Archives Mensuelles: avril 2018

Paris : 7 arrondissements dépassent la symbolique barre des 10 000€ du m2 @seloger

source : se loger

Immobilièrement parlant, les prix au m² dans la capitale continuent de prendre rapidement de l’altitude et de se rapprocher de la stratosphère. La question n’est plus désormais de savoir quels arrondissements voient les prix de leurs logements augmenter mais lesquels enregistrent les plus fortes progressions.

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Dans 3 arrondissements, la hausse des prix au m² dépasse 10 % sur l’année

Alors qu’au global, Paris enregistre une hausse annuelle de 8 %, certains de ses arrondissements font encore plus fort ! Jugez plutôt, dans les Ier (Les Halles, Palais-Royal), VIIe (Invalides, École-Militaire) et XVIIIe (Lamarck-Caulaincourt, la Goutte-d’Or) arrondissements, les prix des logements gagnent plus de 10 % sur les douze derniers mois. Avec un gain annuel de 9,2 % et de 9,6 %; les VIe et XI avoisinent les 10 % de hausse, réalisant ainsi de solides progressions. Encore une fois, aucun des vingt arrondissements que compte Paris ne voit les prix de son immobilier ancien baisser. Quant à la progression la plus faible (enfin, si l’on peut dire…), c’est dans le IIIe qu’elle a été relevée. Du passage de l’Ancre à la rue du Bourg-L’Abbé, en passant par la rue de Turbigo et le boulevard de Sébastopol, les prix des appartements n’augmentent « que » de 3,5 %.

Des prix au-delà de 10 000 € au m² dans 1/3 des arrondissements parisiens

Cela ne vous aura pas échappé : qu’il s’agisse d’investir dans la pierre locative ou tout simplement de se loger, devenir propriétaire d’un appartement à Paris coûte cher. Très cher, même. Pour preuve de cette flambée des prix immobiliers parisiens, le club fermé des arrondissements dont le ticket d’entrée dépasse les 10 000 € du m² n’est plus si fermé que ça… En font désormais partie pas moins de 7 arrondissements. Il s’agit des IIIe (10 387 € du m²), IVe (11 673 €), Ve (10 960 €), VIe (13 012 €), VIIe (13 131 €), VIIIe (10 924 €) et XVIe (10 803 €) arrondissements. Et comme le fait remarquer Michel Mouillart, professeur d’économie à l’université Paris-Ouest et porte-parole du baromètre LPI-SeLoger, les prix « se rapprochent des 10 000 € du m² dans trois arrondissements » : les IIe (9 973 €), IXe (9 707 €) et XVIIe (9 772 €).

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Un lien entre l’accession à la propriété et le chômage ? @InseeFr

Source : Insee

Depuis déjà 50 ans, le nombre de propriétaires est en grande hausse. Mais alors, cette accession à la propriété aurait-elle des effets défavorables et négatifs sur l’emploi ?

Insee

Si le statut de propriétaire est généralement associé à une meilleure situation sur le marché du travail, une augmentation de la densité de propriétaires au niveau local va pourtant de pair avec une hausse du taux de chômage. Ce paradoxe, mis en évidence dans de nombreux travaux, est examiné ici pour la France, où la propriété s’est considérablement développée depuis cinquante ans. Il peut se comprendre comme la résultante de deux effets.

D’une part, les propriétaires sont effectivement moins souvent au chômage que les locataires : une plus forte densité de propriétaires joue dès lors mécaniquement à la baisse sur le taux de chômage. D’autre part, une forte densité de propriétaires peut engendrer des tensions sur le marché du logement : ces tensions sont susceptibles de compliquer la recherche d’emploi des chômeurs, par exemple en limitant leurs opportunités de trouver un logement à proximité des offres d’emploi. Les données des recensements successifs de la population entre 1968 et 2011 permettent d’estimer l’ampleur de ces effets pour la France. Il en ressort que le second effet l’emporte sur le premier : en particulier, une hausse de 10 points de la densité de propriétaires au niveau local serait associée à des frictions sur le marché du travail accroissant d’environ 1,3 point le taux de chômage local. La résultante des deux effets serait néanmoins d’ampleur modérée, à hauteur de 0,6 point sur le chômage local.

Des interactions entre marché du logement et marché du travail

Au-delà des réformes spécifiques du marché du travail, la mobilité géographique et professionnelle des travailleurs est souvent avancée parmi les pistes propres à réduire le taux de chômage (Amara et al., 2016).

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Nominations au sein de 3F @3F_officiel @actionlogement

Source : 3 F

Ce 19 avril, le conseil d’administration de Résidences Sociales de France a nommé Didier Jeanneau à la direction générale de cette société de 3F spécialisée dans le logement thématique (près de 20 000 places d’hébergement en France gérées par 98 associations partenaires). Il succède à Bruno Rousseau, nommé directeur général adjoint d’Immobilière 3F en charge de la gestion du patrimoine en Ile-de-France. Didier Jeanneau et Bruno Rousseau prendront leurs fonctions le 14 mai prochain.

Diplômé de l’ESCP, Didier Jeanneau, 54 ans, a été directeur financier au sein de plusieurs sociétés industrielles internationales avant de rejoindre 3F en 2002, en qualité de directeur général adjoint en charge des finances, de l’informatique et de l’audit. Depuis 2009, il occupait le poste de directeur de la gestion du patrimoine en Ile-de-France d’Immobilière 3F, gérant un patrimoine de près de 135 000 logements sociaux.

Titulaire d’un DESS d’aménagement et d’urbanisme de Sciences Po Paris, Bruno Rousseau, 53 ans, rejoint 3F en 2003 pour diriger l’agence départementale de la Seine-Saint-Denis. En 2009, il est nommé directeur général d’Immobilière Rhône-Alpes avant de prendre, en 2012, la direction générale de Résidences Sociales de France.

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Dialogue au sommet entre le Gouvernement et la Fédération des Epl @fedepl

Source : Fédération des Epl

Reçu à Matignon par le Premier ministre Édouard Philippe le 19 avril, Jean-Marie Sermier a plaidé en faveur du dynamisme et des spécificités des Epl dans le cadre du projet de loi ELAN.

Fin connaisseur des Entreprises publiques locales, notamment pour avoir créé la Spl des Docks lorsqu’il était maire du Havre, Édouard Philippe a pris bonne note du dynamisme des Epl, souligné par le Président Sermier, et de leur contribution à la modernisation de l’action publique locale. Il s’est donc prononcé en faveur d’une plus étroite concertation entre l’État et la FedEpl, en particulier dans les domaines de forte croissance des Epl (tourisme, énergies renouvelables, revitalisation des bourgs centres et des centres-villes, rénovation énergétique des bâtiments).

Concernant le projet de loi ELAN, Jean-Marie Sermier a rappelé le rôle moteur joué par les Epl dans l’ensemble des champs couverts par le texte, qu’il s’agisse de l’aménagement, de la revitalisation et du logement, souvent sous la forme d’un « couteau suisse » apporteur d’une réponse globale adaptée aux besoins de chaque territoire.

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Coworking, micro-working : où en sommes-nous en Ile-de-France ? @iauidf ‏

Source : IAU

L’IAU, L’Institut d’Aménagement et d’Urbanisme d’Ile-de-France, a répertorié les différents espaces de travail partagés sur le territoire d’Ile-de-France. Mais alors, où se trouvent tous ces espaces de Coworking, de bureaux mutualisés et de Micro-working. 

En Île-de-France, nous avons recensé 477 espaces de travail partagés offerts à la location. Ils sont accessibles avec un court préavis, voire à l’improviste, il s’agit notamment de 204 espaces de coworking, 204 bureaux mutualisés et 69 espaces de micro-working aménagés dans les gares. Il existe une grande diversité dans la taille de ces espaces, le public visé et les services qui y sont proposés.

Découvrez la carte interactive référençant tous les espaces de travail partagés en Ile-de-France

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