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+ de 250 start-ups créées par les SATT en 6 ans @ReseauSATT @BpiFrance

  Source : Satt.fr/bpifrance

Bpifrance et le Réseau SATT (Sociétés d’Accélération du Transfert de Technologies) associent leurs moyens pour favoriser la création et le développement des entreprises innovantes issues de la recherche publique française. Ils dressent aujourd’hui un bilan de leurs actions auprès de ces start-ups en forte croissance qui développent des innovations de rupture capables de créer ou de réinventer un marché.

256 entreprises ont été créées avec l’aide des SATT depuis 2012. 59% d’entre elles développent des technologies « deeptech » dans les domaines du digital, des cleantechs et de l’ingénierie, de la medtech et de la biotech. Les technologies de rupture qu’elles développent sont complexes et fortement différenciatrices. Cela implique un temps de recherche et développement long ainsi qu’un accompagnement indispensable jusqu’à l’industrialisation et/ou la commercialisation de leurs produits.

Les chercheurs bénéficient aujourd’hui du soutien de la force publique partout sur le territoire à travers l’accompagnement du Réseau SATT pour faciliter le transfert de technologies, et des leviers financiers proposés par Bpifrance : prêts et aides, concours et appels à projets, intervention en fonds propres, etc.

74% des start-ups issues des SATT ont été soutenues par Bpifrance au travers de ses différents dispositifs de financement de l’innovation depuis leur création.

125 levées de fonds ont été réalisées par les start-ups issues des SATT depuis 2012 pour un montant total de 185,2 millions d’euros levés. L’appétit des investisseurs pour les entreprises issues des SATT est fort : 38,3% d’entre elles ont en effet réalisé au moins une levée de fonds, soit davantage que la moyenne française, de 25%, et 21% d’entre elles ont réalisées deux levées ou plus. 40% des entreprises ayant levé des fonds ont par ailleurs réalisé cette démarche entre un et deux ans après leur création. Le temps entre la création de l’entreprise et la première levée de fonds diminue progressivement : de deux ans et demi pour les sociétés créées avant 2014, à moins d’un an pour celles créées en 2016.

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Les emplois menacés par les défaillances d’entreprise au plus bas depuis 11 ans @DeloitteFrance

Source : Etude Deloitte « L’entreprise en difficulté en France »

Pour la 13ème année consécutive, Deloitte /Altares publie un rapport réalisé conjointement et intitulé « L’entreprise en difficulté en France ». Ce dernier présente une analyse détaillée de l’état et du contexte des défaillances d’entreprise dans l’Hexagone, avec un focus spécifique par région. Parmi les grands apprentissages :

• Les pouvoirs publics développent de nombreux outils d’accompagnement des entreprises en difficulté et contribuent à leur mesure à l’embellie au travers d’un système éprouvé de détection de signaux faibles.

• Le nombre d’emplois menacés baisse de 11,4% et atteint son seuil le plus faible depuis 11 ans, soit un niveau ante crise.

• Le volume des procédures baisse quand l’amiable se démocratise et gagne du terrain (+ 43% en 2017), en particulier dans les juridictions de taille plus modeste.

• Le nombre total de défaillances enregistrées baisse de 4.6% et atteint son niveau le plus bas depuis 10 ans, soit 55 175 procédures ouvertes.

• 2/3 des procédures concernent des sociétés ne générant aucun chiffre d’affaires ou ne déposant pas leurs comptes. Mieux, ¾ des procédures concernent des sociétés dont l’effectif est compris entre 0 et 2 salariés. Sur les 55 175 procédures, seules 1256 ont été ouvertes pour des sociétés de plus de 20 salariés.

• Les secteurs les plus touchés sont le transport, l’agriculture et l’hébergement.

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S&P Global Ratings attribue la note « A/A-1 » à Marseille @SPGlobalRatings @Marseille

Source : S&P Global Ratings

S&P Global Ratings vient confirmer les notes « A/A-1 » de la ville de Marseille.

S&P Global Ratings

Marseille continuera de bénéficier d’un cadre institutionnel favorable et d’une gouvernance financière solide, qui contrebalancent en partie des indicateurs socio-économiques moyens.
La Ville de Marseille présente des caractéristiques socio-économiques et démographiques moins favorables en comparaison de ses pairs nationaux et internationaux. Si le PIB par habitant (34 200 euros en 2015 au niveau du Département des Bouches-du-Rhône ; source : Eurostat) est relativement élevé en comparaison internationale, nous notons qu’une part importante des activités à haute valeur ajoutée du Département se trouve en dehors de Marseille. De plus, le taux de chômage de la zone d’emploi de Marseille-Aubagne s’élevait à 11,4% au quatrième trimestre 2017, dépassant nettement la moyenne métropolitaine (8,6%). Ces caractéristiques socioéconomiques se traduisent par une base fiscale plus faible et par des dépenses sociales plus élevées.
Nous considérons que Marseille bénéficie du cadre institutionnel des villes françaises, que nous jugeons très favorable et équilibré car il leur permet de financer les charges associées à leurs compétences à partir de recettes locales et modifiables. Nous comprenons à ce stade que la réforme progressive de la taxe d’habitation sera entièrement compensée par dégrèvement et n’aura donc pas d’impact sur les recettes fiscales du bloc communal, que ce soit en termes de levier fiscal ou de dynamisme des bases.
Cliquez ici pour télécharger le communiqué de presse

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La Région Bourgogne-Franche-Comté notée « AA/A-1+ » par @SPGlobalRatings @bfc_region

Source : S&P Global Ratings

S&P Global Ratings a confirmé la note de la Région Bourgogne-Franche-Comté, « AA/A-1+ » dans son rapport complémentaire publié le 12 avril 2018. 

S&P Global Ratings

Les notes de la Région Bourgogne-Franche-Comté reflètent en premier lieu leur anticipation que la gouvernance et la gestion financières de la Région lui permettront d’augmenter ses dépenses d’investissement sur la période 2018-2020 tout en maintenant des performances budgétaires et une situation de liquidité fortes, ainsi qu’un endettement modéré. Par ailleurs, ils considèrent que la Région continuera de bénéficier d’un cadre institutionnel et économique favorable.

La Région Bourgogne-Franche-Comté bénéficie d’une gouvernance et d’une gestion financières fortes, d’un cadre institutionnel favorable et d’indicateurs socio-économiques élevés.

Ils considèrent l’économie de la Région Bourgogne-Franche-Comté comme forte en comparaison internationale. Avec 17% des emplois dans le secteur secondaire, notamment dans l’automobile, l’horlogerie, la bijouterie et la métallurgie, la Région est l’un des territoires les plus industriels de France. Ses indicateurs socio-économiques sont élevés en comparaison internationale, avec un PIB par habitant qui atteint 26 571 euros en 2015 (dernières données disponibles), un niveau inférieur à la moyenne métropolitaine (30 092 euros). Si la croissance économique régionale a historiquement été en-deçà du niveau national, l’écart s’est progressivement réduit ces dernières années.

Cliquez ici pour lire la totalité du rapport complémentaire

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Tout savoir sur le prélèvement à la source prévu pour 2019 ! @_Bercy_ @dgfip_officiel @GDarmanin

Source : Ministère de l’Économie et des Finances

Préparez-vous, le prélèvement à la source de l’impôt sur le revenu c’est pour bientôt ! En effet, le 1er janvier 2019, ce nouveau mode de prélèvement entrera en vigueur. Mais alors, comment marche ce prélèvement à la source ? 

Le prélèvement à la source de l’impôt sur le revenu vise à adapter le recouvrement de l’impôt au titre d’une année à la situation réelle de l’usager (revenus, événements de vie) au titre de cette même année, sans en modifier les règles de calcul. Il a pour objectif de supprimer le décalage d’un an entre la perception des revenus et le paiement de l’impôt sur ces revenus.

Retrouvez toutes les infos ainsi que des schémas explicatifs en cliquant ICI

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