Archives Mensuelles: août 2017

Très haut débit : Quelle technologie pour quel débit dans les territoires ? @CaissedesDepots

Source : caisse des dépôts

logo-caisses-des-depots Le gouvernement, les collectivités et les acteurs de l’aménagement numérique sont toujours en quête d’une entente sur les objectifs de déploiement du numérique sur le territoire. ces derniers mois ont constitué une séquence confuse, où les collectivités engagées pour le numérique n’ont pas vraiment eu voix au chapitre. Deux enjeux se sont dégagés : le mix technologique de l’internet fixe, avec une perspective du 100% FttH qui s’éloigne, et l’équilibre institutionnel entre les acteurs, opérateurs nationaux, réseaux d’initiative publique, Arcep et État. Les nouvelles ambitions d’Altice-SFR dans le déploiement de la fibre sont symptomatiques d’un changement d’attitude des grands opérateurs, plus conquérants. Le gouvernement devrait, à la rentrée, rendre ses arbitrages et adopter une méthodologie plus claire sur les moyens d’atteindre l’ambition d’un « bon haut débit » pour tous en 2020, et du très haut débit pour 2022.

Depuis le début du mandat d’Emmanuel Macron, les ambitions en matière de très haut débit n’ont pas toujours été simples à déchiffrer. Début juin en Haute-Vienne, le président de la République a affiché l’objectif d’une couverture 3G/4G du territoire d’ici 2020, ambition peu à peu clarifiée vers celle d’une couverture 4G totale. La 4G tient en effet une large place dans le discours d’Emmanuel Macron, qui la perçoit comme un complément à la fibre optique. Sur la fibre, le discours du président a évolué en plaçant le FttH comme une perspective sans cesse moins atteignable pour les zones les plus isolées. Un point qui inquiète l’Avicca, représentative des collectivités engagées dans les réseaux d’initiative publique, et qui perçoit le 100% FttH comme un gage d’avenir pour les territoires ruraux, bientôt aussi nécessaire que l’électricité. Autre inquiétude sur l’ambition du plan France très haut débit, celle des échéances : dans le sillage de la Conférence nationale des territoires, on a cru que l’objectif du très haut débit pour tous était avancé à 2020, en lieu de 2022. Que nenni : l’objectif du gouvernement est d’ajouter un objectif intermédiaire à 2020, pour garantir du « bon haut débit », à au moins 8Mb/s, pour tous les foyers. Un objectif qui devrait être servi par la 4G, le satellite, mais aussi la montée en débit du réseau cuivre et bien sûr, les déploiements en cours dans la fibre optique…

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@Institutionnels       @royojm                     @AlexandraPoloce

Logement Français lance Smart LF , un projet d’entreprise @Groupe_LF

Source : logementfrancais.fr

logement francilien

Une ambition forte : incarner le logement social de demain.    

L’environnement du logement social est soumis à de profondes mutations. Son modèle de financement est remis en cause par la conjugaison de différents facteurs, comme la baisse constante des subventions publiques, la précarisation croissante des locataires qui augmente le risque d’impayés, ou encore la hausse des coûts de construction et d’entretien du patrimoine. En parallèle, la modification des structures familiales et l’augmentation de l’espérance de vie, tout comme les nouvelles attentes des résidents, sont des problématiques dont le traitement suppose des investissements conséquents de la part des bailleurs sociaux.

Pour continuer à assurer leur mission dans ce contexte, ils doivent être souples et inventifs. C’est tout l’enjeu de Smart LF, un projet sur cinq ans qui vise à permettre au Groupe Logement Français d’adapter son organisation aux nouveaux territoires issus de la réforme et ses métiers aux nouveaux profils des résidents, de réussir sa transformation digitale et de placer l’innovation au cœur de son action. Première étape : la création, d’ici 2018, d’une ESH unique en Île-de-France, gérant près de 60 000 logements sociaux, au service de la Métropole du Grand Paris et des nouvelles intercommunalités de la région…lire l’intégralité du communiqué…

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Vilogia et sa nouvelle stratégie de sécurité @VilogiaGroupe

Source : Vilogia

vilogia_logo  Pour s’assurer aux locataire une jouissance paisible de son logement, Vilogia avait confié depuis 2013 à Jean-Claude Menault, référent sécurité et ancien haut fonctionnaire dans la Police, la mission d’élaborer une nouvelle stratégie de sécurité. Comment ça avance ?

Vilogia, partenaire des institutionnels de la sécurité

C’est la clé de voute de cette stratégie. Police nationale, communes, services judiciaires, Préfecture sont des partenaires au quotidien de Vilogia. « Le bailleur social est considéré par ces institutionnels comme un partenaire à part entière. Il est donc associé à toutes les structures d’échanges et partenariales mises en place », se félicite Jean-Claude Menault. Parmi elles, la cellule de veille, pilotée par le maire, qui associe l’ensemble des partenaires cités. « Sans ce partenariat, nous ne pouvons pas faire grand-chose. Nous attendons de nos partenaires qu’ils nous apportent des solutions concrètes et inversement », précise-t-il.

Des dispositifs spécifiques efficaces

« Nous sommes confrontés à des problématiques de sécurité qui relèvent bien souvent de l’ordre public. C’est de la délinquance. Dans la mesure où nous ne trouvions pas de réponses systématiques à nos problèmes, nous avons choisi de dépasser un peu le cadre normal de nos obligations en créant des dispositifs spécifiques »explique Jean-Claude Menault.

Le dispositif de médiation à caractère opérationnel : un médiateur Vilogia est chargé de régler les litiges entre les locataires. Ces litiges peuvent perturber une cage d’escalier voire un immeuble entier. « Plutôt que de faire intervenir systématiquement la police ou le dispositif de nuit pour faire évacuer par exemple un hall d’immeuble, nous préférons convoquer les familles impliquées. Nous les mettons en demeure de faire cesser le trouble sous peine de résilier le bail ». Et ça fonctionne plutôt bien !

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Lire aussi :

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PATRIZIA confirme sa position de prestataire global d’investissements immobiliers

Source : Galivel

Pour les six premiers mois de l’année 2017, le gestionnaire d’investissements sur les marchés immobiliers de la France et de 14 autres pays de l’Europe, PATRIZIA, a connu une hausse de ses actifs et de son résultat opérationnel sur l’ensemble du territoire européen.

  • Résultat opérationnel de 35,1 millions d’euros, bien en ligne avec la prévision annuelle de 60/75 millions d’euros
  • Actifs sous gestion en hausse de 0,6 milliard d’euros pour atteindre 19,2 milliards d’euros avec 20,6 milliards d’euros attendus pour la fin d’année
  • une offre publique de rachat d’actions débutera le 10 août 2017

Dans l’ensemble de l’Europe, PATRIZIA a développé ses actifs sous gestion, pour atteindre 19,2 milliards d’euros, en hausse de 0,6 milliard d’euros par rapport à la fin de l’année 2016. Depuis fin juillet 2017, les actifs sous gestion s’élèvent à 19,8 milliards d’euros. De plus, PATRIZIA dispose d’un pipeline supplémentaire d’acquisitions contractualisées totalisant plus de 0,7 milliard d’euros, ainsi que 0,2 milliard d’euros d’acquisitions planifiées, qui devraient aboutir au second semestre 2017.

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Qu’est ce qu’un atelier BIM virtuel ?

Source : batiment-numerique

Le Plan Transition Numérique dans le Bâtiment et l’Union Sociale pour l’Habitat lancent le projet « Atelier BIM Virtuel »

De quoi s’agit il ?

C’est un cadre de travail collaboratif qui permet, à  parti d’un cas déjà réalisé traditionnellement, de retracer étape par étape, comment cela devrait ou pourrait se réaliser autrement en BIM, simplifier des travaux car l’ouvrage est déjà conçu, réalisé et exploité.

Piloté par l’Union sociale pour l’habitat, l’« Atelier BIM Virtuel » se propose, dans un délai relativement court de 9 mois, de réaliser une expérimentation BIM (niveau 2). Il s’agit plus précisément de refaire, en BIM et en utilisant les outils métiers habituellement employés par les professionnels, une opération existante de logements courants déjà réalisé en lots séparés, de manière « classique » (hors BIM), et de comparer.

L’objectif est :

  • D’identifier « l’état de l’art du BIM, dans la vraie vie, à aujourd’hui » pour mener à bien une opération de construction de logements en BIM ;
  • D’établir la comparaison entre une approche « classique » et une approche BIM ;
  • De réaliser une synthèse des retours d’expérience, des apports, mais aussi des interrogations freins ou difficultés induits par cette pratique ;
  • De partager et diffuser les résultats.

=> À noter lors du prochain congrès HLM :

27 septembre 14h : « l’innovation constructive, architecturale et numérique » – Pavillon de l’innovation

28 septembre 10h50 : maquette numérique et stratégie d’organismes – Parvis du forum
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