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Logement intermédiaire : 75 millions d’€ pour la foncière Procivis @PROCIVIS

     Source : PROCIVIS

Les sociétés du réseau (SACICAP) créent la FONCIERE PROCIVIS.

Cette initiative s’inscrit dans un contexte du retour des investisseurs institutionnels vers le logement. Elle vise à contribuer à l’amélioration de l’offre de logements sur
l’ensemble du territoire.

Créée sous forme d’un Organisme de Placement Professionnel Collectif Immobilier (OPPCI) géré par la société ATREAM, la FONCIERE PROCIVIS a été agréée par l’Autorité des Marchés Financiers (AMF) le 4 décembre 2018.

L’objectif est de mobiliser 75 Millions d’Euros à 3 ans pour financer prioritairement des opérations de logements intermédiaires réalisées par les filiales immobilières des SACICAP du réseau PROCIVIS ou par des opérateurs extérieurs.

Président du Comité d’Orientation Stratégique de la FONCIERE PROCIVIS, Yannick Borde se félicite de la mobilisation des SACICAP pour se doter de ce nouvel outil : « Près de la moitié des SACICAP de notre réseau ont répondu présent et constituent les premiers investisseurs fondateurs de la FONCIERE PROCIVIS ce qui témoigne d’un réel dynamisme et d’une capacité collective de projection dans l’avenir.  Déjà d’autres investisseurs souhaitant s’engager dans l’offre de logements intermédiaires se sont manifestés et nous avons prévu la possibilité d’ouvrir cet outil à d’autres partenaires ».

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.@clairsienne inaugure 38 logements accession sociale et en location à Bordeaux @actionlogement

    Source : Clairsienne

Clairsienne inaugure l’îlot de la gare sur la commune de Blanquefort, un ensemble de 38 logements à deux pas de la gare du tram-train du Médoc, qui permet de gagner le centre de Bordeaux en 20 minutes. Un véritable quartier-jardin composé de la résidence « Héméra » avec ses 31 logements en location sociale dont 10 logements intermédiaires et 21 logements collectifs et de « L’Ilot Vert » avec ses 7 maisons individuelles en accession sociale à la propriété.

Des constructions en « épannelage » pour une intégration harmonieuse

Situées rue de la gare, les voisins de ces nouvelles résidences sont les propriétaires des parcelles qui constituent les 5000m² du terrain. Il fallait donc réaliser un projet qui respecte la qualité de leur cadre de vie. Sollicitée par la Ville, Clairsienne avec l’appui d’urbanistes et de paysagistes a ainsi mis en œuvre une concertation avec ses voisins afin de co-construire un programme en harmonie avec cette zone pavillonnaire déjà existante et le moins que l’on puisse dire, c’est que les réponses apportées répondent et même plus, à toutes les attentes exprimées.

Conçu par l’agence d’architecture BROCHET LAJUS PUEYO, cet ilot de 38 logements réalisés en « épannelage » propose trois échelles : pavillons, logements intermédiaires et collectifs, du cœur d’îlot à la gare pour une intégration en douceur dans le tissu pavillonnaire du quartier.

– Le bâtiment A de la résidence Héméra : 21 logements collectifs en location sociale qui se déploient en R+4 face à la gare, avec un volume très fragmenté s’inscrivant en douceur dans le quartier et ménageant les vis-à-vis.

– Le bâtiment B de la résidence Héméra : 10 logements intermédiaires en location sociale qui se déploient en petits volumes en R+1 à toitures pentées et plates afin de créer un dialogue à l’échelle de la maison individuelle. Ces logements offrent d’ailleurs les fonctionnalités de l’individuel, avec leurs propres accès et leurs espaces extérieurs dédiés.

– Les 7 maisons en duplex de la résidence L’Ilot Vert avec jardin privatif et deux places de parking destinées à l’accession sociale.

 Prestations attractives pour tous au cœur d’un cadre de vie paysager

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Habitat indigne et inégalités : cherchez l’erreur ! @_GEFILS

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Sujet récurrent de l’actualité hivernale, l’habitat indigne aura connu en ce début d’année une actualité particulièrement chargée.
En effet, comme le rappelle Le Moniteur dans un long papier consacré au sujet, depuis le choc suscité par l’effondrement de deux immeubles à Marseille fin 2018, l’émotion semble devoir laisser place à l’action avec des pouvoirs publics et des professionnels
qui « se mobilisent pour éradiquer ce fléau difficilement quantifiable ».

Si le Gouvernement semble avoir réellement pris conscience de ce problème en intégrant notamment la notion d’habitat indigne au sein du NPNRU (Anru2), ainsi qu’à celui du plan « Initiative copropriétés », ou du plan « Action cœur de Ville », le ministre Julien Denormandie semble, quant à lui, vouloir faire, en s’appuyant sur la loi ELAN, de la lutte contre les marchands de sommeil sa priorité ! En atteste l’arsenal juridique et financier fraichement annoncé par ce dernier et la ministre de la Justice dans le cadre d’un déplacement dans le 93 pour lutter contre ce fléau (voir page 4), ou encore la proposition de loi du Sénateur Bruno Gilles pour simplifier les expropriations quand un immeuble est insalubre. Mais qui s’en plaindrait ?

Lorsque l’on voit ce que certains propriétaires peu scrupuleux, et aux profils parfois surprenant, proposent à leurs locataires, ou encore les dysfonctionnements dans la mise en œuvre locale de sa politique du logement tels que l’a dénoncé la Cour des comptes, on comprend que le Gouvernement ait décidé de « taper » fortement sur les marchands de sommeil, de remettre à plat les dispositifs existants pour lutter contre ce phénomène, et surtout de le faire savoir. En ces temps de contestations sociales, cette mesure on ne peut plus consensuelle a le mérite de ne pas susciter de débats et de redorer la vision et l’action sociale d’un Gouvernement dont on commençait sérieusement à douter.

S’attaquer aux « méchants » marchands de sommeil est un début, mais est-ce bien là la solution pour remédier à ce phénomène « pandémique » qui touche toutes les villes, grandes comme toutes petites ?

Rappelons que 420 000 logements du parc privé sont « potentiellement » indignes en France métropolitaine (600 000 selon la Fondation Abbé Pierre), 70 000 en outre-mer. En Ile de France, ce serait 157 000 logements « privés potentiellement indignes », soit 4 % du parc privé qui sont recensés, dont 61 000 à Paris (6,5% du parc). Dans la Loire, le Progrès nous informe (page 18) que ce sont 9500 logements insalubres qui y ont été recensés. Mais comme l’a rappelé le drame de Marseille (où l’on estime à 40 000 le nombre de logement insalubres, 13% des résidences principales), il est difficile de connaître le vrai chiffre.

Car c’est bien là la base du problème : l’identification de ces logements / immeubles insalubres… Pour tenter de répondre à ce problème, le Gouvernement a d’ailleurs mandaté les Députés (LREM) Guillaume Vuilletet et Alexandra Louis pour, d’ici mai, rédiger, un rapport qui proposerait des solutions visant à simplifier les procédures concernant le repérage et la lutte contre l’habitat indigne.

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Comment repenser nos modèles de sociétés et nos politiques de logement ? @_GEFILS

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Après une année 2018 assez dense et particulièrement agitée en France, on ne peut qu’accueillir avec soulagement cette nouvelle année en espérant qu’elle soit plus apaisée et constructive que sa précédente, et notamment en matière de logement.

Marqué par les lois de finances, la loi ELAN, les coupes dans les allocations logement (APL), les drames liés à l’habitat indigne (etc.), le secteur du logement aura connu une année 2018 riche en actualité  et un bouleversement majeur et historique de son modèle et de son financement associé.

Un bouleversement majeur qui, comme nous le rappelle le Courrier des Maires, en plus d’aller à « contre-courant » de certains de nos voisins européens qui réinvestissement massivement dans le logement social (voir l’entretien avec L. Ghekière dans e-hebdo), n’apporte aucune réponse à de nombreuses villes moyennes des « zones détendues » et va contraindre les acteurs du logement social à se « réinventer » .
La digestion de cette loi et la mise en place opérationnelle des nombreuses évolutions qu’elle introduit devrait donc occuper une grande partie de l’activité des acteurs du logement en 2019 et devrait nous réserver encore quelques surprises notamment en ce qui concerne le paysage du secteur (concentration des bailleurs, évolution de leur mission, etc.), son dynamisme (réforme des aides au logement, des aides fiscales, de la TVA, baisse de la construction, etc.) et modifier peut-être les choix d’accès au crédit !

Au-delà de la loi ELAN, gageons que 2019 soit également marquée – comme nous le soulignons régulièrement dans ses colonnes – par l’innovation et le développement de solutions pertinentes en terme d’habitat qui tiendraient d’avantage compte de l’évolution des modes de vie, de la modification de la structure familiale, du vieillissement de la population, de la dissociation entre travail et lieu de travail. C’est d’ailleurs ce qui compose l’actualité de ces derniers jours et semaines, que ce soit en France ou dans le reste du monde d’ailleurs : comment faire en sorte que le plus grand nombre puisse être logé décemment ? Comment lutter contre l’habitat indigne et les marchands de sommeil ? Comment repenser nos modèles de sociétés et nos politiques de logement, etc. ?

Sur la lutte conte l’habitat indigne (dont la définition ne sera pas modifiée malgré le recours de plusieurs associations auprès du conseil d’Etat pour la rendre plus précise et contraignante en matière de performance énergétique, le mal logement et les marchands de sommeil tout d’abord, dont les catastrophes de Marseille et de Bobigny nous ont tristement rappelé l’existence en France, si le Gouvernement semble vouloir avancer positivement quant à « sa volonté d’accélérer la construction de résidences sociales » (page 3), nombreux sont encore à alerter les pouvoirs publics, comme le président du Samu Social de Paris, sur le manque de places d’hébergement pour les sans-abris, et le
manque de politique de réinsertion dans des logements plus stables.

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Création de CDC Habitat social, fruit de la fusion de 13 ESH @CDC_Habitat

Source : CDC Habitat

Dans le cadre du plan de transformation de CDC Habitat, nommé « Trajectoire 2022 », CDC Habitat a annoncé la création d’une entité unique, CDC Habitat social, ainsi que la réorganisation de ses activités de logement social et de logement intermédiaire. 

 

CDC Habitat

Mis en œuvre progressivement sur les trois prochaines années, le plan de transformation, nommé Trajectoire 2022, s’appuie sur trois principes fondamentaux :
– la création d’une ESH unique, CDC Habitat social, nouvelle entité juridique résultant de la fusion de nos 13 Entreprises Sociales pour l’Habitat (ESH) historiques
– le rapprochement des organisations et des activités de logement social et intermédiaire
– un pilotage stratégique des activités du Groupe consolidé et optimisé, au service de ses clients et partenaires, conjuguant enjeux nationaux et territoriaux.

Trajectoire 2022 s’accompagne d’une réorganisation territoriale, effective dès le 1er janvier 2019. Afin d’allier proximité et performance, la nouvelle organisation de CDC Habitat comportera désormais trois échelons d’intervention… Lire la suite… 

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