Archives du 25 Mai 2017
.@FNAIM lance son site de location saisonnière
Source : Galivel
Toujours dans l’optique d’être plus proche de ses locataires par le biais du digital, la FNAIM vient de lancer un site dédié à la location saisonnière. Ce site web a pour vocation d’une part de faciliter aux locataires la préparation de ses vacances, et d’autre part de les permettre de sécuriser leur parcours de réservation avec un professionnel de l’immobilier.
Ce projet rentre dans le cadre du processus de digitalisation du groupe engagé depuis plus de trois ans.
Le site offre notamment une recherche – sur ordinateur, tablette ou smartphone – soit cartographique, soit traditionnelle, en fonction de la zone touristique/commune, ou des envies : « Mer », « Plage », « Bord de lac », « Îles proches ou lointaines », « Campagne », « Bien-être/Thermalisme », « Montagne », « Ski » ou « Ville » pouvant être associées à des activités de proximité ou des équipements indispensables durant le séjour.
Cette nouvelle solution permet aux locataires de sécuriser leur parcours de réservation avec un professionnel de l’immobilier. La réservation s’effectue directement sur le site et la finalisation du contrat est réalisée en lien direct avec le professionnel en charge de la gestion du bien loué.
Lire aussi :
Commerce : la tendance est au phygital ? @KnightFrankFr @Galivel
Source : Galivel
De manière empirique, le phygital fait référence à deux concepts utilisés couramment, « physique, digital ». C’est une contraction qui renvoie à une stratégie marketing utilisée par les entreprises dans le but de permettre aux clients de faire de nouvelles expériences aux points de vente physique. En d’autres termes, le phygital est un point de vente physique qui intègre les données et méthodes du monde digital afin d’améliorer l’expérience marketing en point de vente physique. C’est une tendance qui bat son plein dans le monde du retailer.
Antoine Salmon, directeur du département Retail – Locatif chez Knight Frank nous donne sa vision :
Convergence entre commerce digital et physique. A la rencontre du phygital…
La mode est indéniablement à la fin des cloisonnements et à la transgression des lignes de fractures. On les croyait infranchissables il y a peu encore et voilà qu’aujourd’hui, on se met à sauter par-dessus à cloche-pied… L’actualité de ces dernières semaines est venue mettre en lumière ce phénomène au travers des évolutions politiques que connaît la France. Mais le goût de la transgression ne se limite pas au champ gouvernemental : elle s’étend à d’autres domaines, à commencer par celui du commerce.
Car oui, le commerce se fait transgressif. L’illustration en est la convergence de plus en plus marquée entre le commerce physique et le commerce en ligne. L’histoire était pourtant loin d’être gagnée d’avance. Rappelons-nous en effet : que n’avons-nous entendu sur la fin inexorable de la boutique de centre-ville ou sur celle du centre commercial, appelés à être supplantés par des sites commerçants dématérialisés abolissant la distance, accessibles en permanence et assurant la livraison au choix du consommateur.
Une mise à mort annoncée. Et pourtant voici qu’après Seattle, Portland et San Diego, Amazon est en passe d’ouvrir à New York, sur la 59ème rue, dans le quartier de Colombus Circus, une librairie. Une vraie. Une qui, même si elle offrira du livre numérique, sentira aussi le papier et l’encre. Bref, un objet que beaucoup croyaient ringard… Et le géant du commerce en ligne est loin d’être le seul à se lancer dans l’aventure des points de vente physiques… Lire la suite
Lire aussi :
DERICHEBOURG annonce une belle croissance de son chiffre d’affaires
Source : derichebourg
DERICHEBOURG a dévoilé ses résultats pour le premier semestre 2016-2017. Un premier résultat qu’on pourrait qualifier très satisfaisant.
Croissance de 33% du chiffre d’affaires, progression de 103% de l’EBITDA courant, bonnes perspectives pour le second semestre
Présidé par Monsieur Daniel DERICHEBOURG, le conseil d’administration du 22 mai 2017 a arrêté les comptes semestriels au 31 mars 2017. Au cours de cette séance, le Président Directeur Général a souligné la pertinence des opérations de croissance externe négociées au cours de l’exercice précédent dans la branche Services à l’Environnement, qui portent leurs fruits avec l’amélioration de la conjoncture constatée sur le semestre écoulé. Il s’est déclaré très satisfait de l’efficacité du maillage territorial ainsi renforcé. Il a également observé la poursuite de la croissance rentable de l’activité Multiservices.
Progression de 33 % du chiffre d’affaires
Le chiffre d’affaires du semestre s’élève à 1,34 milliard d’euros, en progression de 33%, principalement sous l’effet d’une augmentation des volumes et des prix dans l’activité Services à l’Environnement.
Lire aussi :
Comment rendre possible le commerce? @nexity @cmarkea #ArkeaImmobilier
« Tout le monde sait qu’il faut du commerce, mais il y a un moment où il faut le rendre possible… »
Pour réaliser de nouveaux quartiers de ville, Nexity accompagne les collectivités locales et territoriales dans leurs projets de développement urbain, qu’il s’agisse de requalification de friches industrielles ou de renouvellement de quartiers constitués. Nexity apporte des solutions innovantes et créatives dans les projets urbains, les programmes de logements et d’activités économiques et dans les services.
L’avenir du commerce est-il menacé?
« Il y aura toujours du commerce si ce dernier sait saisir les mutations de la société. Les systèmes de conciergerie, tant dans les bureaux que les logements existent. Il n’y a pas un projet sur lequel nous ne l’offrons pas. Mais les habitants l’utilisent-ils ? En réalité, pas beaucoup. Certaines conciergeries installées il y cinq ans ont déjà purement et simplement été supprimées par les assemblées de copropriétaires parce que ce sont des coûts et des espaces que l’on peut valoriser autrement. Nous pouvons proposer des services, mais nous ne savons pas pour l’instant mettre cette économie dans nos bilans, car c’est une dépense qui n’a pas trouvé sa recette ».
Pour Bénédicte Crozon, « Nous allons continuer à innover et le commerce va continuer à exister. D’autres usages vont se créer, auxquels nous ne pensons pas aujourd’hui. Nous allons trouver de nouvelles mixités commerce/services, qui seront de plus en plus imbriquées. Quant à l’immobilier, il a toujours su se réadapter. Il n’y a pas de raison pour que cela change ».
On ne peut cependant pas mettre du commerce partout. Le discours « une rue– des commerces » va disparaître au profit d’un autre discours plus réaliste, autour des micro-centralités. Un commerce peut suffire à être l’attracteur de quelque chose. « Quand à Internet, je suis persuadé qu’à un moment, les gens ont besoin de voir et de toucher. Le commerce est une action plaisir, c’est aussi la création du lien social. On ne peut pas dire que les courses sur Internet soient vraiment un plaisir ni qu’elles génèrent du lien », conclut la Directrice générale adjointe de Villes & Projets.
Ceci est un extrait du nouveau livre Blanc publié par Arkéa Banque E&I >>> Réservez dés maintenant un exemplaire de « Regards sur nos commerces »
Lire aussi :
@Institutionnels @royojm @AlexandraPoloce