Archives Mensuelles: février 2015

Bouwfonds Marignan devient BPD Marignan

Bouwfonds Marignan devient BPD MarignanA partir du 1er janvier 2015, Bouwfonds Marignan, filiale de la division immobilière de Rabo Real Estate Group, devenue Bouwfonds Property Development, porte le nom de BPD Marignan.
« Seul le nom change », souligne le groupe présidé, en France, par Jean-Philippe Bourgade.

Source : www.marignan-immobilier.com

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Téléassistance, qu’en est il ?

 L’INC avec le soutien de la CNSA a souhaité réaliser une étude sur les services de téléassistance pour deux raisons principales.

inc

 

D’une part, parce que l’INC est impliqué dans le domaine de la Silver Economie et que les services de la téléassistance s’inscrivent totalement dans ce secteur en plein essor et d’autre part, parce que l’INC possède une première expérience d’étude réussie dans un secteur approchant qu’est la géolocalisation et qui avait révélé de nombreux dysfonctionnements. La population ciblée par les services de la téléassistance étant très vulnérable et souvent inapte à faire valoir ses droits, il a semblé à l’INC plus que nécessaire de réaliser un état des lieux afin de contribuer à l’amélioration du service actuel.

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Hôpital numérique : + de 800 établissements ont atteint les pré-requis

La 3e journée de l’Anap dédiée à Hôpital numérique a permis de faire un état des lieux à mi-parcours de ce programme. 2014 s’est imposée comme une année de plein engagement des établissements. 2015 devra donc venir consolider la dynamique. Le projet de loi de Santé devrait y contribuer.

La 3e journée nationale consacrée à l’accompagnement Hôpital numérique (HN) organisée par l’Agence nationale d’appui à la performance (Anap), ce 28 janvier, a permis aux intervenants de noter la dynamique dans laquelle les établissements sont engagés. « 2012 a été l’année de lancement du programme, 2013 celle de sa mise en œuvre et 2014 celle de la dynamique engagée« , a indiqué Franck Jolivaldt, chef de la mission système d’information des acteurs de l’offre de soins (MSIOS) à la DGOS. 2015 devrait être l’année « de l’engagement de réflexion sur la structuration de la prise en charge autour du patient« , a pointé Yannick Le Guen, directeur du pilotage de la performance à la DGOS. En effet, plus de 800 établissements ont atteint les fameux pré-requis « indispensables » et ceci quel que soit la taille ou le statut. Certains ont même d’ores et déjà atteint les cibles d’usage, a précisé Yannick Le Guen.

70 M€ à venir

Au niveau financier, a détaillé Franck Jolivaldt, 61 millions d’euros (M€) ont été délégués dont 25,5 M€ en amorçage et 35,6 M€ en soutien à l’usage. Et, a indiqué Yannick Le Guen, 70 M€ sont déjà engagés pour la suite de ce programme. Au total, 248 établissements ont été financés dans 22 régions pour 401 projets, un établissement pouvant participer à plusieurs projets. La majorité de ces projets concernent le domaine dit D3 en premier lieu (30%), soit la prescription électronique alimentant le plan de soins, suivis du pilotage (D5, 19%), du dossier patient informatisé interopérable (DPII, D2, 19%), de la programmation des ressources (D4, 17%) et des résultats d’imagerie (D1, 15%). Franck Jolivaldt a ajouté que, par répartition juridique, ce sont les établissements du secteur privé qui sont le plus représentés (51%), suivis des établissements publics (35%), des Espic (13%) et des centres de lutte contre le cancer (CLCC, 1%).

Les chantiers pour 2015

Concernant l’atteinte des pré-requis, à juin 2014, la DGOS a constaté que sur le niveau moyen d’atteinte par catégorie d’établissement, par moyenne et par dépenses consacrées aux systèmes d’information hospitalier (SIH), il n’existe pas de différence notable. Ainsi, peu importe le statut de l’établissement ou sa taille, s’il investit raisonnablement dans les SIH, il atteindra « facilement les pré-requis« , a souligné le chef de la MSIOS. La question, a-t-il expliqué, est désormais plutôt de savoir comment les atteindre. En 2015, des chantiers au niveau des pouvoirs publics vont se poursuivre. Ainsi, des arbitrages sont à venir sur l’intégration d’un indicateur lié à l’atteinte du palier de maturité HN dans les contrats d’objectifs et de moyens (CPOM) État-ARS. Il est aussi prévu de poursuivre l’intégration des indicateurs dans les CPOM, le choix ayant été laissé aux agences de les intégrer ou non dans les contrats, a précisé Franck Jolivaldt. La validation du scénario qui prévoit l’intégration de l’indicateur pré-requis dans les indicateurs Hospidiag et l’intégration des cinq indicateurs des domaines fonctionnels dans la carte d’identité du site est quasiment bouclée. Le planning de mise en œuvre est en effet prévu pour 2015. Un travail mené sur un référentiel qualité sur les indicateurs devrait en outre être publié dans les prochains jours, a indiqué Yannick Le Guen.
Désormais, la moitié du programme Hôpital numérique est dépassée. Il reste encore deux ans de travail pour finaliser les actions, a souligné Franck Jolivaldt. Et Yannick Le Guen a notamment rappelé que les établissements ont jusqu’en 2016 pour déposer leur dossier.

 

Source Hospimedia              Auteur : Géraldine Tribault

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Augmentation marquée des ventes aux bailleurs sociaux

CONFÉRENCE DE PRESSE DU 30 JANVIER 2015fpi et

Pour l’année 2014, les faits marquants sont :

– La stabilité des prix,

– La stabilité du nombre de ventes aux acquéreurs-occupants,

– Le retour des investisseurs particuliers.

Au 31 Décembre 2014, en collectif, le nombre de réservations s’élève à 5179 logements soit une augmentation à 15% par rapport à l’année 2013. Les réservations nettes, pour l’ensemble des produits (collectif, maison individuelle et résidences avec services) ont augmenté de 17%, portant le nombre de réservations à 5579.

Le marché de l’aire urbaine lyonnaise se distingue du marché national. Ces résultats à la hausse sont une situation spécifique et exceptionnelle à l’agglomération lyonnaise liée à l’attractivité de la région et au travail conjoint réalisé avec les élus locaux.

En collectif, le marché lyonnais conserve un socle stable depuis plusieurs années d’environ 2000 réservations par an pour les acquéreurs occupants. Pour 2014, les acquéreurs occupants représentent 38% des réservations. Les ventes à TVA réduite ont représenté 31% de ce marché. Le PLAN 3A a trouvé son régime de croisière avec 734 primes attribuées et a également contribué aux ventes aux acquéreurs occupants.

Les investisseurs privés représentent 35% des réservations avec une accélération des ventes ressentie en fin d’année.

Les ventes en bloc représentent 1418 logements, soit 27% des contrats faits au cours de l’année 2014. Les promoteurs se félicitent de cette augmentation marquée des ventes aux bailleurs sociaux en cohérence avec la politique de la ville qui consiste à imposer du logement social dans toutes les opérations de promotion immobilière.

Le niveau de prix moyen est stable à 3520 € sur l’ensemble de l’aire urbaine de Lyon.

On constate enfin la baisse de l’offre disponible, majoritairement sur plan. Elle est, désormais, équivalente à un peu mois de 11 mois de commercialisation; ce qui  correspond à un marché tendu. En effet, un marché est équilibré lorsque l’offre disponible est équivalente à 12 mois de commercialisation.

En 2015, le dispositif PINEL devrait également permettre un maintien des réservations faites aux investisseurs. Ainsi, tant que les taux d’intérêt resteront bas et sans modification du dispositif d’aide à l’investissement locatif, la croissance du nombre des réservations devraient être comparable à celle constatée en 2014.

 

> Le communiqué de presse

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Reprise de l’investissement et de l’emploi en France-Note de conjoncture de Federal Finance

EXE FEDERAL FINANCE

La BCE a lancé un programme massif d’achats de titres souverains (QE), très attendu par les marchés, dont l’objectif est de neutraliser les pressions déflationnistes à l’œuvre en Zone euro. Son bilan devrait ainsi s’accroître d’environ 1100 milliards d’euros dans les 2 ans à venir. Le pragmatisme de la BCE a été immédiatement salué par les marchés. Les actions ont fortement progressé, les taux longs souverains et l’euro ont poursuivi leur baisse. La vigueur du mouvement n’a quasiment pas été fragilisée par l’incertitude résultant des élections grecques (25 janvier) remportées par le parti anti-austérité Syriza. La gestion de la situation grecque va cependant faire l’objet d’âpres négociations afin d’éviter qu’elle ne se propage à d’autres pays européens. Aux USA, la faiblesse du prix du pétrole (sous les 50 dollars le baril) et de l’inflation a permis à la FED de confirmer son biais accommodant et continuer à soutenir une économie américaine en meilleure santé. Globalement, et particulièrement en zone euro, de nombreux paramètres sont mieux orientés : contre-choc pétrolier, baisse des taux et de l’euro, assouplissement de la pression budgétaire, intensification des réformes, plans d’investissement (Juncker). Si les risques politiques (Grèce, Espagne, GB) et géopolitiques (Ukraine) réussissent à être circonscrits, les économies des pays développés pourraient, après plusieurs années difficiles, retrouver progressivement le chemin de la croissance.

Aux Etats-Unis, après une croissance très forte au deuxième et troisième trimestres, les derniers chiffres économiques sont un peu plus modérés au quatrième trimestre (+2,6%). La consommation reste bien orientée malgré des ventes au détail décevantes en décembre. Les créations d’emplois sont fortes et la confiance des ménages augmente significativement. L’amélioration du marché du travail devrait finir par soutenir les hausses de salaires cette année. Les indices de confiance dans l’industrie et les services décélèrent également mais restent compatibles avec une croissance du PIB proche de 3%. Les commandes à l’industrie sont moins bien orientées, ce qui se reflète dans les chiffres d’investissement. Du côté de l’immobilier, les chiffres (ventes de logements, mises en chantier …) sont irréguliers mais le potentiel de progression reste élevé. L’inflation chute à +0,7% en décembre du fait de la baisse des prix du pétrole. L’inflation sous-jacente ralentit légèrement à +1,6%.  

En zone euro, une légère amélioration des conditions économiques commence à prendre forme. L’octroi de nouveaux crédits arrête de se dégrader et les banques assouplissent progressivement leurs critères d’octroi de crédits bancaires. L’annonce d’un plan massif d’achats d’actifs par la BCE va également participer à un regain de confiance en zone euro. L’indice de confiance globale pour les entreprises se redresse depuis décembre et attient 52,2 en janvier (expansion de l’activité à partir de 50). En Allemagne, les indices de confiance sont également mieux orientés. La bonne santé du consommateur et la forte demande américaine devraient permettre à l’Allemagne de garder son rôle de locomotive de la zone euro en 2015, malgré l’impact de la crise russe. En France, la baisse de l’euro et l’allégement des taxes des entreprises devraient aider les marges à se redresser, étape préalable à la reprise de l’investissement et de l’emploi. L’inflation est passée en territoire négatif en décembre à -0,2% et l’inflation sous-jacente se maintient à +0,7%.

>En savoir plus : Note de Conjoncture

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