Archives du 17 janvier 2018

Save the date : JEP 2018 – 7 et 8 février 2018 @fpi_fr @A_FrancoisCuxac

Les 28èmes Journées d’Etudes Professionnelles de la FPI France se tiendront les 7 et 8 février 2018, à Paris, à l’hôtel Intercontinental Paris – Le Grand (2, rue Scribe, 75009 Paris)

Après la révolution numérique lors des JEP 2017, nous avons choisi cette année de concentrer notre réflexion sur la transition énergétique. En France le bâtiment représente 40 % des consommations d’énergie : en tant que maîtres d’ouvrage des bâtiments neufs, il y a  donc un rôle majeur à jouer dans la révolution nécessaire à l’atteinte des objectifs que la France s’est donnée, dans le Grenelle de l’environnement et, plus récemment, dans la loi pour la Transition écologique pour la croissance verte (TECV).

La transition énergétique soulève pour les promoteurs des défis comparables à la révolution numérique – les deux sont d’ailleurs étroitement imbriquées. Elle nous invite à un réexamen de nos stratégies, de nos produits et de nos méthodes.

Le sujet n’est pas nouveau pour les promoteurs, qui ont déjà assumé plusieurs réglementations thermiques en tentant de trouver le bon équilibre entre la performance environnementale et la maîtrise des coûts. Encore très récemment, la FPI a fait prévaloir une approche pragmatique de la question en obtenant la prolongation pour deux ans de la dérogation de 15 % dont bénéficie le logement collectif dans la RT 2012.

Mais ce thème de l’énergie s’enrichit et s’élargit au-delà des questions que nous connaissons bien, sur l’isolation ou le confort hivernal. D’une approche centrée sur les économies d’énergie, nous progressons vers une vision qui intègre la lutte contre les émissions de gaz à effet de serre et, in fine, le réchauffement climatique. Parler de transition énergétique, aujourd’hui, c’est parler aussi d’énergies décarbonées, du cycle de vie des bâtiments que nous produisons, des nouveaux matériaux que nous employons, de l’intégration de nos projets dans des écosystèmes énergétiques locaux (réseaux de chaleur ou smart grid) etc.

Pas de temps à perdre pour le monde HLM ! @_GEFILS

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Le choc de l’offre n’a fait baisser ni le prix du foncier, ni celui des logements. Et pourtant, 2017 aura été l’année de tous les records avec 952.000 ventes dans l’ancien et 500.000 demandes d’autorisation de construire accordées pour 400.000 mises en chantier. De quoi rendre serein plus d’un ministre du Logement.

Mais, derrière l’euphorie, on pouvait décelé quelques signes avant-coureurs de moments plus sombres. Tant dans l’ancien que dans le neuf, le marché du second semestre 2017 a émis quelques alertes, rappelant que le choc de l’offre ne s’était pas encore fait ressentir suffisamment fortement et que la bonne santé du marché n’était peut-être que conjoncturelle.

Dans les mois qui ont suivi l’élection du Président Macron, les choses se sont accélérées et que tout à coup, ressuscitant le choc de l’offre, on a mis en chantier une loi logement dans une perspective de libéralisation de l’économie et du marché du logement se traduisant en moins de subventions et d’aides, et plus de liberté.
Au chapitre des subventions et des aides, le mouvement HLM a fait les frais des mesures autoritaires de l’article 52 de la loi de finances et va devoir se serrer la ceinture en s’organisant pour baisser drastiquement à la fois les loyers de ses locataires et ses coûts de fonctionnement.
Au chapitre de la libération des marchés, l’Etat s’engage sérieusement, semble-t-il, dans la mobilisation du foncier et dans l’allègement au moins temporaire de la taxation des plus-values de cession foncières. Il prolonge son « action libératrice » par un allègement voire un gel des normes de construction et une simplification des demandes d’autorisation de construire.
Contrairement à ce qui s’était passé il y a cinq ans, les mesures feront l’objet d’une concertation, mais dans des délais contraints, et elles seront prises dans la foulée par ordonnances, donc sans discussion.
Il n’y a en effet pas de temps à perdre. Le monde HLM va avoir au maximum deux ans pour se réorganiser et même si elles sont prises dans les trois mois qui viennent, les mesures de libéralisation ne produiront que progressivement leur choc sur l’offre.

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Logement connecté : Nexity s’associe à Somfy @nexity

   Source : NEXITY

Avec l’objectif constant d’anticiper les évolutions des besoins des habitants de la ville de demain, Nexity accélère sa transformation vers une plateforme de services à l’immobilier et signe un partenariat avec SOMFY, leader mondial de l’automatisation des ouvertures et des fermetures de la maison et du bâtiment, et acteur clé de la maison connectée, pour la gestion de la partie « logement connecté » de sa toute nouvelle offre de services : Eugénie.

Eugénie permet à l’habitant d’être connecté, à son logement grâce à la gestion du « logement connecté », à son syndic en devenant un véritable outil de communication réciproque, à ses voisins tel un outil communautaire qui remet au goût du jour les services de proximité, à ses services d’assistance en référençant des prestataires et artisans agréés pour une intervention au juste prix en cas de besoin sur les parties privatives, ainsi qu’à son quartier puisque l’outil relaiera l’information des mairies. Eugénie n’est pas seulement une « techno » ou une appli », cette nouvelle offre recrée du lien.

Dans la structuration de l’offre Eugénie, SOMFY intervient sur l’élaboration de la partie « logement connecté » ; fiable, simple, à la pointe de la technologie et « made in France ».  SOMFY apporte son expertise en matière de solutions connectées simples à utiliser, pérennes et évolutives avec une offre de produits qui permettra à l’occupant de gérer, piloter et programmer ses équipements (volets, éclairage, chauffage…) de manière intuitive de chez soi, ou à distance avec son smartphone. Ce partenariat contribue pour SOMFY à la concrétisation de sa politique d’ouverture de ses API lancée en 2017.  …lire la suite…

SRU : Plus de 235 000 logements sociaux à Paris @Apur_75 @paris

  Source : APUR

Les principaux chiffres sur le logement social à Paris en 2016 : le nombre de logements sociaux SRU, le développement du parc depuis 15 ans, la demande de logement social et les attributions…

L’État et la Ville de Paris décomptent officiellement 230 285 logements sociaux SRU en service à Paris au 1er janvier 2016, soit 19,9 % des résidences principale. De 2001 à 2016, la Préfecture puis le Département de Paris ont agréé un total de 90 886 logements sociaux : 23 316 logements PLAI -Prêt Locatif Aidé d’Intégration- (26 %), 40 157 logements PLUS -Prêt Locatif à Usage Social- (44 %) et 27 413 logements PLS -prêts locatifs sociaux- (30 %).

Face à cette offre, le nombre de demandeurs de logements sociaux souhaitant un logement à Paris est particulièrement important et en progression par rapport aux années précédentes : …lire la suite…

La data au coeur de la ville intelligente @HubSmartCity

  Source : hub-smartcity

En quelques années, le concept de « Smart City » est donc devenu concret. Faisons le point sur cette transformation en profondeur des villes que nous connaissons. Partout dans le monde, les villes intelligentes se développent de plus en plus. En France par exemple, 14 des 25 Smart Cities françaises ont moins de 250 000 habitants.

Une transformation globale

70% des habitants vivront en ville en 2040. Pour que tout le monde puisse cohabiter sans épuiser les ressources de la planète, le concept de ville intelligente a été créé. Il se propose comme une solution idéale pour « vivre mieux ».

Une Smart City possède en effet plusieurs enjeux :

  1. Economique : La Smart City a pour ambition de rebooster l’économie d’un pays grâce aux innovations. Ces dernières permettent d’ailleurs de créer de nouveaux emplois.
  2. Ecologique : avec une consommation d’énergie par foyer qui ne cesse d’augmenter, l’idée est de limiter les rejets de CO2. Modérer les déplacements, surveiller la qualité de l’air et le trafic routier sont des mesures pouvant être mises en place pour palier ça.
  3. Technologique : Développer l’open data pour analyser les besoins et la consommation de chaque individu, et permettre une interaction intelligente entre citoyens et administrations. Des données sont ainsi collectées à travers la ville. Par la suite, elles sont mises à disposition des habitants, et utilisées pour optimiser les services proposés par la ville.

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