Archives Mensuelles: juin 2017
Hausse des prix généralisée des logements à Paris @NotairesdeParis
Source : Notaires de Paris-Ile-de-France

Selon les Notaires de Paris-Ile-de-France, la reprise de l’activité immobilière s’est encore accentuée sur les 5 premiers mois de 2017 en Ile-de-France. Les acquéreurs sont restés insensibles dans leur acte d’achat à l’approche des élections présidentielles et ont profité du très bas niveau des taux d’intérêt, dans un marché plus fluide où l’envie de concrétiser une acquisition immobilière est bien là.
Les augmentations de prix se prolongent, s’intensifient et se diffusent à l’ensemble de la Région. Les perspectives d’activité de l’immobilier francilien restent bonnes, malgré un marché très dépendant des taux d’intérêt.
Comment évoluent les prix en Ile-de-France ?
► Des hausses de prix de 2 à 7% attendues en juillet 2017
Les hausses trimestrielles de prix deviennent un peu plus vives sur de nombreux segments de marché et amplifient la hausse annuelle des prix des appartements et des maisons.
Au 1er trimestre 2017, les indices Notaires-INSEE montrent que les prix des appartements ont augmenté de 4,5% en un an en Ile-de-France, tirés par la hausse dans Paris (+5,5%).
Les évolutions annuelles sont plus modérées pour les maisons (+2,4% en Ile-de-France).
Quelle est la valeur d’un appartement francilien au printemps 2017 ?
► Prix au m² d’un appartement ancien en Ile-de-France : 5.490 euros
Le prix des appartements franciliens a augmenté de 4,5% en un an. Ainsi, fin mars 2017, pour acheter un appartement dans la Région, il fallait compter 5.490 euros/m².
La hausse des prix des appartements a été plus sensible en Petite qu’en Grande Couronne. Ainsi, en Petite Couronne, le prix d’un appartement est de 4.400 euros/m² (+4,2% en un an), et de 2.950 euros/m² en Grande Couronne (+2,7% en un an).
Les prix s’échelonnent entre 2.590 euros/m² dans l’Essonne et 5.360 euros/m² dans les Hauts-de-Seine.
Quel est le prix d’une maison francilienne au printemps 2017 ?
►295.700 euros pour acheter une maison dans la Région
Une maison francilienne coûtait 295.700 euros fin mars 2017. La variation des prix est sensiblement la même entre la Petite et la Grande Couronne.
En Petite Couronne, ce prix s’élève à 348.100 euros (+2,5% en un an), et s’établit à 273.600 euros en Grande Couronne (+2,4% sur un an).
Les prix des maisons s’échelonnent entre 573.000 euros dans les Hauts-de-Seine et 231.200 euros en Seine-et-Marne.
Combien vaut le m² à Paris au printemps 2017 ?
►8.450 euros le m² à Paris en moyenne
Dans Paris, le prix au mètre carré atteint 8.450 euros (soit une hausse de 5,5% en un an) tutoyant le record de 2012.
La hausse des prix est généralisée dans la Capitale. 2 années de hausse de prix viennent désormais effacer 4 années de baisse.
13 arrondissements sur 20 ont connu des variations de prix supérieures à 5% par an. L’arrondissement ayant le plus augmenté étant le 8e (+11,8%). Seul le 7e arrondissement a vu ses prix diminuer de 3% en un an.
Comment évoluent les prix entre les arrondissements parisiens ?
► Plus de 10.000 euros/m² dans 7 arrondissements dont 4 à plus de 11.000 euros/m²
« Du déchet à la ressource : une gestion renouvelée pour les collectivités » @Villes2fr @suezFr

En partenariat avec Suez, l’association des Villes de France a publié un mémo intitulé « Du déchet à la ressource : une gestion renouvelée pour les collectivités », qui explore les données clés et les impacts des évolutions législatives. Ce feuillet de quatre pages sert de fiche repère pour les élus afin de faire le point. Le document introduit le sujet avec quelques chiffres macro, dont 247 millions de tonnes de déchets produits par le BTP soit 71,6% de la totalité des déchets produits en France…en savoir plus…
#Commerce : Une activité régie par des règles bien précises @PlaineCoDev @cmarkea #ArkeaImmobilier
La Sem Plaine Commune Développement est un opérateur global de l’aménagement et de la construction sur le territoire de Plaine Commune. Elle réalise des projets urbains complexes et durables pour ses clients, collectivités et acteurs privés, tout en conciliant intérêt général et réalité économique. La SEM (Société d’économie mixte) n’intervient pas dans les centres-villes mais généralement dans des quartiers en devenir, vierges de tout commerce. Entretien avec Catherine Léger, Directrice Générale.
Pas de solution miracle mais la pédagogie
La solution miracle serait d’acheter les pieds d’immeubles, de les garder le temps qu’il faut, puis de les commercialiser au bon moment et avec les bonnes personnes. Mais le coût serait bien évidemment prohibitif. « Comme nous ne pouvons pas envisager cette solution, nous avons réfléchi à d’autres modes d’intervention et mis au point un cahier des charges prescriptif pour inciter les investisseurs à telle ou telle occupation. Il est annexé à nos actes de vente, tant pour les logements que pour les bâtiments de bureaux, et nous essayons de pousser le plus loin possible ces recommandations, puisque nous ne pouvons pas aller au-delà de la prescription et mettre en oeuvre des moyens coercitifs ». Le cahier des charges est finement travaillé, avec des avocats et des experts du commerce. « Nous réalisons des études de merchandising pour définir ce qu’il est raisonnable de faire, ce sur quoi nous pouvons compter et quels prix pratiquer ».
Pour Catherine Léger, l’erreur serait de penser que chaque rue doit avoir son linéaire de commerces. « Le commerce, tout le monde se sent autorisé à en parler, s’agace-t-elle, pourtant, c’est quelque chose de rationnel, une activité régie par des règles bien précises. Vous pouvez rêver de voir s’installer en pied d’immeuble un commerçant de bouche de grande qualité… mais s’il n’y a pas la clientèle, il ne restera bien évidemment pas ou changera de formule ». De la même façon, inutile d’imaginer que dans tel quartier, va s’implanter tout le panel des linéaires de boutiques si par ailleurs il existe déjà la même chose un kilomètre plus loin.
Le travail de merchandising est mené très en amont pour que les élus et la population, dans les réunions de concertation, puissent parler de la question de l’occupation commerciale et éviter les déceptions. Il s’agit d’une véritable démarche pédagogique.
« Lorsque nous faisons ce travail de prescripteur, nous organisons également des réunions avec les différents acteurs – élus, services administratifs, investisseurs et promoteurs – afin de mettre à plat ensemble des opportunités et des difficultés et y apporter des solutions ».
Ceci est un extrait du nouveau livre Blanc publié par Arkéa Banque E&I >>> Réservez dés maintenant un exemplaire de « Regards sur nos commerces »
Lire aussi :
Le Testeur de commerce par Semaest : innovation réussie @Semaest @paris
Véritable incubateur de nouvelles formes de commerce, le « Testeur de commerce » a été lancé par la Semaest en novembre 2015.
De Biocoop et leur 1er magasin éphémère bio, 100% vrac, 100% sans emballage à Tale Me, le 1er dressing partagé dédié aux femmes enceintes et jeunes enfants, cet espace de 65 m2, non loin de la place République, a déjà permis à 12 porteurs de projets de tester leur concept !
Fort de ce succès, la Semaest va ouvrir d’autres « Testeurs de commerce » à Paris, dont un début juin dans le 17e arrondissement, au 43 rue Pouchet, et un au Viaduc des Arts (12e) dédié à l’artisanat.
De novembre 2015 à aujourd’hui… un bilan plus que réussi
A Paris, les créateurs de commerce rencontrent le plus souvent des obstacles pour lancer leur activité : nécessité de pré-financer leur arrivée, paiement d’un droit au bail, engagement sur une durée de 3/6/9 ans.
Grâce au « Testeur de commerce », situé 14 rue du Château d’eau dans le 10e à Paris, ces créateurs ont l’opportunité de tester de nouveaux concepts de commerce ou de nouveaux formats de vente afin de mesurer la réceptivité des consommateurs.
Le Testeur permet ainsi une prise de risque limitée avant de se lancer dans la location d’une boutique à long terme.
Ce local est aussi un moyen de favoriser le développement physique de concepts parfois d’abord nés sur internet, répondant ainsi à la tendance du multicanal…en savoir plus…




