Archives de Catégorie: commerces
K&B intègre le GAIA index grâce à sa politique RSE @KaufmanetBroad
Source : Kaufman and Broad
Kaufman and Broad vient d’intégrer, le 23 octobre 2017, l‘indice Gaia en récompense à son engagement dans sa politique de RSE.

Créé en 2004 par le cabinet Ethifinance, le Gaia-Index a pour objectif d’évaluer les performances extra-financières des PME-ETI françaises cotées en Bourse et regroupe dans un classement annuelles 70 meilleures entreprises du panel étudié au cours de l’année. Au total, 117 critères sont analysés concernent la transparence et la performance des entreprises dans les 5 domaines suivants :
-Données économiques
-Gouvernance
-Social
-Environnement
-Parties prenantes externes
Ce panel regroupe 230 entreprises «small et mid caps», dont le titre boursier est jugé suffisamment liquide par Gaia-Index et respectant deux des trois critères suivants : avoir un chiffre d’affaires inférieur à 5 milliards d’euros ; une capitalisation boursière inférieure à 5 milliards d’euros ; un nombre de salariés inférieur à 5000.
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Frey : label Valorpark pour Shopping Promenade Amiens @CNCC_Officiel @Antoine_Frey
Shopping Promenade Cœur de Picardie obtient le label Valorpark ®
C’est à l’occasion de l’inauguration de
Shopping Promenade, le 18 octobre,
que le groupe Frey s’est vu remettre le label Valorpark®.
A la suite de l’examen du dossier et de la visite du site, le jury a décerné ce label à l’unanimité de ses membres. Ce dernier a souligné notamment la grande originalité de la réalisation et la prise de risque des concepteurs dans leur volonté de rompre avec les codes habituels. 12e site du groupe à être labellisé, Shopping Promenade constitue une réalisation innovante et nouvelle ; le groupe Frey a su remettre à plat son concept de GreenCenter qui a fait sa réputation. La végétalisation du site, la place réservée au street art et aux espaces de loisirs originaux ainsi que la volonté de créer des ruptures dans la linéarité des enseignes font de Shopping Promenade un objet à part entière qui lui permettra sans nul doute de connaître une grande réussite. En développant la zone nord d’Amiens, Shopping Promenade s’inscrit dans un rééquilibrage commercial de la métropole tout en lui permettant également d’élargir la zone de chalandise à l’ensemble du département.
Quadral achète 2700m² de bureaux à Bussy St Georges @QuadralTransac !
Source : Quadral
La foncière Quadral a réalisé l’acquisition d’un immeuble de bureaux de 2700m², GOBACAP, à Bussy Saint Georges (77).

L’investissement, s’inscrit dans la stratégie de développement du patrimoine tertiaire de Foncière Quadral. L’immeuble GOBACAP déploie une surface de 2 769 m² sur un bâtiment de quatre étages, loué à 100 % sur la base de baux commerciaux classiques.
La gestion de cet immeuble a été confiée à Quadral Property, filiale du groupe Quadral en charge de la gestion immobilière et technique pour le compte des bailleurs institutionnels.
L’acquéreur a été conseillé et accompagné par Maitre Benjamin Jacquin et Maitre Virginie Lampone (Etude 51 Montaigne).
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Emmanuelle Hoss nommée DG de la Semaest @Semaest @EmmanuelleHoss
Directrice générale adjointe de la Semaest depuis 2014, Emmanuelle Hoss, 45 ans, est nommée aujourd’hui Directrice Générale.
Avocate de formation, titulaire d’un DEA en Droit des Affaires et d’un Master de droit à la Northwestern University of Chicago, Emmanuelle Hoss démarre sa carrière en 1996 en tant qu’avocate à la Cour d’appel de Paris.
A partir de 2001, elle entre à la Mairie de Paris comme conseillère technique auprès de Christian Sautter, Adjoint au maire de Paris, chargé du développement économique des finances et de l’emploi où elle traite notamment les dossiers concernant le développement économique et l’innovation.
En 2006, Emmanuelle Hoss rejoint Medicen Paris Région en tant que directrice déléguée du pôle compétitivité des technologies innovantes pour la santé et les nouvelles thérapies….en savoir plus…
Petits-commerçants, petits e-marchands, même combat? Jonathan Sebbane DG @GroupeSogaris
Tribune de Jonathan Sebbane, Directeur Général de Sogaris
Petits-commerçants, petits e-marchands, même combat?
Mesurons ensemble combien, en deux décennies, nos habitudes de consommation ont connu un véritable « big bang ». Nous sommes passés de la vente par correspondance au e-commerce sur nos smartphones, d’une livraison en un mois à une heure à peine, de la gestion des stocks à l’arrière-boutique aux chaines logistiques suroptimisées, de l’étiquetage manuel du carton aux flashcodes que quiconque peut générer… Aujourd’hui absolument tout se choisit, se compare, s’achète et se vend en ligne. Avec plus d’un milliard de transactions en 2016 et une progression de quasiment 20% du chiffre d’affaire du e-commerce en 10 ans (73 M€ en 2016, sources : CBRE, FEVAD), c’est bien l’ensemble des circuits de distribution qui se transforment dans des proportions considérables.
Si le débat public oppose régulièrement les géants du e-commerce au commerce de proximité, la concentration grandissante du secteur du e-commerce doit également nous interroger sans naïveté : car notre tissu commercial n’est plus seulement physique, il est également virtuel – et le maintien de sa diversité est un enjeu essentiel pour les consommateurs, particuliers ou professionnels.
Que l’on comprenne : les débuts prometteurs, parfois avec une croissance rapide et forte, d’un certain nombre de e-marchands se heurtent inévitablement aux contraintes structurelles de stockage, de transport et surtout de livraison des derniers kilomètres. Critère discriminant pour plus de 60% des achats réalisés par Internet, la livraison est en effet devenu un avantage concurrentiel majeur dans la compétition entre e-marchands.
Le problème devient dès lors très simple : sans logistique urbaine accessible, point de salut pour les petits ou moyens e-commerçants qui se verront trop souvent proposer des surfaces disproportionnées et des frais de transport prohibitifs, une fois leurs premiers moyens de stockage (le plus souvent le garage ou la chambre d’ami) devenus insuffisants. Deux solutions s’ouvrent alors à eux : limiter leur croissance ou utiliser les plateformes (web, logistique et de transport) des géants du secteur qui n’ont pas nécessairement intérêt à accompagner une croissance rapide d’un éventuel futur concurrent…ainsi disparaissent nos e-marchands, absorbés ou asséchés par plus gros et plus puissants qu’eux.
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