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Top 10 des grandes villes où le loyer est le moins cher ! @SeLoger

Source : Se Loger

Découvrez le top 10 des grandes villes dans lesquelles le prix du loyer est le moins cher de France. Qui est sur le podium ?

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Podium des villes les moins chères : Saint-Étienne, Mulhouse & Brest

Saint-Étienne avec 7,8 €/m² (+ 0,3 %), Mulhouse avec 8,3 €/m² (- 2,1 %) et Brest avec 8,5 €/m² (+ 1,5 %) sont cette année les trois villes les plus abordables de France en matière de location. En plein renouveau économique et urbanistique, parfaitement connectée à la grande métropole de Lyon, Saint-Étienne propose les loyers les plus bas de l’hexagone. Ces atouts conjugués à la hausse du nombre d’étudiants dans la ville (+ 15 % depuis 2014) devraient finir par doper la demande locative qui reste pour l’heure atone en centre-ville. Brest et Mulhouse, de par leur situation géographique excentrée, aux extrémités ouest et est du pays, n’en demeurent pas moins intéressantes. Brest s’ouvre sur l’océan Atlantique tandis que Mulhouse offre une porte sur le très dynamique voisin allemand.

Avec des loyers abordables, Angers offre une qualité de vie inégalée

Si l’on devait conseiller une destination locative aujourd’hui, c’est indiscutablement vers Angers que nos regards se tourneraient. Son loyer moyen de 10,4 €/m², en baisse de – 1,2 % sur un an, ne reflète pas la qualité de vie offerte par cette belle cité des pays de Loire !

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A lire aussi :

Immobilier : les événements marquants de 2017 @SeLoger

Source : Se Loger

L’année 2017 a été riche en émotion pour le marché de l’immobilier et du logement. Nous vous invitons donc à retrouver les 5 temps forts les plus marquants de cette année !

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1. En 2017, l’immobilier a connu des transactions historiques

S’il y a bien une chose qui a marqué l’année 2018 dans le secteur immobilier, c’est le nombre record des ventes au niveau national : près d’un million de transactions immobilières ont été enregistrées d’après les derniers chiffres communiqués par la Fédération Nationale de l’Immobilier (FNAIM). De quoi marquer une progression de près de 17 % par rapport au précédent record de 845 000 transactions en 2016. Seul petit bémol, la hausse des prix des logements qui en résultent et qui réduit désormais le pouvoir d’achat des Français dans certaines zones…

2. Une hausse considérable des prix immobiliers

Si le nombre des transactions immobilières a grimpé en flèche, les prix de l’immobilier, eux aussi se sont envolés. Le rythme de la hausse s’est accéléré au point que depuis juillet 2017, les progressions constatées sur l’année étaient de l’ordre de 4,5 %. Une hausse considérable qui, petit à petit, a fermé le marché aux ménages modestes et aux plus jeunes d’après Michel Mouillart, Professeur d’économie à l’université Paris-Ouest et porte-parole du baromètre LPI-SeLoger. À Bordeaux, par exemple, les prix des logements ont augmentés de 12 % sur un an. Au Mans, à fin octobre, les prix immobiliers avaient augmenté de plus de 13 % sur un an… Et d’autres villes comme Paris ou Lyon ont vu leurs prix immobiliers progresser de 7 à 8 % sur l’année. Finalement, seules quelques villes comme Limoges, Clermont-Ferrand, Dijon, Saint-Etienne ou Le Havre ont vu leurs prix baisser.

3. Les permis de construire ont atteint des niveaux records

Le logement neuf a enregistré de belles performance en 2017 : le seuil symbolique des 500 000 autorisations de construire a même été franchi en 1 an, un record depuis 2013 !

——> Voir les autres évènements marquants de l’année…

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Maisons & Cités : S&P Global Ratings confirme sa note « A+ » @SPGlobalRatings @maisonsetcites

Source : S&P Global Ratings

Le 23 octobre 2017, S&P Global ratings a confirmé la note  « A+ » pour Maisons & Cité SA d’HLM, et révise la perspective à négative.

maisons & cités

La révision de la perspective à négative reflète principalement l’annonce gouvernementale, dans le cadre du projet de loi de finances pour 2018, d’une baisse des loyers du parc social à partir de 2018, dont nous considérons qu’elle pourrait avec un impact négatif sur la rentabilité, la capacité de génération de trésorerie et l’endettement du groupe Maisons & Cités. La note de Maisons & Cités S.A. d’HLM reflète notre appréciation de son caractère essentiel pour le groupe Maisons & Cités.
Aussi, nous alignons la note de Maisons & Cités S.A. d’HLM sur notre estimation de la qualité de crédit du groupe, que nous estimons à « a+ ». Notre estimation du caractère essentiel de Maisons & Cités S.A. d’HLM pour le groupe Maisons & Cités reflète son statut de principale entité opérationnelle au sein du groupe, dont elle représente l’essentiel des revenus.

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Baisse des APL : le Mouvement HLM a rencontré le 1er ministre @UnionHlm

Source : Union Sociale pour l’Habitat

Le mouvement HLM a rencontré le 1er ministre, Édouard Philippe, ce mercredi 25 octobre, dans le but de demander un moratoire sur la baisse des APL

L'union sociale pour l'habitat

Cette reprise du dialogue et l’examen des propositions du Mouvement Hlm autour de la TVA est un des éléments nécessaires à la sortie de crise provoquée par la décision prise par le Gouvernement, sans aucune concertation, d’imposer aux bailleurs sociaux de compenser, à hauteur de 1,7 milliard d’euros, la baisse des APL pour les locataires du parc social.

Un prélèvement portant sur les loyers des locataires du parc social est à la fois infondé – il n’y a aucun effet inflationniste des APL dans le parc social, où les loyers sont réglementés – et mortifère pour le logement social, et donc la solidarité nationale. Il fait porter un risque systémique majeur au logement social, dont les conséquences n’ont manifestement pas été évaluées. Au-delà des 1,7 milliard d’euros inscrits dans le projet de loi de finances, l’Union rappelle que la « facture » totale, incluant les autres prélèvements prévus sur les organismes Hlm (contribution au Fonds national des aides à la pierre, gel des loyers, etc.) s’élève dans les faits à 2 milliards d’euros, ce qui est un coup sans précédent porté à l’encontre du logement social et des missions qu’il incarne.

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Logement social : les chiffres de la Région Auvergne-Rhône-Alpes @AlilaPromoteur @auvergnerhalpes ‏

Source : Alila Promoteur

Alila, promoteur immobilier spécialisé dans la construction de logement social, fait l’analyse du logement social en région Auvergne-Rhône-Alpes.

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Après les chiffres du logement social en France, voici les chiffres de la Région Auvergne-Rhône-Alpes qui comptait 545 100 logements sociaux au 1er janvier 2016, soit un ratio de 16% de logements sociaux par résidence principale. Ce chiffre important s’explique notamment par la présence de la métropole lyonnaise qui, à elle seule, représente 27% de ce parc locatif.

Un loyer plus élevé que la moyenne

A noter toutefois que, dans la région, les loyers de ce demi-million de logements sont en moyenne plus élevés que dans les autres régions (hors Île-de-France). Ainsi, le loyer hors charges est en moyenne de 5,5 euros/m2 habitable quand il est, en moyenne, de 5,4 euros/m2 habitable. Cela représente, par exemple, sept euros d’écart pour un logement de 70m2. C’est en Haute-Savoie, dans la métropole lyonnaise et en Isère que les tarifs les plus hauts sont pratiqués. Si l’on inclut la région Île-de-France, la moyenne nationale grimpe à 5,7 euros/m2 habitable, et Auvergne-Rhône-Alpes se retrouve alors sous la moyenne nationale.

Une performance énergétique à améliorer

L’hiver est-il plus rugueux dans la Région qu’ailleurs en France ? Toujours est-il qu’en Auvergne-Rhône-Alpes, la consommation énergétique des logements sociaux est, en moyenne, plus élevée que dans les autres régions de métropole

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