Archives du 6 août 2018

Le logement connecté enfin une réalité ! @CDC_Habitat @CaissedesDepots

Source :  CDC Habitat

 

 

Alors que 80 % des véhicules aujourd’hui construits comportent des applications numériques intégrées, seuls 1% des logements en disposent.

CDC Habitat, par l’intermédiaire de sa filiale OSICA, s’est porté acquéreur de 24 logements du programme construit par COFFIM situé au 99-103 avenue du Général Leclerc à Viroflay. Ces deux entreprises ont décidé d’équiper dès leur construction les logements à la fois en capteur et avec une application SmartHab qui propose un large panel de prestations : aussi bien les potentialités de l’internet des objets que du smart building, voire des fonctionnalités inédites, spécialement conçues pour les résidents.

Du rêve à la réalité


« L’avenir est à la smart city et au smart building », indique Thibault Dutreix, Directeur Général de COFFIM. Pour pouvoir connecter les logements, il a fallu intégrer la démarche en amont de la construction. Une fois les fonctionnalités définies, SmartHab a conçu en partenariat avec Léon Grosse, entreprise générale en charge des travaux, la meilleure façon de les intégrer puis a travaillé avec les sous-traitants. « En prenant en compte, dès la construction, les besoins technologiques, la facture se réduit et on s’assure une réalisation qui va attirer les locataires », précise Thibault Dutreix. « Le coût d’une telle installation dans des bâtiments neufs est inférieur à 25€/m² pour le bailleur », ajoute Godefroy Jordan, Président de SmartHab.

Un concentré de technologie
L’application, accessible sur smartphone ou tablette, est reliée à différents capteurs présents dans les logements. « L'installation de capteurs permet notamment le suivi, le monitoring et le réglage des consommations d'énergie », précise Thibault Dutreix. L’intelligence artificielle au service de la sécurité. Si aucun système de vidéosurveillance n’est en place, les algorithmes de SmartHab permettent en analysant « lumière, mouvement et chaleur », de détecter une possible effraction dans l’appartement. Le locataire est alors immédiatement prévenu sur son smartphone.

La lumière en un clic.
Présents ou absents, les locataires ont la possibilité d’interagir avec l’éclairage de leur appartement. Un détecteur de présence permet même de signaler (par notification, message ou email) au locataire que son appartement est allumé alors qu’il est absent.

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Les Nouveaux Constructeurs : négociations exclusives pour le rachat de BDP Marignan @marignan_immo

Source : Les Nouveaux Constructeurs

La société Les Nouveaux Constructeurs vient d’entrer en négociations exclusives en vue du rachat du promoteur immobilier BDP Marignan. 

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BPD MARIGNAN est un promoteur d’immobilier résidentiel et de bureaux, présent sur
l’ensemble du territoire français via 14 implantations régionales. Disposant d’un portefeuille d’activité de 15.500 lots au 31 décembre 2017, BPD MARIGNAN a vendu plus de 4 000 logements au cours de l’année 2017.

La réalisation de la transaction interviendra dans le respect des obligations applicables en matière de consultation des instances représentatives du personnel et sera soumise à l’autorisation préalable des autorités de contrôle des concentrations. Elle pourrait être finalisée au 4ème trimestre 2018.

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Economie collaborative : des usages en développant dans le quotidien des Français @elabe_fr

Source : ELABE

Economie collaborative : des usages qui se développent dans le quotidien des Français

Les échanges de matériel ou vêtements d’occasion entre particuliers constituent la pratique la plus fréquente de l’économie collaborative. Plus d’un Français sur quatre a eu recours au covoiturage et à la location de logement d’un particulier. De manière générale, les jeunes sont plus largement adeptes de l’économie collaborative.

61% des Français déclarent avoir déjà eu recours au moins une fois à la vente/achat/prêt/échange de matériel ou vêtements d’occasion entre particuliers (dont 48% plusieurs fois).

Si l’usage des autres domaines de l’économie collaborative apparait nettement moins développé, il est loin d’être négligeable :

• Le covoiturage (30%)

• La location de logement entre particuliers, échange de logement (26%)

• Le transport en VTC (20%)

• Les AMAP (associations pour le maintien d’une agriculture paysanne), groupement de consommateurs (19%)

• Les services d’aide entre particuliers, voisins, comme les courses, bricolage, gardiennage, etc (17%)

• Le financement participatif ou crowdfunding (13%)

• Les cours en ligne, soutien scolaire entre particuliers (13%)

• La location de voiture entre particuliers (9%)

• Les espaces de co-working (6%).

Le recours à l’économie collaborative est fortement lié à l’âge : les jeunes (18-24 ans et 25-34 ans) y ont nettement plus recours. C’est notamment le cas pour :…en savoir plus…

Paris : zoom sur la valeur locative des bureaux par station de métro @CushwakeFrance

Source : Cushman and Wakefield

Tous les ans, Cushman and Wakefield analyse les valeurs locatives des bureaux selon les stations de métro parisiens. La 1ère place est attribuée à la ligne 14 qui demeure la plus chère du réseau parisien !

Cushman-&-Wakefield-logo

De cette analyse, le conseil retient :
– Une valeur moyenne de 365 €/m²/an sur l’ensemble du réseau (302 stations), en hausse d’une année sur l’autre (350 €/m²/an mi-2017).

– Une amplitude toujours aussi large des valeurs locatives sur le marché des bureaux à Paris et de ses communes limitrophes. Elles se distribuent entre 120 et 590 €/m²/an selon les stations de métro considérées, soit un rapport de 1 à 5. La valeur locative la plus élevée de l’échantillon analysé est atteinte dans deux stations : 590 €/m²/an à Concorde (lignes 1, 8 et 12) et Assemblée Nationale (ligne 12), alors que la valeur locative la moins élevée de l’échantillon analysé est de 120 €/m²/an pour les stations Fort d’Aubervilliers (ligne 7) et Basilique de Saint-Denis (ligne 13)

– Un peu moins d’un tiers (94) des 302 stations de métro analysées affiche une valeur locative supérieure à 400 €/m²/an, alors qu’un peu moins de 10 % (29 stations de métro) ont une valeur locative inférieure à 200 €/m²/an.

– La ligne 14 (420 €/m²/an en moyenne) conserve sa position de ligne la plus chère du réseau francilien (365 €/m²/an). Comme en 2017, les lignes 3bis et 7bis demeurent les moins chères, respectivement 260 €/m²/an et 280 €/m²/an en moyenne.

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Immobilier d’entreprise : le marché locatif en IDF en hausse de 15% #Catella

Avec 1 333 000 m² il est le meilleur premier semestre depuis 2008.

Cette croissance s’explique par le dynamisme du marché des surfaces de plus de 5 000 m² (+24%) avec 41 transactions réalisées au cours du semestre. Parmi celles-ci, on note que le co-working continue son développement avec 5 nouvelles transactions réalisées dans le semestre.

Cette activité est aussi maintenue par la forte activité du Quartier Central des Affaires parisien. Ce marché, en hausse de 10%, est très actif sur tous les créneaux de surfaces. On y constate une baisse des mesures d’accompagnement sensible sur le créneau des petites surfaces pour lesquelles il n’est pas rare que les propriétaires reçoivent plusieurs dossiers de candidature sur la même offre.

Les taux de vacance sont en baisse dans tous les secteurs de l’Ile-de-France et la pénurie s’installe dans Paris avec un taux de 2,4%, qui atteint même 2,2% dans Paris QCA.

Le volume de 2018 pourrait se situer entre 2,7 et 2,8 millions de m² si la tendance actuelle se poursuit, soit un chiffre proche des niveaux records de 2006 et 2007.

> les chiffres clés

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