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Rendre attractifs les sites commerciaux ! @AmiensMetropole @cmarkea @brigittefoure #ArkeaImmobilier
Ancienne préfecture de la région Picardie, Amiens, après Lille, est la commune la plus peuplée de la région Hauts-de-France avec environ 135 000 habitants. La communauté d’agglomération Amiens Métropole, créée en 2000, compte 33 communes et environ 180 000 habitants. La ville a su préserver un commerce de centre-ville dynamique, et Brigitte Fouré, maire d’Amiens, s’attache à développer son accessibilité et son attractivité. Explications.
L’attractivité passe aussi par la beauté du site
« Avec les commerçants de la place Gambetta, nous cherchons à retrouver l’axe de visibilité créé par la piétonisation. Il s’agit de réaménager les terrasses des cafés différemment en permettant aux promeneurs de découvrir les monuments, la cathédrale notamment ». Brigitte Fouré est attachée à la beauté de sa ville. Une esthétique qui doit s’imposer dans les moindres détails. L’unité de couleur des mobiliers de terrasse, le choix des matériaux, les corbeilles, le mobilier urbain, la propreté, bien évidemment. « Nous fonctionnons beaucoup avec la fédération des commerçants, qui regroupe plusieurs associations professionnelles. La grande majorité des points de vente est convaincue du bien-fondé de cette approche et s’investit beaucoup. »
La maire d’Amiens a également utilisé l’outil PLU pour intervenir en limitant la présence des banques et assurances sur l’accès piétonnier.
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L’innovation au cœur du commerce urbain @Angers @KarineEngel49 @cmarkea #ArkeaImmobilier
Angers, ville d’environ 150 000 habitants du département de Maine-et-Loire s’attache à préserver ses commerces de centre-ville. Karine Engel, adjointe au maire, chargée du commerce, de l’artisanat et des professions libérales mène, avec son équipe, de nombreuses actions pour accompagner les commerçants et artisans de proximité et préserver les équilibres entre zone commerciale de centre-ville et centres commerciaux en périphérie.
Créer du trafic, fidéliser et innover
A la préemption, Karine Engel préfère l’innovation « avec des espaces dédiés à des boutiques “à l’essai”, pour aider les porteurs de projets. La limite de leur efficacité reste cependant l’emplacement et la durée du bail. Peut-être faut-il tester sur au moins un an ? s’interroge-t-elle, car il y a les problèmes de saisonnalité. J’aimerais qu’il existe également un outil d’accession à la propriété pour le commerce, un “bail social”, avec possibilité d’accession, comme il y en a dans le domaine du logement. Nous sommes en train d’y réfléchir ».
Côté trafic, la ville s’investit également en mobilisant tous ses services et l’expertise des acteurs locaux. À l’image de l’opération «Soleil d’Hiver», autour du marché de Noël, qui a été menée en associant l’Office du Tourisme, la CCI et le service Culture de la ville.
« Nous travaillons aussi pour redessiner de nouveaux parcours en ville, pour que le cheminement culturel soit en lien avec la dynamique commerciale. Cela permet de repositionner des rues qui souffrent un peu plus que d’autres. Il y a aussi des actions que nous menons comme une garderie gratuite, la livraison des colis à domicile, des grooms en ville pour renseigner les passants sur les commerces… ». Lire la suite
Les clés de l’implantation commerciale @groupe_duval @cmarkea #ArkeaImmobilier
Entreprise familiale, le Groupe Duval a été créé par Eric Duval, il y a une vingtaine d’années. L’entrepreneur a commencé sa carrière dans la construction de maisons individuelles, en Bretagne. En 1990, il se spécialise dans l’immobilier commercial et d’entreprise et s’installe en région parisienne. Vingt ans d’existence, 2 500 collaborateurs et plus de 700 millions d’euros de chiffre d’affaires. Numéro 1 français des retail park low cost, le groupe familial présidé par Eric Duval est en train de bâtir un empire dans le secteur immobilier et touristique à partir de valeurs simples : « exigence, agilité, créativité ». Entretien avec Pauline Duval, Directrice Générale et fille de l’entrepreneur.
Trois fondamentaux pour que le commerce fonctionne
« La visibilité, l’accessibilité et les parkings sont les trois clés du succès de l’implantation commerciale, assure Pauline Duval. La revitalisation de nos centres-villes passe par une réflexion globale. De nombreux critères conduisent aujourd’hui les collectivités et les enseignes à s’organiser autrement. Le client est aujourd’hui plus exigeant qu’hier. Il attend à la fois qu’on réponde à ses besoins mais il souhaite aussi vivre une expérience. Il faut pour cela, innover. C’est le sens de notre rapprochement avec des start-ups. En même temps, le fort développement des Retail Park invite les collectivités à réfléchir à l’adaptation de leurs réseaux de transport. Il s’agit de s’adapter à la digitalisation du commerce. Les besoins des villes sont à l’image du client du XXIe siècle : connectés et ambivalents ».
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Comment rendre possible le commerce? @nexity @cmarkea #ArkeaImmobilier
« Tout le monde sait qu’il faut du commerce, mais il y a un moment où il faut le rendre possible… »
Pour réaliser de nouveaux quartiers de ville, Nexity accompagne les collectivités locales et territoriales dans leurs projets de développement urbain, qu’il s’agisse de requalification de friches industrielles ou de renouvellement de quartiers constitués. Nexity apporte des solutions innovantes et créatives dans les projets urbains, les programmes de logements et d’activités économiques et dans les services.
L’avenir du commerce est-il menacé?
« Il y aura toujours du commerce si ce dernier sait saisir les mutations de la société. Les systèmes de conciergerie, tant dans les bureaux que les logements existent. Il n’y a pas un projet sur lequel nous ne l’offrons pas. Mais les habitants l’utilisent-ils ? En réalité, pas beaucoup. Certaines conciergeries installées il y cinq ans ont déjà purement et simplement été supprimées par les assemblées de copropriétaires parce que ce sont des coûts et des espaces que l’on peut valoriser autrement. Nous pouvons proposer des services, mais nous ne savons pas pour l’instant mettre cette économie dans nos bilans, car c’est une dépense qui n’a pas trouvé sa recette ».
Pour Bénédicte Crozon, « Nous allons continuer à innover et le commerce va continuer à exister. D’autres usages vont se créer, auxquels nous ne pensons pas aujourd’hui. Nous allons trouver de nouvelles mixités commerce/services, qui seront de plus en plus imbriquées. Quant à l’immobilier, il a toujours su se réadapter. Il n’y a pas de raison pour que cela change ».
On ne peut cependant pas mettre du commerce partout. Le discours « une rue– des commerces » va disparaître au profit d’un autre discours plus réaliste, autour des micro-centralités. Un commerce peut suffire à être l’attracteur de quelque chose. « Quand à Internet, je suis persuadé qu’à un moment, les gens ont besoin de voir et de toucher. Le commerce est une action plaisir, c’est aussi la création du lien social. On ne peut pas dire que les courses sur Internet soient vraiment un plaisir ni qu’elles génèrent du lien », conclut la Directrice générale adjointe de Villes & Projets.
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