Archives Mensuelles: Mai 2019

865 nouveaux logements sociaux prévus par Toulouse Métropole Habitat cette année @TlseMetropole

    Source : toulouse metropole habitat

Bras armé de Toulouse Métropole, l’Office métropolitain de l’Habitat contribue fortement à l’offre de logements nécessaire à l’accueil des 13 000 nouveaux arrivants annuels sur la Métropole. Après en avoir livré 793 en 2018, le bailleur prévoit, cette année, de livrer 865 logements neufs, dont 681 en location et 184 en location-accession.

BÂTIR UN PARC SOCIAL QUALITATIF ET VARIÉ : un engagement au quotidien
Dans un contexte de demande croissante de logements, Toulouse Métropole Habitat est plus que jamais impliqué pour atteindre son objectif : celui de concevoir, mettre en chantier, livrer, gérer, vendre et entretenir un nombre croissant de logements pour toujours mieux accueillir plus de ménages et favoriser le parcours résidentiel.
Pour ce faire, 865 nouveaux logements sociaux seront livrés cette année, pour permettre à de nouveaux ménages de bénéficier d’un logement social ou d’accéder à la propriété.

DÉVELOPPER L’OFFRE DE LOGEMENTS SOCIAUX sur Toulouse Métropole et au-delà
L’année 2019 verra la livraison de 865 logements à Toulouse avec, notamment, Rose Place (49 logements), en co-maîtrise d’ouvrage avec Procivis, Les Tuileries (92 logements) et La Cépière (12 maisons individuelles), dans le cadre du projet de renouvellement urbain du quartier.
D’autres opérations permettront à Toulouse Métropole Habitat de s’implanter sur de nouvelles communes : Cornebarrieu, Mondonville, Aucamville, Montrabé, Roques/Garonne, Castelnau d’Estretefonds, Merville, Grenade, Bessières, Fonsorbes, Saint-Sulpice-sur-Lèze.
Aujourd’hui, Toulouse Métropole Habitat est désormais présent sur 48 communes.

Par ailleurs, outre, les livraisons prévisionnelles, le bailleur prévoit cette année la mise en chantier de 287 logements en maîtrise d’ouvrage directe, sur Toulouse et son agglomération.

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Smiile, la réhabilitation inclusive dans la Smart City @groupeBouygues #SmartCity

   Source : Blog de Bouygues Construction

Pour les bailleurs, un outil de communication pérenne

Smiile, la réhabilitation inclusive dans la Smart City

Smiile permet, à l’échelle d’une résidence, d’un quartier, d’une ville, de mutualiser des ressources et des réseaux de voisinage. La solution fait partie des services proposés dans l’offre WIZOM Réhabilitation 2018 de Bouygues Construction. Un bel exemple de collaboration entre un grand groupe et une startup de la French Tech.

ans un monde où l’usage remplace la propriété, l’économie collaborative se développe à toute vitesse. Réveil citoyen, recherche de solutions alternatives, lutte contre le gaspillage… Les communautés s’organisent. Smiile, première plateforme française de proximité, propose un outil simple et collaboratif pour que chacun agisse à son échelle.
Recréer du lien social, communiquer, ou encore mutualiser services, achats ou trajets… La solution regroupe tous les acteurs de la vie locale (habitants, collectivités, commerces, associations…) sur une même plateforme de partage. La startup compte déjà plus de 400 000 voisin(e)s et de 3000 résidences connectées.

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30 propositions de procivis lab’ pour stopper la dégradation des copropriétés @PROCIVIS @J_Denormandie @Min_Territoires

 

Source : PROCIVIS

Le 1er rapport réalisé par PROCIVIS Lab’, le think tank du réseau PROCIVIS sur les politiques du logement « 30 propositions pour stopper la dégradation des copropriétés »,  vient d’être remis au Ministre chargé de la Ville et du Logement, Julien Denormandie

TÉLÉCHARGER ICI LE RAPPORT

Cette étude s’inscrit dans un contexte, où le métier de syndic, et plus largement la gestion des copropriétés, sont sous le feu des projecteurs. La catastrophe de Marseille a fini de convaincre les plus réticents que l’entretien du parc privé de logements devait être mis à l’agenda politique.

Les ordonnances sont en cours d’élaboration pour réviser la loi de 1965 qui régit le droit de la copropriété et dans le même temps, le secteur de l’administration de biens est à la croisée des chemins : Souffrant injustement d’une image négative dans l’opinion publique, et face aux nouveaux modèles économiques, un risque d’uberisation est à craindre.

« Et pourtant cette actualité prouve qu’on n’a jamais eu autant besoin des syndics » affirme Yannick Borde, Président de PROCIVIS UES-AP. Ni les syndics bénévoles, ni les syndics en ligne ne sont capables de répondre aux défis de la transition énergétique et numérique auxquels la copropriété du XXIème siècle est confrontée. On ne s’improvise pas syndic, de même qu’on ne peut brader une activité au rabais au risque de l’irresponsabilité. La gestion d’un immeuble, c’est un métier ! Maîtriser les charges de copropriété, c’est un métier ! Prévenir les impayés de charges, c’est également un métier ! Prévenir les processus de dégradation des copropriétés, c’est un métier qui demande des compétences spécifiques qui doivent être reconnues.

Ce constat amène à 30 propositions concrètes, contribution à l’élaboration des ordonnances qui devront être ratifiées avant la fin de l’année. Ces propositions invitent à :

  • Mieux mobiliser les acteurs de la gouvernance de la copropriété : en responsabilisant tous les acteurs, au premier rang desquels figure le syndic, seul capable d’apporter une vision prospective et en le remettant au cœur de la gestion de la copropriété dans un rôle qui va bien au-delà d’une simple assistance au conseil syndical.
  • Mieux accompagner la rénovation : en structurant une filière de la rénovation de la sensibilisation jusqu’au financement pour stimuler une demande de travaux encore insuffisante.
  • Mieux prévenir et traiter les impayés de charges : l’évolution de la sociologie des copropriétés, couplée au durcissement des conditions économiques, mais aussi à l’impérieuse nécessité de faire face à l’obsolescence technique des immeubles conduisent à améliorer encore l’arsenal à la disposition des copropriétés et des syndics. Parmi les propositions figurent des mesures préventives (mensualisation des charges de copropriétés, renforcement de la phase de conciliation) et des mesures visant à rendre plus efficace la phase contentieuse.

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Lancement du jardin partagé sur le toit dans Paris 20è @_RIVP_ @paris

    Source : RIVP

Samedi 18 mai, les locataires de l’immeuble 136-138 bd Davout à Paris 20ème se sont retrouvés sur le toit de l’immeuble pour la 2ème séance de jardinage collectif.

Cet immeuble, livré à l’été 2017, a la chance d’avoir été conçu avec un toit terrasse pouvant accueillir les habitantsaménagé avec des jardinières et un local type serre. Egalement tous les balcons sont équipés de jardinières qui ne demandent qu’à être fleuries !

Les locataires de l’immeuble se sont mobilisés, via l’amicale créée, pour investir cet espace et démarrer une activité de jardinage ouverte à tous et ont sollicité la RIVP en ce sens.

La RIVP a fait le choix d’accompagner ces locataires pendant la 1ère année en missionnant l’association « Multi colors » spécialisée dans l’accompagnement des jardins partagés notamment chez les bailleurs sociaux.

La mission de « Multi colors » sera de former les locataires aux pratiques de jardinage en tenant compte des contraintes de ce lieu spécifique, de les aider à définir les règles d’usage et de fonctionnement du jardin et à se constituer en association pour la gestion du lieu, sans oublier l’appropriation de la serre pour la pousse des boutures, le tout en collaboration étroite avec le DSU de la DT nord et l’agence Saint Blaise.

Les locataires sont fortement mobilisés puisque 11 adultes et 10 enfants ont pu être présents à cette séance, impatients de faire pousser fleurs, légumes et aromates !

De beaux moments de partage en perspective !

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8è colloque EHESP-ARKEA : des solutions innovantes pour les hôpitaux de demain @cmarkea @EHESP #ArkeaSanté

 

 

COMMUNIQUE DE PRESSE

 

8ème  COLLOQUE EHESP-ARKEA : DES SOLUTIONS INNOVANTES POUR LES HOPITAUX DE DEMAIN

 

Paris, le 28 mai 2019 – Cette année, l’évènement aura lieu le vendredi 7 juin au Pavillon Elysée à Paris, et rassemblera plus d’une centaine de personnalités autour du thème suivant « Nouveaux usages, nouvelles réglementations à l’ère de l’hôpital connecté ». Des représentants du CHU de Nice, Bordeaux, Genève et également d’acteurs privés viendront apporter leur éclairage.

Ce colloque s’inscrit dans le cadre d’une convention de partenariat signé depuis 2011 entre L’Ecole des Hautes Etudes en Santé Publique (EHESP) de Rennes et Arkéa Banque Entreprises & Institutionnels, filiale du groupe d’Arkéa, dédiée aux acteurs du développement local. Il permet de soutenir financièrement les travaux de recherche de la chaire en management des nouvelles technologies de santé du professeur Langevin ; enseignant chercheur et ingénieur biomédical hospitalier et également d’organiser cette rencontre annuelle.

Claude-Anne Doussot-laynaud – professeure à l’EHESP rappelle que « L’organisation de ces journées professionnelles depuis 2013 a marqué la volonté de chacune des parties de travailler ensemble dans le respect de leurs cultures respectives.

Dans un contexte de pression accrue de la contrainte financière dans lequel s’inscrit la gestion hospitalière depuis plusieurs années, ce colloque annuel participe au partage d’innovations  au travers notamment de la présentation des actualités du secteur et des expériences conduites dans différents champs. L’EHESP avec l’appui d’ARKEA s’associe à la recherche et à la promotion de solutions innovantes d’amélioration de la performance. »

« Depuis quelques années, nous assistons à une digitalisation progressive du système de santé. De la téléconsultation, à la dématérialisation des données, ces innovations numériques révolutionnent tout le secteur médical. Les établissements de santé doivent s’investir et considérer que ces innovations sont l’un de leurs challenges prioritaires malgré d’autres enjeux. Comment l’apparition des nouveaux outils peut permettre l’amélioration des processus hospitaliers et générer des économies pour les hôpitaux ?  Il nous semblait intéressant en tant que banque accompagnant ce secteur d’évoquer ces différents sujets  lors de ce colloque » déclare Laetitia Boussarie, Directrice du Marché Secteur Public, Economie Sociale et Solidaire-ARKEA.

Au travers de ce colloque, Arkéa Banque Entreprises & Institutionnels renouvelle encore une fois son souhait de favoriser de la création de lien entre les décideurs de différents marchés et sa capacité à organiser des rencontres.

A propos d’Arkéa Banque Entreprises & Institutionnels

Arkéa Banque E& I est dédiée aux marchés des entreprises, des acteurs publics et institutionnels ainsi que des promoteurs immobiliers. Elle accompagne plus de 9 000 acteurs économiques partout en France où elle dispose de 19 centres d’affaires. Arkéa Banque E&I propose à ses clients une offre complète (financements, traitement de flux, moyens de paiements, épargne, assurances, opérations de salle de marché, etc .). Plus d’informations sur www.arkea-banque-ei.com

À propos de l’EHESP

L’Ecole des hautes études en santé publique est l’Ecole de référence en France pour les cadres de la santé publique.

Sous la tutelle des ministères chargés de la santé, des affaires sociales, de l’enseignement supérieur et de la recherche, l’EHESP forme, via des modalités pédagogiques innovantes, les cadres supérieurs de la fonction publique et propose en parallèle des spécialités de diplôme national de master, des diplômes de mastères spécialisés, des parcours de doctorat, ainsi qu’une offre complète de formation tout au long de la vie, pour tous les cadres de la santé publique et du secteur social en France et à l’étranger.

Véritable plateforme internationale pour l’enseignement et la recherche en santé publique, l’Ecole se structure autour de 4 départements intégrés dans un projet interdisciplinaire : méthodes quantitatives en santé publique / santé, environnement et travail / institut du management / sciences humaines et sociales. Grâce à ses unités de recherche labellisées, l’EHESP mène des travaux en partenariat avec de nombreux centres de recherche à travers le monde.

L’EHESP accueille 10 000 élèves, étudiants ou stagiaires provenant d’une cinquantaine de nationalités. Elle fait appel à 1 300 conférenciers français et internationaux par an et est partenaire de 20 universités dans le monde.                                                                              

Site internet : www.ehesp.fr – Fil twitter : @ehesp

 

 

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