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Immobilier à Toulouse : dans quel quartier investir ? @SeLoger
Source : Se Loger
Le prix de l’immobilier à Toulouse reste très raisonnable pour une métropole. Cependant, l’extension de la ligne LGV Bordeaux-Toulouse pourrait faire grimper les prix… Quels sont les prix de l’immobilier à Toulouse ? Comment va évoluer le marché ? Dans quel quartier les prix sont-ils les plus attractifs ?
Un prix immobilier qui reste raisonnable pour une métropole
Selon les données recueillies par le baromètre LPI-SeLoger, le prix immobilier à Toulouse atteint 3 143 € du m². Pour une ville de la taille de Toulouse (475 438 habitants en 2016), cela reste très correct. À titre de comparaison, comptez 4 844 € pour acheter à Bordeaux, 3 258 € à Lille, 4 717 € à Lyon, 3 300 € à Nantes, 4 219 € à Nice et 10 034 € à Paris. Seules Marseille (2 977 €/m²) et Montpellier (3 009 €) font mieux ou plus exactement, moins cher
Faut-il s’attendre à un effet LGV comme à Bordeaux ?
Toutes proportions gardées, le niveau des prix signés (3 143 €) et la hausse annuelle (+ 1,5 %), dont ils font l’objet, restent relativement modérés. Mais le prolongement de la ligne LGV jusqu’à Bordeaux que le gouvernement a validé en septembre dernier pourrait bien changer la donne
Dans quels quartiers investir à Toulouse ?
Si Toulouse est une ville où il fait bon vivre, c’est également une ville où il fait bon investir dans la pierre locative. Dans le cadre d’un investissement patrimonial, c’est-à-dire de l’acquisition – en vue de le louer – d’un bien dont la revente sera rapide, le centre-ville ancien est un secteur à privilégier
Plus d’informations sur l’immobilier à Toulouse…
Retrouvez aussi :
Espacil Accession : Nouveaux logements en PSLA à Vitré @Espacil @ActionLogement
Source : ESPACIL ACCESSION
Espacil Accession lance la commercialisation de 46 appartements en accession coopérative, location-accession (PSLA) et investissement locatif PLS à Vitré (35500).
L’ancienne zone artisanale de Vitré se convertit en quartier résidentiel avec un atout majeur : sa proximité du cœur de ville et l’accès rapide à la rocade sud. Située rue des Artisans, la résidence Garden Square propose des appartements du 2 et 5 pièces, avec terrasse, balcon ou loggia. Lumineux et organisés autour d’un mail paysager résidentiel, les appartements sont largement ouverts sur l’extérieur grâce à de grandes baies vitrées et de spacieux balcons ou terrasses.
La place de parking, le nouvel investissement phare à Paris @Emerige
Source : Emerige
Acheter une place de parking à Paris, le nouvel investissement rentable et peu contraignant !
Des coûts d’acquisition et d’entretien réduit
Le coût d’acquisition d’une place de stationnement dépend de son emplacement. Mais, quelle que soit sa localisation, acheter une place de parking représente un effort financier beaucoup moins important que pour l’achat d’un appartement pour un investissement locatif.
Un cadre réglementaire plus souple que pour l’achat d’un logement
En plus d’être rentable, investir dans une place de parking offre une gestion facilitée. Pas besoin de rédiger un bail ou de faire un état des lieux pour louer une place de parking. Un simple contrat stipulant les modalités de location suffit. Autre avantage : vous pouvez fixer librement le montant du loyer ainsi que le mode et le préavis de résiliation, comme l’explique le site Service-Public.fr
Une forte demande à Paris et en Île-de-France
Qui n’a jamais tourné en rond de longues minutes à la recherche d’une place pour se garer ? Les difficultés pour trouver une place de stationnement sont le lot quotidien des automobilistes, en particulier dans les zones tendues comme l’Île-de-France. Cette très forte demande vous assure de trouver très rapidement preneur pour votre place de parking et de percevoir un revenu régulier
A quels prix ?
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Lire également :
Immobiliers en France : Où achètent les étrangers non résidents ? @Journal_Agence
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Source : Journaldelagence.com
Les Notaires de France ont publié une étude relative aux achats de logements par des étrangers dans l’Hexagone. Qu’en est-il ?
Quelle est la part des étrangers non résidents ?
En 2017, 5,4% des transactions de logements anciens en France métropolitaine ont été réalisées par des acquéreurs étrangers. Cette part s’échelonne en région de 3% sur le littoral Ouest, à 6% dans les Alpes, 8% en ProvenceAlpes-Côte d’Azur et jusqu’à près de 9% en Îlede-France. Les étrangers non résidents représentent quant à eux 1,6% des acquéreurs de logements anciens sur le territoire métropolitain (0,7% en Île-de-France et 1,8% en province). Depuis 2016, les acquéreurs étrangers sont moins présents sur le marché immobilier français. La plus forte baisse concerne la région Provence-Alpes-Côte d’Azur, où leur part a perdu 1 point en 2017. Ce constat s‘explique par la baisse de la part des étrangers non résidents : de 5,1% en 2016 à 3,9% en 2017.
La part des non résidents parmi les acquéreurs étrangers a fortement évolué sur les dix dernières années. De 43% en 2007, elle chute jusqu’en 2011 à 29%. Ensuite, elle rattrape quelques points jusqu’en 2016 à 32% mais diminue depuis, à 29% en 2017. Sur la période 2007 – 2017, parmi les acquéreurs étrangers, un peu moins d’une transaction sur dix est réalisée par un non résident en Île-de-France, contre une sur trois dans le Nord Est. Cette proportion monte jusqu’à 50% en Provence-Alpes-Côte d’Azur ou dans le Massif central. Le poids des non résidents parmi les acquéreurs étrangers varie selon leur nationalité. Seulement 6% des Espagnols ou Portugais ne résident pas en France au moment de la transaction. À l’inverse, les non résidents représentent la moitié des Américains ou des Italiens et jusqu’à 75% des Scandinaves. La part des non résidents parmi les étrangers baisse au sein de presque toutes les nationalités entre 2007 et 2017, notamment chez les Italiens, de 68% à 25%. Seul le poids des non résidents allemands a progressé de 45% à 51%.
Tendance 2018 Au 1er semestre 2018, la part des transactions réalisées par des acquéreurs étrangers en France métropolitaine est en légère augmentation, à 5,9%. Cette hausse est peu significative en province, mais davantage en Île-de-France : la part des étrangers atteint alors 10%. Cependant, quelle que soit la localisation, la hausse concerne principalement le marché des étrangers résidents.