Archives Mensuelles: février 2015
Bouwfonds Marignan devient BPD Marignan

Source : www.marignan-immobilier.com
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Augmentation marquée des ventes aux bailleurs sociaux
Pour l’année 2014, les faits marquants sont :
– La stabilité des prix,
– La stabilité du nombre de ventes aux acquéreurs-occupants,
– Le retour des investisseurs particuliers.
Au 31 Décembre 2014, en collectif, le nombre de réservations s’élève à 5179 logements soit une augmentation à 15% par rapport à l’année 2013. Les réservations nettes, pour l’ensemble des produits (collectif, maison individuelle et résidences avec services) ont augmenté de 17%, portant le nombre de réservations à 5579.
Le marché de l’aire urbaine lyonnaise se distingue du marché national. Ces résultats à la hausse sont une situation spécifique et exceptionnelle à l’agglomération lyonnaise liée à l’attractivité de la région et au travail conjoint réalisé avec les élus locaux.
En collectif, le marché lyonnais conserve un socle stable depuis plusieurs années d’environ 2000 réservations par an pour les acquéreurs occupants. Pour 2014, les acquéreurs occupants représentent 38% des réservations. Les ventes à TVA réduite ont représenté 31% de ce marché. Le PLAN 3A a trouvé son régime de croisière avec 734 primes attribuées et a également contribué aux ventes aux acquéreurs occupants.
Les investisseurs privés représentent 35% des réservations avec une accélération des ventes ressentie en fin d’année.
Les ventes en bloc représentent 1418 logements, soit 27% des contrats faits au cours de l’année 2014. Les promoteurs se félicitent de cette augmentation marquée des ventes aux bailleurs sociaux en cohérence avec la politique de la ville qui consiste à imposer du logement social dans toutes les opérations de promotion immobilière.
Le niveau de prix moyen est stable à 3520 € sur l’ensemble de l’aire urbaine de Lyon.
On constate enfin la baisse de l’offre disponible, majoritairement sur plan. Elle est, désormais, équivalente à un peu mois de 11 mois de commercialisation; ce qui correspond à un marché tendu. En effet, un marché est équilibré lorsque l’offre disponible est équivalente à 12 mois de commercialisation.
En 2015, le dispositif PINEL devrait également permettre un maintien des réservations faites aux investisseurs. Ainsi, tant que les taux d’intérêt resteront bas et sans modification du dispositif d’aide à l’investissement locatif, la croissance du nombre des réservations devraient être comparable à celle constatée en 2014.
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Reprise de l’investissement et de l’emploi en France-Note de conjoncture de Federal Finance
La BCE a lancé un programme massif d’achats de titres souverains (QE), très attendu par les marchés, dont l’objectif est de neutraliser les pressions déflationnistes à l’œuvre en Zone euro. Son bilan devrait ainsi s’accroître d’environ 1100 milliards d’euros dans les 2 ans à venir. Le pragmatisme de la BCE a été immédiatement salué par les marchés. Les actions ont fortement progressé, les taux longs souverains et l’euro ont poursuivi leur baisse. La vigueur du mouvement n’a quasiment pas été fragilisée par l’incertitude résultant des élections grecques (25 janvier) remportées par le parti anti-austérité Syriza. La gestion de la situation grecque va cependant faire l’objet d’âpres négociations afin d’éviter qu’elle ne se propage à d’autres pays européens. Aux USA, la faiblesse du prix du pétrole (sous les 50 dollars le baril) et de l’inflation a permis à la FED de confirmer son biais accommodant et continuer à soutenir une économie américaine en meilleure santé. Globalement, et particulièrement en zone euro, de nombreux paramètres sont mieux orientés : contre-choc pétrolier, baisse des taux et de l’euro, assouplissement de la pression budgétaire, intensification des réformes, plans d’investissement (Juncker). Si les risques politiques (Grèce, Espagne, GB) et géopolitiques (Ukraine) réussissent à être circonscrits, les économies des pays développés pourraient, après plusieurs années difficiles, retrouver progressivement le chemin de la croissance.
Aux Etats-Unis, après une croissance très forte au deuxième et troisième trimestres, les derniers chiffres économiques sont un peu plus modérés au quatrième trimestre (+2,6%). La consommation reste bien orientée malgré des ventes au détail décevantes en décembre. Les créations d’emplois sont fortes et la confiance des ménages augmente significativement. L’amélioration du marché du travail devrait finir par soutenir les hausses de salaires cette année. Les indices de confiance dans l’industrie et les services décélèrent également mais restent compatibles avec une croissance du PIB proche de 3%. Les commandes à l’industrie sont moins bien orientées, ce qui se reflète dans les chiffres d’investissement. Du côté de l’immobilier, les chiffres (ventes de logements, mises en chantier …) sont irréguliers mais le potentiel de progression reste élevé. L’inflation chute à +0,7% en décembre du fait de la baisse des prix du pétrole. L’inflation sous-jacente ralentit légèrement à +1,6%.
En zone euro, une légère amélioration des conditions économiques commence à prendre forme. L’octroi de nouveaux crédits arrête de se dégrader et les banques assouplissent progressivement leurs critères d’octroi de crédits bancaires. L’annonce d’un plan massif d’achats d’actifs par la BCE va également participer à un regain de confiance en zone euro. L’indice de confiance globale pour les entreprises se redresse depuis décembre et attient 52,2 en janvier (expansion de l’activité à partir de 50). En Allemagne, les indices de confiance sont également mieux orientés. La bonne santé du consommateur et la forte demande américaine devraient permettre à l’Allemagne de garder son rôle de locomotive de la zone euro en 2015, malgré l’impact de la crise russe. En France, la baisse de l’euro et l’allégement des taxes des entreprises devraient aider les marges à se redresser, étape préalable à la reprise de l’investissement et de l’emploi. L’inflation est passée en territoire négatif en décembre à -0,2% et l’inflation sous-jacente se maintient à +0,7%.
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