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Réaménagement de 4 000 m² de locaux pour Suravenir Assurances @suravenir @CBRE

Source : CBRE

Suravenir Assurances, filiale du groupe Arkéa, a fait appel au leader mondial du conseil en immobilier d’entreprise, CBRE, afin de réaménager entièrement ses locaux de 4 000 m², situés près de Nantes.

Suravenir Assurances souhaitait mieux refléter l’image de l’entreprise, améliorer le bien-être des collaborateurs et les faire adhérer à de nouveaux modes de travail, plus collaboratifs.

Cette transformation totale avait pour principal objectif de dynamiser les échanges entre les collaborateurs et d’améliorer leur qualité de vie au travail. En réponse à ces problématiques, CBRE a conçu un ensemble d’espaces conviviaux afin de projeter l’entreprise dans un nouvel environnement favorisant les interactions.

CBRE a également su s’adapter aux contraintes fortes de son client en réalisant l’intégralité des travaux en 11 mois, en site occupé, et ce sans arrêt de l’activité.

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Aménagement : outils et financement s’adaptent à la nouvelle donne @JournalGdParis @EiffageConstruc @cmarkea

  Source : Journal du Grand Paris

 

Semop, SPLA, SPLA-IN, PUP, AMI… le jargon de l’aménagement n’en finit pas de s’étoffer au gré de la création de nouveaux outils juridiques permettant de s’adapter au cas par cas aux opérations. Pour se familiariser avec ces dispositifs et décrypter leur fonctionnement, le Journal du Grand Paris proposait le 12 septembre 2018 une matinée de formation animée par des professionnels et des experts publics et privés.

« Le monde de l’aménagement et de ses acteurs évolue », a confirmé Nicolas Gravit, lors de la formation sur les nouveaux outils de l’aménagement urbain organisée par le Journal du Grand Paris Formation le 12 septembre. Le directeur général d’Eiffage aménagement constate même « un mélange des fonctions avec des aménageurs qui font de la promotion et des promoteurs qui font de l’aménagement ».

Alors que la concession d’aménagement qui s’opère souvent sous forme de ZAC est remise en cause du fait de sa lourdeur et sa longueur, « beaucoup d’acteurs réfléchissent à une façon de faire autrement et d’assurer une meilleure collaboration public/privé », a ajouté Nicolas Gravit

La copromotion monte en puissance

Ainsi, les nouveaux modes de faire la ville s’enrichissent et commencent à entrer dans « une phase de consolidation ». Si la concession d’aménagement continuera bien de fonctionner, elle coexistera à côté d’une palette d’outils dont l’avantage est de pouvoir adapter le dispositif au cas par cas en fonction des attentes de la collectivité. L’engouement pour les appels à manifestation d’intérêt (AMI) initiés par Paris (Réinventer Paris, Inventons la métropole du Grand Paris) illustre ce besoin d’innover et de trouver des alternatives à la raréfaction des finances publiques. « Faire appel à l’imagination et l’expertise des professionnels, et à leur faculté de fédérer des partenaires autour d’un projet est une bonne idée, reste à savoir comment tout cela se concrétisera dans le temps », observe Nicolas Gravit.

Autre tendance, les opérations réalisées en coaménagement entre une SEM et un aménageur privé. Cela permet aux collectivités locales de trouver des partenaires privés qui apportent leurs compétences et des garanties financières, et aux opérateurs publics de se former à la copromotion. « La copromotion par exemple entre une SEM d’aménagement (la SPL ne peut pas faire de copromotion) et un promoteur privé ou un bailleur social se développe car les SEM doivent trouver des leviers complémentaires pour générer du chiffre d’affaires », a complété Aurélien Deleu, directeur du marché du logement et de l’aménagement chez Crédit mutuel Arkéa. « Depuis deux ans, nous finançons de plus en plus d’opérations de ce type ». Un modèle plutôt gagnant/gagnant en permettant à la SEM de bénéficier d’une part de la marge de sortie et au promoteur d’avoir des relations plus simples avec les collectivités locales.

L’Ile-de-France teste les 1res Semop et SPLA-IN

La première Semop d’aménagement a été créée en 2017 à Châtenay-Malabry (Hauts-de-Seine). Si pour aménager le site de l’ancienne école Centrale de Châtenay-Malabry, la ville a opté pour une Semop, c’est non seulement pour bénéficier des capacités de financement d’un opérateur privé, mais aussi « être partie prenante au quotidien » dans le déroulement de cette vaste opération. Sur 20 ha, sera implanté un nouveau quartier mixte comprenant 2 200 logements dont 16 % de sociaux, 40 000 m2 de bureaux, 15 000 m2 de commerces, 19 000 m2 d’équipements publics… La particularité du dispositif ne tient pas à son montage qui est une concession d’aménagement classique, mais à son mode de gouvernance avec un conseil de surveillance et un directoire

La ville : autorité concédante et actionnaire

Tout l’intérêt pour la collectivité est de conserver ainsi une minorité de blocage dans la prise de décision. « Bien que sa participation au capital soit réduite, elle préside la Semop, ce qui lui permet de contrôler l’opération tout en minimisant le risque encouru », a souligné de son côté Julien Perrault, responsable de clientèle promotion immobilière d’Arkea banque. « La ville opère un contrôle en tant qu’autorité concédante mais aussi en tant qu’actionnaire de la Semop », argue Aurélie Trehout-Decossin. Ce qui présente aussi un double intérêt économique pour la ville.

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#RSE : Arkéa accompagne la startup rennaise Newcy @cmarkea

Après Algo Peinture, Cozynergy et Osmia, voici Newcy : une nouvelle pépite dénichée par les équipes du fonds « We Positive Invest » et accompagnée par Arkéa. 

Arkéa (avec le fonds Breizh Up et le Crédit Agricole d’Ille-et-Vilaine) accompagne la startup rennaise Newcy dans la poursuite de son déploiement. Après avoir inondé le marché rennais de ses gobelets multicolores, Newcy souhaite implanter sa solution clef en main de gobelet réutilisable dans toutes les grandes villes de France. Cette levée de fonds de 1 M€ va lui permettre de réaliser les investissements nécessaires à son développement pour couvrir l’ensemble du territoire français d’ici 2020.

C’est en observant, chaque jour, l’amas de gobelets en plastique aux abords des distributeurs de boissons de leur campus que quatre étudiants de Rennes School of Business (Ecole Supérieure de Commerce de Rennes) et de l’INSA Rennes ont eu l’idée de créer la startup Newcy, pour « New Cycle ». Le constat est alarmant : « 4,7 milliards de gobelets sont jetés chaque année en France, soit 150 gobelets par seconde, et seulement 1 % d’entre eux est recyclé ! », précise Caroline Bettan, Présidente et co-fondatrice de la société.

L’enjeu de la transition énergétique

Newcy permet de s’inscrire dans la logique du zéro déchet et de réduire les émissions de CO2 de 79 % en moyenne (par rapport aux gobelets jetables). Pour le lavage des gobelets, la société fait également appel à des entreprises adaptées et maximise ainsi l’impact sociétal.

Dans un contexte de pressions réglementaires liées à l’entrée en vigueur de la loi de transition énergétique, qui prévoit l’interdiction de la vaisselle plastique jetable d’ici 2020, le concept original de Newcy a déjà séduit plusieurs entreprises dans le cadre de leur démarche de responsabilité sociétale. La startup estime le nombre de gobelets jetables épargnés à plus de 424 000 depuis mai 2017.

« Ce nouvel investissement témoigne de la volonté du groupe Arkea de renforcer sa présence dans des secteurs qui préfigurent l’économie de demain, en faveur du développement des territoires et des génératinos » Marc Brière, Président du Directoire d’Arkea Capital

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Arkéa ouvre une plateforme dématérialisée à destination des collectivités : Arkéa lending services @cmarkea

Source : la gazette des communes

Arkéa, groupe de bancassurance coopératif et mutualisé, ouvre un tour de table de négociation dématérialisée de prêts : une interface via laquelle la collectivité annonce son besoin, et le prêteur se fait connaître. « L’offre d’Arkéa Lending Services est ouverte à tous les partenaires qui le souhaitent ; aussi bien les banques traditionnelles que les banques étrangères, les assureurs, les mutuelles ou encore les caisses de retraite… », explique Pierre-Eloi Acar, directeur général de Arkéa lending services.

Si l’investisseur entre dans la boucle, il a ensuite accès aux documents préalables : présentation du projet, situation financière de la collectivité et environnement économique. Et s’il est intéressé par la demande de prêt, il fait une offre que seule la collectivité va pouvoir examiner. La nouvelle plateforme accompagne ensuite la collectivité jusqu’à la transaction, en éditant pour compte de tiers les documents contractuels suivis de la signature électronique du client.

Tour de table et partage des risques

Cette solution vise à développer le financement partagé des projets. Pour les emprunteurs en situation financière tendue, il devrait être plus facile de trouver un financement car le risque bancaire sera partagé entre plusieurs acteurs. Arkéa banque comptabilise un marché encore modeste auprès des collectivités (1 milliard d’euros). Pour Philippe Menigoz, directeur du marché des institutionnels d’Arkéa Banque Entreprises et Institutionnels, « notre savoir-faire est mis à disposition d’investisseurs institutionnels pour augmenter leur accompagnement dans le cadre de financements désintermédiés (1,4 milliard d’euros de crédits réalisés en six ans) ».

La plateforme d’Arkéa banque qui fonctionne en interne depuis 2015 va donc s’ouvrir à la concurrence. Reste à savoir quelle sera la réponse des acteurs bancaires.

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Bpifrance et Arkéa s’associent pour favoriser le développement international des entreprises @Bpifrance @cmarkea

Anne Guérin, directrice exécutive du financement et du réseau Bpifrance et Ronan Le Moal, directeur général d’Arkéa, ont signé le 4 septembre 2018 une convention de partenariat visant à renforcer leur collaboration pour encourager les initiatives des entreprises qui souhaitent développer leurs activités à l’international.

Bpifrance et Arkéa collaborent activement depuis plusieurs années pour favoriser le développement des entreprises françaises. Ce nouvel accord marque leur volonté commune de renforcer leur partenariat sur l’international pour accompagner la croissance des entreprises françaises sur les marchés étrangers.

Au titre de ce partenariat, Bpifrance partagera avec Arkéa son analyse des projets et proposera des solutions de financement, parmi lesquelles : le Prêt Croissance International, le Crédit Export, des garanties Bpifrance sur les financements à moyen et long terme octroyés par Arkéa, des garanties de projets à l’international, des mises en relations ou rapprochement avec des entreprises étrangères.
Arkéa et Bpifrance prévoient également d’organiser des opérations conjointes, comme des manifestations de sensibilisation ou de présentation de l’ensemble de leurs gammes de produits, afin de satisfaire au mieux les besoins des entreprises clientes à l’international.

Anne Guérin, directrice exécutive du financement et du réseau Bpifrance, déclare : « Cette nouvelle convention vient renforcer le lien déjà fort entre Bpifrance et Arkéa. L’internationalisation de nos entreprises françaises est un axe majeur de leur développement. Ce partenariat s’inscrit dans cette logique et constitue une excellente opportunité de mettre à la disposition de nos entreprises clientes le savoir-faire commun de nos deux établissements, pour mieux les accompagner dans leurs projets de croissance. »

Ronan Le Moal, directeur général d’Arkéa, commente :
« Soutenir le dynamisme de l’économie française en favorisant l’expansion à l’international de nos entreprises clientes est essentiel pour encourager la croissance de nos territoires. Ce nouveau partenariat avec Bpifrance, partenaire majeur d’Arkéa, répond aux ambitions clairement affichées du groupe de renforcer sa présence aux côtés de nos clients dans leurs ambitions de développement sur les marchés étrangers. »

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