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Crowdfunding immobilier : découvrez le baromètre 2018 @Galivel

Source : Galivel

Maintenant que l’année 2018 est écoulée, il est important de faire le point sur les tendances du crowdfunding immobilier en France ! Découvrez le baromètre 2018 réalisé par Fundimmo, portant sur l’étude de 32 plateformes de crowdfunding immobilier. 

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Une croissance continue du marché depuis 2016
En 2018, 185 millions d’euros ont été financés sur les plateformes de crowdfunding immobilier, représentant un total de 343 projets. C’est une progression nette de +83% par rapport à 2017 (101 millions d’euros collectés) et stable, car l’évolution entre 2016 et 2017 était également de +83% (55 millions d’euros collectés en 2016). « Malgré le ralentissement observé dans le logement neuf, la croissance continue du marché du crowdfunding immobilier démontre que les acteurs de la promotion immobilière ont de plus en plus recours aux services du financement participatif pour financer leurs fonds propres », indique Stéphane Bombon, Président de Fundimmo.

Un maintien des rendements, une forte croissance de la collecte moyenne et des durées de placement
Avec un rendement annuel moyen de 9 % en 2018, le crowdfunding immobilier reste un placement attractif, malgré une baisse de 0,9 point par rapport à 2017. « Deux facteurs principaux expliquent l’évolution des rendements : d’une part la hausse des montants levés auprès de promoteurs de taille plus importante, de nature à diminuer les taux qui leurs sont proposés, et d’autre part, par la professionnalisation des plateformes devenues plus exigeantes vis-à-vis des promoteurs. Or la diminution des risques exerce une influence significative sur les rendements », détaille Jérémie Benmoussa, Directeur général de Fundimmo. Le montant moyen par collecte est également en hausse, passant de 457 749 € en 2017, à 539 128 € en 2018.

La suite des résultats du baromètre…

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Le prix de l’immobilier baisse à Paris ! Une première depuis 3 ans… @SeLoger

Source : Se loger

Alors que le prix de l’immobilier à Paris ne cessait d’augmenter depuis 2015, il semblerait qu’il y ait du changement ! Le prix de l’immobilier de la capitale a baissé de 0,6% sur le dernier trimestre !

Contre toute attente, et alors qu’ils n’avaient de cesse de progresser et qu’ils avaient atteint des niveaux records, les prix des logements parisiens perdent du terrain ! Les données recueillies par le baromètre LPI-SeLoger nous apprennent ainsi qu’en l’espace de trois mois, les prix dans la capitale ont reculé de 0,6 %. En termes de hausse des prix, « à Paris, le freinage est sensible depuis le début de l’été » fait d’ailleurs remarquer Miche Mouillart, porte-parole du baromètre LPI-Loger. Après des mois et des mois de hausse débridée, le prix de l’immobilier dans la Ville Lumière serait-il en train de finalement s’ajuster à la solvabilité des acheteurs ? Quoi qu’il en soit, sur l’année, cette fois, et non plus sur les trois derniers mois, la tendance des prix immobiliers parisiens demeure haussière avec un gain de 6,7 %. Mais là encore, les données récoltées par le baromètre tendent à montrer que la hausse annuelle marque le pas…

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Immobilier : les prix s’envolent à Rennes ! @SeLoger

Source : Se loger

Le prix de l’immobilier a augmenté de 8% à Rennes en seulement un an ! Le prix est désormais de 3 083€ le mètre carré. 

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Sur l’année, les prix immobiliers augmentent plus vite à Rennes qu’à Nantes !
« Dans les villes les plus convoitées, celles qui conjuguent dynamisme économique et amélioration des réseaux de transport, la progression des prix reste vive ». Ce constat que dresse Michel Mouillart, porte-parole du baromètre immobilier LPI-SeLoger s’applique on ne peut mieux à Rennes. Et pour cause, le chef-lieu du département d’Ille-et-Vilaine affiche des prix immobiliers en forte hausse : sur l’année, le gain se chiffre à 8 % alors qu’il ne dépasse pas 5,3 % à Nantes. Il faut dire que l’attractivité de la capitale des Ducs de Bretagne n’est un scoop pour personne. Rappelons que début 2018, et pour la deuxième année consécutive, nos confrères de L’Express faisaient figurer Rennes en tête de leur classement des villes en termes de qualité de vie.

Le centre-ville de Rennes a toujours la cote
Parce qu’il fait le plein de commerces, de bars et de restaurants, le tout dans un cadre architectural faisant la part belle aux bâtiments historiques, l’hypercentre de Rennes fait l’objet de toutes les convoitises. De la place du Champ-Jacquet à la place Sainte-Anne, en passant par le boulevard de la Liberté et la rue Gambetta, le « Vieux Rennes » fait partie des secteurs les plus prisés de la ville.

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Immobilier : une baisse des prix dans la majorité des villes ! @SeLoger

Source : Se Loger

Dans la plupart des grandes villes françaises, on assiste à une baisse des prix de l’immobilier ! Nous comptons même 5 villes où le m² est inférieur à 1 700 € : Saint Nazaire, Perpignan, Bourges, Calais et Troyes…

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À moins de 1 700 €/m², presque toutes les villes voient leurs prix reculer
Les données recueillies par le baromètre LPI-SeLoger nous apprennent que si la hausse des prix immobiliers continue de marquer le pas, c’est carrément à une baisse des prix que l’on assiste dans de nombreuses grandes villes françaises. « Dans près de la moitié des villes de plus de 100 000 habitants, les prix signés baissent » constate ainsi Michel Mouillart, professeur d’économie à l’université Paris-Ouest et porte-parole du baromètre LPI-SeLoger. Il est d’ailleurs à noter que c’est dans les villes où l’immobilier coûte le moins cher (moins de 1 700 €/m²) que le recul des prix est le plus fréquent. À l’origine de cette tendance baissière, « une demande budgétairement fragile et impactée par la suppression des aides personnelles ».

Le ralentissement de la hausse des prix immobiliers s’installe
Plus ça va, moins ça va… vite ! Eh oui, comme le pointe du doigt Michel Mouillart, « le ralentissement de la hausse des prix dans l’ancien se poursuit ». Jugez plutôt, d’une hausse annuelle de 4,6 %, l’été dernier, nous sommes passés à une progression de 4 %. Cette perte de vitesse trouve son origine dans la hausse – brutale – des prix immobiliers à laquelle les Français ont dû faire face.

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Cohésion des territoires : découvrez le baromètre @CGET_gouv

Source : CGET

Le Commissariat Général à l’égalité des territoires a publié très récemment le rapport et le baromètre sur la cohésion des territoires afin de mieux comprendre les dynamismes et les fragilités qui demeurent en France.

cget

Un outil de diagnostic et d’analyse des territoires
Nouvel outil partagé avec les associations d’élus, ce rapport remplit deux objectifs : la mise à jour d’un état de lieux de la France et de ses territoires après une décennie de crise, et l’explicitation des facteurs de la cohésion des territoires.

L’état des lieux révèle quatre France, dont le risque principal est la dissociation :
– un arc nord-est fragilisé,
– un arc occidental et méridional dynamique,
– des Dom qui cumulent les vulnérabilités,
– une Île-de-France croisant vigueur économique et faible attractivité résidentielle.

Ces caractéristiques sont issues de la conjugaison de cinq dynamiques qui se sont accentuées au cours de la dernière décennie : métropolisation accélérée, polarisation autour des principaux pôles urbains, trajectoires différenciées des ruralités, fragilisation de l’armature urbaine en villes petites et moyennes, transformation de la base productive.

——> Pour consulter le rapport et le baromètre, cliquez ici

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