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« Les Dessous de Paris” : Zoom sur l’urbanisme souterrain @Demain_la_Ville

Source : demainlaville.com

demain la villeDepuis quelques années, les questions liées à l’urbanisme souterrain ont le vent en poupe. Dans ces même colonnes, un certain nombre d’articles ont été publiés sur le sujet, rappelant sous divers angles les potentiels urbanistiques, architecturaux et sociétaux -, en même temps que les blocages et contraintes associés traditionnellement à ce mode d’aménagement. A la fois coûteux (notamment à cause des difficultés à rendre viable un espace enterré) et pas forcément très ragoûtant pour le commun des citadins, l’aménagement des souterrains urbains compte par ailleurs une multitude de potentialités stratégiques pour donner corps aux villes de demain.

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Concept « Habiter l’infini » : Nouvelle forme d’habitat ? @CaissedesDepots

Source : caissedesdepots.fr

Caisse_Des_depots_et_consignation Lauréat du Grand Prix « Le Monde Smart Cities 2017 », le concept « Habiter l’infini » part du principe de l’économie collaborative où on profite au maximum des espaces inoccupés. Il propose de diminuer la sphère intime au profit d’espaces partagés que l’on peut réserver grâce à une « boussole numérique ».

Le point avec le fondateur du concept :

A l’heure où l’on parle beaucoup de la smart-city, quelle définition en donnez-vous ?

Ma définition de la smart city « c’est le numérique qui arrive dans la ville. Les villes étaient intelligentes avant qu’il n’arrive et, pour moi, il doit décupler ses intelligences ! Au pluriel, car dans ce mot, j’inclus l’intelligence rationnelle mais aussi imaginative, sensible et l’intelligence sociale. Ce qui est certain, c’est que le numérique doit servir l’homme et être conçu en fonction de lui. Dans mon projet Habiter l’infini, il y a du numérique bien sûr, mais la clef de voûte ce sera le gardien qui deviendra une sorte de community manager, aidé de son application d’e-conciergerie. Je pense que la smart city doit être vue sous cet angle, autrement on va être géré par des algorithmes et des intelligences artificielles, ce qui est dangereux.

En quoi votre concept « Habiter l’Infini » renouvèle-t-il l’habitat urbain ?

Ce concept part du constat qu’aujourd’hui il est de plus en plus difficile de se loger dans les grandes villes : il n’y a pas assez d’espace, le prix du mètre carré est très cher.

Avec Habiter l’Infini, nous avons trouvé la réponse à cette problématique : ne plus aborder l’habitat seulement par l’espace, mais plutôt en combinant espace et temps. Sur une journée, on s’aperçoit qu’il y a énormément d’espaces qui sont inoccupés ou très peu utilisés. Si on trouve le moyen de les utiliser plus fréquemment, on peut alors construire le même nombre de mètres carrés avec plus de personnes qui pourront en profiter. L’espace d’un habitant augmentera, variant selon ses besoins. Cela se présente sous cette forme : chaque habitant ou famille dispose d’un appartement privé où dormir, manger, avec les commodités habituelles, le tout dans des dimensions plus réduites qu’à l’accoutumée. Cela leur permet de disposer en plus d’espaces complémentaires qu’ils peuvent utiliser ou réserver en fonction de leurs besoins ou de leurs envies du moment. Une grande salle à manger, des chambres pour recevoir la famille ou des amis, un bureau pour un certain temps afin d’y travailler plus à l’aise, un endroit pour lire au soleil, etc. Ces espaces se réservent via une application mobile, c’est la « boussole numérique » du bâtiment.

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Le jardin fait son retour en milieu urbain @3F_Officiel @actionlogement

Source : 3f-ecoresponsable.fr

https://leblogdesinstitutionnels.fr/wp-content/uploads/2017/03/3f-logo-action-logement.jpg

Et si vous jardiniez en bas de chez vous avec des professionnels !

Tel est l’exemple qu’aimerait donner la coopérative Pistyles. Le milieu urbain est souvent considéré comme des espaces réservés pour faciliter les activités liées au commerce, à l’industrie, l’éducation, la politique et la culture. D’autres activités, comme par exemple le jardinage, sont toutefois envisageables, mais elles sont jusque-là peu considérées. La coopérative Pistyles, conscientes de la dimension esthétique du jardinage et les relations de l’homme avec la nature, a lancé un projet à dimension écologique et sociale où elle invite les voisins à filer leurs bottes pour aller remuer la terre.

Innovante, cette Société Coopérative d’Intérêt Collectif met en relation des jardiniers professionnels et des riverains afin de jardiner ensemble les espaces de copropriété. Vous connaissiez le boulanger de quartier ou l’épicier du coin de la rue, voici le « jardinier de proximité » !

Thomas Gentilleau, ingénieur du paysage et initiateur du projet a tout de suite compris la dimension sociale d’un telle initiative et a fait du lien social le cœur de sa démarche. Dans cette perspective, il s’est associé avec Morgan Clément, psychologue social qui «a étudié le lien entre l’homme et la nature en ville».

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Rendre attractifs les sites commerciaux ! @AmiensMetropole @cmarkea @brigittefoure #ArkeaImmobilier

brigitte Ancienne préfecture de la région Picardie, Amiens, après Lille, est la commune la plus peuplée de la région Hauts-de-France avec environ 135 000 habitants. La communauté d’agglomération Amiens Métropole, créée en 2000, compte 33 communes et environ 180 000 habitants. La ville a su préserver un commerce de centre-ville dynamique, et Brigitte Fouré, maire d’Amiens, s’attache à développer son accessibilité et son attractivité. Explications.

L’attractivité passe aussi par la beauté du site

« Avec les commerçants de la place Gambetta, nous cherchons à retrouver l’axe de visibilité créé par la piétonisation. Il s’agit de réaménager les terrasses des cafés différemment en permettant aux promeneurs de découvrir les monuments, la cathédrale notamment ». Brigitte Fouré est attachée à la beauté de sa ville. Une esthétique qui doit s’imposer dans les moindres détails. L’unité de couleur des mobiliers de terrasse, le choix des matériaux, les corbeilles, le mobilier urbain, la propreté, bien évidemment. « Nous fonctionnons beaucoup avec la fédération des commerçants, qui regroupe plusieurs associations professionnelles. La grande majorité des points de vente est convaincue du bien-fondé de cette approche et s’investit beaucoup. »

La maire d’Amiens a également utilisé l’outil PLU pour intervenir en limitant la présence des banques et assurances sur l’accès piétonnier.

Ceci est un extrait du nouveau livre Blanc publié par Arkéa Banque E&I  >>> Réservez dés maintenant un exemplaire de « Regards sur nos commerces »

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L’innovation au cœur du commerce urbain @Angers @KarineEngel49 @cmarkea #ArkeaImmobilier

Angers livre blanc Angers, ville d’environ 150 000 habitants du département de Maine-et-Loire s’attache à préserver ses commerces de centre-ville. Karine Engel, adjointe au maire, chargée du commerce, de l’artisanat et des professions libérales mène, avec son équipe, de nombreuses actions pour accompagner les commerçants et artisans de proximité et préserver les équilibres entre zone commerciale de centre-ville et centres commerciaux en périphérie.

Créer du trafic, fidéliser et innover

A la préemption, Karine Engel préfère l’innovation « avec des espaces dédiés à des boutiques “à l’essai”, pour aider les porteurs de projets. La limite de leur efficacité reste cependant l’emplacement et la durée du bail. Peut-être faut-il tester sur au moins un an ? s’interroge-t-elle, car il y a les problèmes de saisonnalité. J’aimerais qu’il existe également un outil d’accession à la propriété pour le commerce, un “bail social”, avec possibilité d’accession, comme il y en a dans le domaine du logement. Nous sommes en train d’y réfléchir ».

Côté trafic, la ville s’investit également en mobilisant tous ses services et l’expertise des acteurs locaux. À l’image de l’opération «Soleil d’Hiver», autour du marché de Noël, qui a été menée en associant l’Office du Tourisme, la CCI et le service Culture de la ville.

« Nous travaillons aussi pour redessiner de nouveaux parcours en ville, pour que le cheminement culturel soit en lien avec la dynamique commerciale. Cela permet de repositionner des rues qui souffrent un peu plus que d’autres. Il y a aussi des actions que nous menons comme une garderie gratuite, la livraison des colis à domicile, des grooms en ville pour renseigner les passants sur les commerces… ». Lire la suite

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