plus fortement ce changement. Suite à plusieurs échanges, Seine-Saint-Denis habitat a significativement réévalué son programme de travaux et propose un rapprochement avec l’OPH de Bobigny afin d’amplifier leur action.

Rapprochement éventuel avec l’OPH de Bobigny :
Compte tenu de l’obligation faite aux bailleurs dans la loi ELAN de se regrouper, la ville de Bobigny étudiera avec intérêt la proposition de Seine-Saint-Denis habitat d’un rapprochement avec l’OPH de Bobigny. Dans les semaines à venir, les conditions financières, les enjeux patrimoniaux et organisationnels des deux organismes Hlm seront étudiés par les deux directions. Les avantages de différents scénarios de rapprochement (fusion, Société Anonyme de Coordination, simple coopération) seront évalués. L’ensemble des éléments devraient permettre aux Conseils d’Administration des deux organismes d’arbitrer les scénarios à la fin du mois de juin.

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Lire aussi :

« Logement social : panorama et acteurs » : l’édition 2019 parue ! @guy_lemee

2ème édition du hors-série d’Habitat & Collectivités Locales (Lettre HCL)

Alors que plus de 340 bailleurs sociaux devront se regrouper d’ici le 1er janvier 2021 du fait de la loi Elan qui oblige une partie de ceux gérant moins de 12 000 logements à se réunir, la lettre professionnelle indépendante Habitat & Collectivités Locales fait paraître la deuxième édition de son hors-série :
« Logement social : panorama et acteurs ».

Cette nouvelle édition est particulièrement bienvenue pour comprendre ce secteur et les stratégies de ses acteurs, dont le modèle économique est également mis à mal par la loi de finances pour 2018.
Ce hors-série 2019, qui compte 386 pages, est organisé en six parties : « L’actualité politique et réglementaire du logement social » ; « Le logement social en chiffres » ; « Les acteurs du logement social » ; « Le tissu des organismes de logement social (OLS) » – comprenant un tableau inédit présentant les onze principaux groupes et réseaux de bailleurs sociaux classés selon leur parc social et intermédiaire à fin 2017, avec, en Top 5, Action Logement Immobilier (ALI) (981 261 logements), CDC Habitat (425 235), le Réseau Habitat en Région (255 628), le Réseau Batigère (150 000) et la SAS coopérative Habitat Réuni (143 372) – ; « Points de vue experts » ; et « Fiches d’opérateurs du logement social », avec dix-neuf monographies originales d’OLS et de groupes gérant 2,3 millions de logements sociaux et intermédiaires, soit plus de 40 % du parc social.
Martine

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EnR : Diminuer de moitié la dépendance aux énergies fossiles en 2030 @NTCities @iledefrance

« Notre objectif est de tendre vers une région 100 % énergies renouvelables et zéro carbone en 2050. D’ici là, notre objectif en 2030 est de diminuer de moitié la dépendance aux énergies fossiles de l’Île-de-France par rapport à 2015, grâce à un triple effort : en réduisant de près de 20 % de la consommation énergétique régionale, en multipliant par 2 de la quantité d’énergie renouvelable produite sur le territoire francilien, et en multipliant par 3 de la part globale de la part globale des EnR dans la consommation énergétique régionale », indique Jean-Philippe Dugoin-Clément, vice-président du Conseil régional d’Ile-de-France à Newstank, le 16/05/2019.

« L’Agence régionale de l’énergie et du climat, lancée officiellement le 04/04/2019, doit être un facilitateur de la transition écologique et énergétique. En 2019, un important chantier est en cours pour l’AREC, en lien avec l’Ademe, celui de fédérer l’activité des agences locales énergie-climat (ALEC), des points info énergie (EIE), des plateformes territoriales de la rénovation énergétique (PTRE) et de mettre à leur disposition les meilleurs outils et informations. Ces agences jouent sur un rôle essentiel d’information et de conseils auprès des acteurs de l’énergie dont les collectivités et le grand public », déclare le vice-président de Région, impliqué dans les dossiers du logement, de la réhabilitation de quartiers, des mobilités individuelles et des transports collectifs, d’urbanisme et d’aménagement.

« Le 1e enjeu pour atteindre ces objectifs est de doubler la capacité de production EnR d’ici à 2030. Nous avons lancé des appels à projets qui rencontrent un vif succès et vont au-delà de nos prévisions les plus optimistes. Nous prévoyons de soutenir d’ici la fin 2019 près de 120 projets dont une vingtaine de projets de méthanisation, une cinquantaine de créations ou extensions de réseaux de chaleur raccordés aux EnR, et, de manière nouvelle et innovante, des projets utilisant l’hydrogène ou encore valorisant la chaleur fatale ».

Jean-Philippe Dugoin-Clément répond aux questions de Newstank.

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