Archives du 19 août 2019

4ème pilier de l’économie circulaire : le réemploi @Bouygues_C @MEL_Lille

          Source : blog bouygues construction

 

Le réemploi, quatrième pilier de l’économie circulaire

Réemployer les matériaux issus de rénovation ou de déconstruction, l’idée fait son chemin. Il faut dire qu’elle a de quoi séduire. Car en réactivant cette pratique séculaire, on gagne sur tous les plans : nouvelles filières de valorisation, matériaux à faible coût, amélioration du bilan carbone des opérations… La liste est longue. Reste à lever les freins.

Opération significative, mais cette fois-ci à l’échelle d’un quartier : celle de la Maillerie, dans la métropole lilloise.

Cet ancien site logistique des Trois Suisses va être reconverti en un quartier multiusage. Là aussi, on expérimente le réemploi. « Ce type de projet – un nouveau quartier sur une friche industrielle – est idéal pour éviter de sortir des déchets et optimiser le réemploi », explique Thierry Juif. Ainsi les bétons de déconstruction sont réemployés en granulats recyclés pour fabriquer du béton. Un classique. Moins commun en revanche pour Thierry Juif, la nouvelle vie des parquets en chêne massif. « Ils ont été en partie revendus à un fabricant. Celui-ci va les découper dans l’épaisseur pour réaliser la couche de finition de parquets contrecollés. Avec une lame il va en faire cinq ! »

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Mieux faire respirer la ville : l’agriculture urbaine pourrait-elle être une solution ? @nexity #Enviesdeville

   Source : Envies de ville by Nexity

Alors que nos villes sont confrontées à de multiples défis environnementaux et que les citadins expriment de plus en plus leur souhait d’accéder à une alimentation locale et durable, l’agriculture urbaine se développe à toute vitesse. Quelle est cette « nouvelle » forme d’agriculture ? Comment s’intègre-t-elle dans l’aire urbaine ? Et quels sont ses bénéfices ?

L’agriculture urbaine : de quoi parle-t-on ?

L’agriculture urbaine regroupe différentes pratiques visant à faire pousser des fruits, des légumes et autres végétaux, au sein des villes. Autrement dit, au sommet des immeubles, dans des espaces de verdure, dans des containers ou dans des fermes verticales, par exemple. L’agriculture urbaine peut également constituer une activité d’élevage. Aux Pays-Bas par exemple, au milieu du port de Rotterdam, existe ainsi depuis 2019 la première ferme urbaine et flottante à l’énergie solaire, avec ses vaches laitières.

Quels bénéfices pour le consommateur et la collectivité ?

Une activité créatrice de cohésion sociale 

Au sein des villes, les fermes urbaines et même les simples lopins de terre cultivés par les habitants d’un même quartier, créent un lien social fort. Les jardins d’insertion notamment donnent une chance aux personnes exclues du monde du travail de retrouver un emploi.

Une activité créatrice d’attractivité économique et environnementale 

Pour les modèles non associatifs, la capacité dans le temps à atteindre un équilibre économique voire même à dégager une rentabilité est souvent sujette à débat. Le coût initial des installations en milieu urbain est élevé et rarement porté par l’utilisateur agricole lui-même. Aujourd’hui, ce sont souvent les co-bénéfices environnementaux, sociaux et d’attractivité qui poussent les investisseurs à soutenir ces formes émergentes. Les structures du secteur se diversifient pour pérenniser leurs exploitations : animations, ateliers, vente de produits transformés à haute valeur ajoutée, restauration, services aux entreprises… L’agriculture urbaine cherche encore son modèle économique

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Paris aspire à plus de mixité sociale dans les quartiers @paris

       Source : drihl

 

La conférence parisienne du logement a axé sa nouvelle séance plénière tenue le 12 juillet sur la mixité sociale. Co-présidée par Isabelle Rougier, directrice régionale, et interdépartementale de l’habitat et du logement, représentant le préfet de Paris Michel Cadot, et Ian Brossat, adjoint à la maire de Paris chargé du logement, de l’habitat durable et de l’hébergement d’urgence, elle a adopté dans cet objectif, des orientations stratégiques en faveur de la mixité sociale des quartiers à travers la définition d’une politique d’attribution des logements sociaux partagée et transparente.

La conférence du logement de Paris, installée en juin 2018, répond au vœu du législateur de constituer une instance commune de réflexion et de dialogue de l’ensemble des acteurs autour de la question de la politique des attributions de logements sociaux. Une idée sous-tend la création de cette instance : la transparence des politiques d’attribution de logements sociaux.

L’attractivité de Paris, combinée à la rareté du foncier, aux prix très élevés du marché immobilier et des loyers du parc privé intensifient la pression sur le parc social parisien. Face au déséquilibre entre l’offre et la demande de logement social accentué par une faible mobilité dans le parc social, la définition d’une politique d’attribution des logements sociaux partagée et transparente représente un défi majeur.

Allier collectivement le droit au logement et la mixité sociale

Le document d’orientations stratégiques adopté le 12 juillet est l’aboutissement d’un long travail collaboratif, conduit entre l’État départemental, les élus parisiens, les bailleurs sociaux, les réservataires et le monde associatif.

Un ambitieux travail collectif a été réalisé afin de trouver un équilibre entre des objectifs qui pouvaient paraître parfois contradictoires : l’accès au logement des ménages les plus fragiles et l’accompagnement social de ces ménages, la mixité sociale, la mobilité dans le parc social, l’égal accès des ménages à l’ensemble du parc, le maintien des classes moyennes dans le parc social ou encore la rénovation urbaine.

La mixité sociale est le fil conducteur de ces orientations stratégiques qui doivent s’appliquer sur un territoire aussi spécifique que celui de Paris.

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L’immobilier de bureaux lillois en tête de tous les marchés régionaux @MEL_Lille @villedelyon @agorabiz

      Source : agora biz by se loger

Lille et les Hauts-de-France en tête des investissements de bureaux

Selon une étude réalisée par Cushman & Wakefield, le second trimestre confirme la redistribution des cartes entre les métropoles régionales au niveau des volumes d’investissement. La région Rhône Alpes perd sa position de leader au profit des Hauts de France qui, avec 456 M € de cession concentrent 22 % de l’investissement régional. La métropole lilloise, avec 340 M €, se montre très dynamique notamment au niveau des transactions d’immeubles neufs, vient ensuite l’Occitanie à 18 % portée par l’acquisition par Real IS du campus Aurora occupé par Airbus. La région PACA bénéficie de l’appétit des investisseurs étrangers avec l’acquisition par Kanam Grund de « MSquare » et « 300 Prado » à Marseille. Auvergne Rhône Alpes frôle les 200 M €, loin de ses performances passées. La métropole lyonnaise a capté 130 M €, faute de produits. Elle n’a pas pour autant dit son dernier mot, pouvant combler son retard par quelques belles transactions lors du second semestre.

investissement bureaux

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