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ICADE Promotion : Hélène EL AIBA et Anne COUPE-SALADIN intègrent le CoDir @Icade_officiel

ICADE : NOMINATIONS AU SEIN DU POLE PROMOTION UN COMITE DE DIRECTION RESSERRE ET FEMINISE
 


Source : ICADE

 A compter du 1er juillet 2017, Hélène EL AIBA est nommée Directrice générale adjointe IdF du Pôle Promotion d’Icade sous la responsabilité de Maurice SISSOKO.
Elle sera en charge de l’ensemble des activités opérationnelles d’Icade Promotion en Ile-de- France.

Hélène EL AIBA aura pour mission d’accompagner l’ambitieuse feuille de route d’Icade Promotion sur l’Ile-de-France.
Ingénieur Civil des Ponts et Chaussées et diplômée d’un DEA de finance, Hélène a débuté sa carrière chez Bouygues Immobilier, où elle a occupé pendant 13 ans divers postes en finance, pour y prendre progressivement des postes de management de centre de profit en immobilier d’entreprise et résidentiel. Elle était depuis novembre 2014 Directrice régionale Grande Couronne IDF Sud.

A compter du 1er août 2017, Anne COUPE-SALADIN est nommée Directrice financière du Pôle Promotion d’Icade sous la responsabilité de Maurice SISSOKO.

Elle sera en charge de mettre en place une politique de financement appropriée et de contribuer à l’atteinte des objectifs de croissance et de performance décrits dans la feuille de route. Elle aura également en charge de la supervision des sujets comptables, contrôle de gestion et juridiques d’Icade Promotion.
Après une formation en école de commerce et un diplôme d’expertise comptable, Anne COUPE – SALADIN a occupé différents postes en expertise et management (KPMG, conseil de l’ordre des experts comptables notamment) avant de rejoindre le groupe en décembre 2001 à la Direction de la comptabilité.

Toutes deux intègrent le comité de direction du Pôle Promotion d’Icade, qui atteint la parité, avec 4 femmes et 4 hommes…en savoir plus

Lancement de la Chaire « Aménager le Grand Paris » @groupeSNI

Source : groupe SNI


La Chaire « Aménager le Grand Paris » est initiée par l’École d’Urbanisme de Paris et cinq organismes publics impliqués dans l’aménagement opérationnel grand parisien : la Société du Grand Paris, Grand Paris Aménagement, Groupe SNI/Grand Paris Habitat, l’Établissement Public Foncier d’Île-de- France et la Caisse des Dépôts.
Ensemble, ils font le constat que les pratiques de l’aménagement évoluent considérablement et très rapidement à l’occasion des mutations du Grand Paris. Pour les organismes en charge de ces aménagements, l’heure de la mise en œuvre s’accompagne d’un besoin de renouvellement de leurs propres outils d’action. En témoignent les modalités nouvelles pour faire travailler aménageurs, promoteurs, développeurs, concepteurs, voire usagers. Les concours et appels à idées qui ont été lancés révèlent ce besoin de renouvellement des pratiques :
« Réinventer Paris », « Inventons la Métropole du Grand Paris », « Dessine-moi le Grand Paris », « 100 quartiers innovants et écologiques »… Ces concours sortent des démarches classiques pour susciter de nouveaux groupements, d’autres manières de valoriser des sites et de programmer les lieux de vie…. en savoir plus

Osica au cœur de la transition énergétique ! @groupesni

osica-header

 

OSICA joue un rôle clé dans la transition énergétique, à la fois parce qu’elle conçoit et produit ses résidences et en permet un meilleur usage au quotidien par ses locataires. Mais aussi parce qu’elle s’est donnée pour objectif de réduire de 40 % la consommation énergétique de ses résidences d’ici 2020.

Apporter sa pierre à l’édifice de la construction durable

Offrir à ses locataires des bâtiments sains, économes, producteurs d’énergie et respectueux de l’environnement, telle est l’ambition d’OSICA dans tous ses projets de construction.

Rénover son patrimoine le plus énergivore
OSICA depuis 10 ans s’est investie dans la rénovation de son patrimoine afin d’en réduire considérablement l’empreinte énergétique et d’apporter un cadre de vie amélioré à ses locataires.

… Lire l’intégralité du communiqué de presse

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Les ESH ont fêté leurs 90 ans avec Christophe Guilluy @federationESH

Source : Caisse des Dépôt des territoires

Les 230 entreprises sociales pour l’habitat, qui logent aujourd’hui 5 millions de personnes, ont fêté le 22 juin leurs 90 ans, lors de l’assemblée générale de leur Fédération. L’activité des ESH se manifeste en 2016 par une accélération des mises en chantier de construction locative, en hausse de 9% par rapport à 2015. Le parc locatif, de 2,4 millions de logements, a ainsi augmenté de 83.000 logements. Celui de l’accession sociale a un peu grossi également, avec 3.090 logements commercialisés en 2016, dont 1.980 en location-accession et 1.110 en Vefa. 

La vacance des logements dans les ESH est quasi stationnaire (3,8% contre 3,9% en 2015) et le taux de mobilité des locataires aussi avec 9,7% contre 10% en 2015. Il s’agit pourtant d’un « niveau historiquement bas », estime la Fédération, qui rappelle dans son rapport Analyses et Statistiques que le taux était de 10,2% en 2007. Cette baisse de mobilité est observée dans toutes les régions, sauf en Bretagne. Elle a été « significative » en Pays de Loire, Auvergne-Rhône-Aples et Grand Est, tandis que les DOM et l’Ile-de-France restent « les zones les moins fluides ».
Pour Christophe Guilluy, « la politique de la ville crée de la classe moyenne depuis 30 ans »
« Déduction faite de 27.000 départs de locataires par mutation interne dans le patrimoine, près de 184.000 départs ont été recensés en 2016 », précise le rapport. Du côté des entrants, la Fédération des ESH constate que deux nouveaux entrants sur trois vivaient, en 2016, en dessous du seuil de pauvreté. 

Une statistique qui vient étayer le discours de Christophe Guilluy invité ce jour-là par les ESH. L’expert en « géographie sociale », ainsi qu’il se présente, se félicite que les habitants des ZUS (aujourd’hui QPV/quartiers prioritaires de la politique de la ville) soient « les plus mobiles de France ». C’est que, selon lui, les ZUS jouent toujours leur rôle de « sas » dans le cadre d’un parcours résidentiel ascendant. « La politique de la ville crée de la classe moyenne depuis 30 ans sans qu’on ne le mesure, puisque les statistiques portent sur les stocks et non sur les flux », estime-t-il. …en savoir plus….

Construire des villes futures, quel enjeu ? @CaissedesDepots #SmartCity

Source : caissedesdepots.fr

Caisse_Des_depots_et_consignation Concevoir les ville futures requiert une démarche multidimensionnelle formant un écosystème qui regroupe les variables, environnementales, sociales, techniques, énergétiques, urbanistiques, juridiques, politiques, etc… Toutes ces variables doivent traiter avec un niveau d’expertise considérable afin d’avoir des villes futures en adéquation avec les besoins des habitants.

Il s’agit de concevoir puis de construire les villes de demain, petites ou grandes, en partant de ce qui existe, de ce que nous savons faire, et de ce que nous devrons apprendre à faire. Là réside un aspect de ce vaste chantier rarement abordé : comment former les ouvriers, les artisans, les techniciens, les cadres qui construiront et gèreront nos smart cities, faites d’écoquartiers rutilants et de parcelles rénovées ?

La question est d’autant plus cruciale que les professionnels de ce secteur sont dans une situation périlleuse. Bien sûr nous avons de grands groupes internationaux, mais ces majors ne représentent que 9% du chiffre d’affaire de la construction ! Le reste est réalisé par un ensemble de TPE – PME. D’une part, cette population de professionnels vieillit : 426 000 départs en retraite Ouvrez ce document avec ReadSpeaker docReadersont attendus à l’horizon 2022, soit environ 1/3 d’entre eux. D’autre part, les jeunes ne sont plus attirés par ces métiers : entre 2008 et 2014, l’effectif des apprentis a diminué de 25%. C’est donc à un véritable effet de ciseau que ces professions sont confrontées.

Or les besoins sont immenses : ne serait-ce que pour répondre aux critères des accords de Paris, ce sont entre 4 et 6 milliards de mètres carrés qu’il conviendra de rénover en France d’ici à 2050, soit 100 à 150 millions de m2 par an ! Aujourd’hui, nous n’en sommes qu’à 50 millions annuels… Cet ordre de grandeur cache, par ailleurs, le besoin d’une évolution qualitative des professionnels de la construction, évolution imposée par les incessants progrès technologiques.

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