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Immobilier neuf ou ancien, comment choisir ? @CAFPIPRET @Galivel
Source : Galivel
Au moment de l’achat, comment choisir entre le neuf et l’ancien ?
Quels sont les facteurs clés à prendre en compte ?
L’an prochain, avec l’application du remaniement du prêt à taux zéro annoncé par le Gouvernement, les acquéreurs vont devoir refaire leurs calculs avant d’acheter. La bonne nouvelle ? Le prêt à taux zéro (PTZ) est reconduit, alors qu’il devait s’arrêter au 31 décembre 2017. Toutefois, le projet de loi de Finances pour 2018 prévoit :
– dans le neuf, le PTZ est recentré sur les zones tendues ; il ne pourra être demandé à son niveau actuel que par les primo-accédants des zones A, Abis et B1 à partir de l’année prochaine. Les zones B2 et C, quant à elles, bénéficieront à présent d’un PTZ mais uniquement avec au maximum 20% de la somme totale emprunter ;
– dans l’ancien, le PTZ est ciblé sur les zones non tendues ; il ne pourra être demandé que par les primo-accédants des zones B2 et C, afin de contribuer à rénover des logements existants.
Les autres critères (conditions de ressources et composition de la famille, montants plafonds des opérations, quotités, différés, etc.) sont pour l’instant inchangés.
Le neuf globalement plus cher que l’ancien ?
C’est un réflexe de consommateur, accru par l’essor des comparateurs en ligne : le prix de vente affiché est souvent le critère prédominant dans le choix avant d’acheter. L’immobilier n’échappe pas à cette règle : de nombreux acquéreurs préfèrent se tourner vers l’ancien, qu’ils jugent d’emblée moins onéreux que le neuf. Toutefois, des exceptions existent, selon les villes et les quartiers : un logement ancien haut de gamme sans défaut, en excellent état et décoré au goût du jour, pourra parfois se vendre bien plus cher qu’un logement neuf.
Des frais non négligeables
Mais encore faut-il faire ses calculs et prendre notamment en compte les frais liés à une acquisition immobilière :
– dans le neuf, les logements neufs sont soumis à la TVA à 20 %, parfois réduite à 5,5 % pour les primo-accédants dans les zones ANRU (renouvellement urbain) ou les périmètres adjacents. De plus, les ventes de logements neufs sont soumises à des droits de mutation réduits, représentant entre 1 et 2 % du prix du bien
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Nouvelles règles des APL, de la loi Pinel et du PTZ @century21fr
Source : Century 21
PTZ, Loi Pinel, APL… Plusieurs modifications vous attendent pour les prochaines années. Découvrez les nouvelles règles annoncées par le Gouvernement.
Le PTZ : reconduit mais modifié
Si le précédent gouvernement avait décrété la fin du Prêt à taux zéro (PTZ) en décembre 2017, la nouvelle majorité présidentielle semble décidée à le reconduire en 2018, et pour quatre années supplémentaires, mais assorti de dispositions inédites. Il est vrai que le dispositif coûte quelque 2 milliards € chaque année et que l’État recherche des économies tous azimuts. Toujours est-il qu’après de nombreuses annonces contradictoires, il apparaît que le PTZ accordé pour des acquisitions dans le neuf serait maintenu tel quel à l’instar de l’ancien avec rénovation dans les zones B2 et C qui représentent tout de même près de 70% du territoire. En revanche, pour ces dernières zones, s’il subsisterait également pour le neuf pendant deux ans, il ne financerait plus que 20% du prix d’achat au lieu de 40%. Cela dit, au rythme actuel des déclarations gouvernementales, nul n’est à l’abri d’une mauvaise surprise à cet égard lors de l’établissement définitif de la prochaine loi de finances mais d’ores et déjà les constructeurs de maisons individuelles ont fait part de leurs inquiétudes.
Loi Pinel : prolongée quatre années.
Après bien des soubresauts, la loi Pinel qui autorise une défiscalisation de l’immobilier, est reconduite pour 4 années. Cependant, des restrictions territoriales ont été incluses puisque seules les zones tendues, comprenez « urbaines », sont conservées en l’état tandis que les secteurs ruraux (B2 et C) n’entreront plus dans le champ d’application de la loi.
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@Institutionnels @royojm @AlexandraPoloce
Le PTZ+, version 2016
Afin de favoriser l’accession à la propriété, le prêt à taux zéro plus est renforcé en 2016, voire simplifié. Des conditions plus favorables pourront faciliter un financement des ménages souhaitant s’engager dans une opération d’accession sociale à la propriété.
De manière constante, ces dernières années, les modalités du PTZ+ sont retouchées par la loi de finances adoptée en décembre. Par conséquent, les offres de prêt, émises à compter du 1er janvier de la nouvelle année, sont régies par des dispositions correspondant aux objectifs en matière d’accession à la propriété annoncés généralement au dernier semestre de l’année précédente.
L’année 2016 ne dérogeant pas à la règle, l’article 107 de la loi n° 2015-1785 du 29 décembre 2015 de finances pour 2016 comporte des évolutions, afin d’élargir l’accès à ce financement.
Ces évolutions concernent :
– le périmètre géographique du PTZ+ dans l’ancien avec travaux ;
– les plafonds de ressources des emprunteurs ;
– le maintien du prêt ;
– le montant de l’achat pouvant être financé par le PTZ+ ;
– le différé de remboursement.
Le présent article expose les grandes lignes du PTZ+, applicable aux offres émises à compter du 1er janvier 2016, en mettant l’accent sur les points nouveaux.
Financement de logements neufs et anciens destinés à la résidence principale de l’emprunteur
La loi de finances pour 2015 avait réintroduit la possibilité de financer l’acquisition de logements anciens, sous condition de travaux. Toutefois, seules les opérations réalisées dans certaines communes, dont la liste était fixée par arrêté, étaient éligibles.
Pour les offres de prêt émises à compter du 1er janvier 2016, cette condition géographique est supprimée : ce sont les acquisitions, sous condition de travaux, des logements anciens situés sur le territoire national, qui peuvent désormais être financées par un PTZ+.
Les modalités relatives aux travaux ne sont pas modifiées : l’acquéreur doit présenter un programme de travaux d’amélioration à réaliser dans un délai maximum de trois ans à compter de la date d’émission de l’offre de prêt, sauf exceptions (décès de l’emprunteur, accident de santé entraînant une interruption temporaire de travail d’au moins trois mois, état de catastrophe naturelle ou technologique, contestation contentieuse de l’opération ou force majeure). La quotité minimale des travaux est fixée à 25% du coût total de l’opération…en savoir plus…
Cet article est extrait du n°1027 d’Actualités habitat du 30 janvier 2016
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